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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
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Document sans nom
Jean-Luc Kayser le maréchal des logis-chef Gérard Dubreuil (tous les épisodes) Raymond Jourdan le gendarme Gaudrat (1, 5, 6, 8, 9, 14, 15 16, 17, 19, 20, 21, 23, 24) François Leccia le gendarme Bernard Pinson (6, 7, 9, 10, 12, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24) Louis Lyonnet le gendarme Ménard (1, 3, 5, 6, 7, 10, 11, 12, 13, 16, 17, 20, 21, 23) Yves Pignot le gendarme Seguin (1, 5, 6, 7, 10, 12, 15, 16, 17, 19, 21, 22, 24) Jean-Paul Denizon le gendarme Fournier (3, 4, 7, 9, 10, 12, 16, 18, 21) Julie Ravix Micheline Dubreuil (1, 2, 5, 7, 9, 11, 14, 15, 20, 22) [créditée Julie Ravis] Catherine Lafond Colette Pinson (6, 7, 12, 21, 24) Yvonne Clech Mme Corbassière (2, 3, 5, 7, 19, 25) Maurice Jacquemont Docteur Georges Marcecourt, le maire (2, 3, 7, 17, 18, 19, 24, 25) Jacques Monod M. Barret, le boucher (5, 11, 18, 20, 23, 24, 25) Clément Michu Robert Alcide, l’épicier (2, 3, 5, 11, 12, 18, 22, 23, 24, 25) Albert Médina Marcel Virieu (2, 5, 20, 25) André Cellier Lantin, le patron du café de la Place (3, 23, 24, 25) Huguette Faget Mme Crespin, la femme verbalisée (18, 24, 25) Pierre-Jean Vaillard le colonel de gendarmerie Edouard Baugé (19, 24, 25) Jean-Gabriel Nordmann Lucien Douchy (3, 6, 8, 21, 23) Bernadette Lange Marthe Chevroux, la femme de Léon (11, 13) Claude Beauthéac Charles Chevroux (11, 12, 14) [dans l’épisode 12, on le prénomme Alfred…] Janine Mondon Jeanne Chevroux, la femme de Charles (11, 13) Gilberte Rivet Louise, la matelassière (16, 19, 20, 21, 24, 25) Jean Vinci le capitaine de gendarmerie (12, 22, 24) Germaine Delbat Mme Morel (9, 16) Paul Savatier Morel, le forcené (17) Teddy Bilis le père Vandoeuvre, le cambriolé (8, 9, 25) François Castang Michel Chavanne (9, 10, 16) Yvon Sarray Léon, le cafetier (3, 13) Gilette Barbier Mme Alcide, l’épicière (22,23) Janine Souchon l’employée de mairie (2, 18) Hélène Roussel Mme Thomas (19, 20, 25) Claude Gageot une habitante de Bléret (20, 22, 25) Pierre Danny le père de l’enfant égaré (10, 25) Nicole Gueden la mère de l’enfant égaré (10, 25) Maurice Travail le juge d’instruction (12, 14) Jacques Dhéry le procureur (12) Sylvain Levignac le patron des déménageurs (1) Georges Aubert Lantier (4) Roger Muni le technicien de la BR (9, 10) Louise Debrackel la sœur de l’hôpital (4, 5) Nicole Desailly la femme qui se dit témoin de l’accident (4) Roger Saltel le docteur Rousselet (4) [crédité Roger Sartel] Didier Daridan le chauffeur (4, 5) Yves Peneau le docteur Mercier (11) Robert Le Béal le directeur de l’hospice (18, 19) Sophie Deschaumes Mlle Gisèle Pasquier, l’infirmière de l’hospice (18, 19) Louise Rioton Mme Villard, l’infirmière de l’hospice (18, 19) Marcel Roche M. Gruchet, employé de l’hospice (18, 19) Martine Couture la bonne de Mme Corbassière (5, 6) Florence Haziot la boulangère (23) Patrice Besombes un voyou de la bande de Dochy (8, 21, 23) Christian Gallard un voyou de la bande de Dochy (8, 21, 23) Jean-Marie Pelletier un voyou de la bande de Dochy (8, 21, 23) Patrice Rees un voyou de la bande de Dochy (8, 21, 23) Jeanne Herviale une voisine du hameau La Croisée des chemins (10) Yvonne Dany une voisine du hameau La Croisée des chemins (10) Nathalie la fille des Dubreuil (1, 7, 11, 20, 22, 23) Jean-Marc le fils des Dubreuil (1, 7, 20, 22, 23) Frédéric un gamin (1) Et les habitants de Bléré
Document sans nom
"Bonsoir" Chef
Réalisation: Pierre Goutas (1976)
Scénario, adaptation et dialogues : Pierre Billard
Directeur de la photographie : Jean-Jacques Rochut (couleurs)
Caméra : Jean Benezech & Michel Lebon
Assistant opérateur : Jean Castagnier
Chef opérateur du son : Rirou
Musique originale : Guy Boulanger (éditions Le Lièvre de Mars)
Assistant du son : Bernard Rochut
Montage : Catherine Puglièse
Assistantes montage : Chantal Colibert & Régine Baur
Chef décorateur : Dominique André
Costumière : Danielle Mainard
Habilleuse : Renée Miquel
Maquilage : Josée de Luca
Accessoiriste : Guy Augé
Scripte : Françoise Lafond
Assistant réalisateur : Bernard Quatrehomme
Assistant régisseur : Philippe Cauvin
Administrateur de production : Pierre Feves
Directeur de production : Roger Cauvin
Production : TF1 (Boulogne-Billancourt) & Caravelle International Télévision (Neuilly-sur-Seine) – 1976
Extérieurs : Bléré (Indre-et-Loire)
Durée : 26 x 15 mn
Diffusion : du lundi au vendredi sur TF1, à 19h, à partir du mercredi 27 avril 1977.
« Quelque part en France, Bléret-la-Rivière, une charmante petite ville. Oui c’est une charmante petite ville de 4000 habitants qu’il est inutile de chercher sur la carte », dit la voix-off du narrateur intervenant en début de chaque épisode. Ce narrateur n’a d’ailleurs pas grand-chose à résumer. A défaut d’intrigue, il s’agit d’une chronique provinciale sur la vie du maréchal des logis-chef Gérard Dubreuil, venant s’installer avec épouse et enfants (et hamster) dans la gendarmerie d’un petit ville comme tant d’autres. Il découvre son équipe, forcément sympathique, de gendarmes. Dubreuil est un homme de devoir, pour qui le règlement vaut pour tous, y compris le maire et ses amis, aussi influents soient-ils. Pas de folklore, pas de comédie franche façon Louis de Funès, mais la vie au jour le jour d’une gendarmerie soucieuse de la loi. On dirait presque un feuilleton de propagande pour la gendarmerie nationale, montrant, au gré des épisodes, tous les problèmes possibles qu’un maréchal des logis peut rencontrer dans sa carrière : les pressions locales, la petite fille égarée (d’où l’intervention d’un chien de gendarmerie), le forcené barricadé dans le clocher de l’église (d’où l’intervention du GIGN), le vieillard d’un hospice parti mourir dans son champ, l’instauration d’une zone bleue au centre-ville avec la grogne des commerçants, le vandalisme d’un cambriolage, les voyous désœuvrés. La mini-intrigue peut se développer sur trois épisodes. On retient le drame familial dans une famille de paysans, qui débute par la découverte d’un pendu. Le maréchal des logis-chef soupçonne aussitôt un meurtre déguisé en suicide. Enfin un peu de fiction, du suspense, de la tension, des personnages, notamment le frère du pendu, Claude Beauthéac, juste et retenu dans sa séquence de confession. On suit donc d’un œil assez morne ce feuilleton qui pourrait aussi bien durer une année complète. On aurait aimé un scénario moins convenu, voir évoluer les personnages principaux, qui ne sont juste que des uniformes, avoir des dialogues plus travaillés. C’est de la routine télévisuelle, à l’image de la routine des fonctionnaires de l’état qui nous est servi. Pierre Goutas n’a surtout pas voulu gratter et mordre, passant notamment à côté d’une radioscopie ironique des administrés d’une ville de province. Tout au plus esquisse-t-il sur deux épisodes les rivalités entre la gendarmerie et la justice, ainsi que le caractère suffisant d’un juge d’instruction (excellent Maurice Travail). Goutas avait pourtant un vivier d’acteurs efficaces pour apporter des nuances satiriques, mais il lui importait davantage de montrer le GIGN assiéger un clocher, le flair infaillible d’un chien de gendarmerie, la mise en place d’un barrage.
(Christophe Bier)
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Catherine lafond et Francois Leccia
des voisins de l enfant disparue
Nicole la belle fille des Chevroux
Jean-Luc Kayser le maréchal des logis-chef Gérard Dubreuil (tous les épisodes) Raymond Jourdan le gendarme Gaudrat (1, 5, 6, 8, 9, 14, 15 16, 17, 19, 20, 21, 23, 24) François Leccia le gendarme Bernard Pinson (6, 7, 9, 10, 12, 15, 16, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24) Louis Lyonnet le gendarme Ménard (1, 3, 5, 6, 7, 10, 11, 12, 13, 16, 17, 20, 21, 23) Yves Pignot le gendarme Seguin (1, 5, 6, 7, 10, 12, 15, 16, 17, 19, 21, 22, 24) Jean-Paul Denizon le gendarme Fournier (3, 4, 7, 9, 10, 12, 16, 18, 21) Julie Ravix Micheline Dubreuil (1, 2, 5, 7, 9, 11, 14, 15, 20, 22) [créditée Julie Ravis] Catherine Lafond Colette Pinson (6, 7, 12, 21, 24) Yvonne Clech Mme Corbassière (2, 3, 5, 7, 19, 25) Maurice Jacquemont Docteur Georges Marcecourt, le maire (2, 3, 7, 17, 18, 19, 24, 25) Jacques Monod M. Barret, le boucher (5, 11, 18, 20, 23, 24, 25) Clément Michu Robert Alcide, l’épicier (2, 3, 5, 11, 12, 18, 22, 23, 24, 25) Albert Médina Marcel Virieu (2, 5, 20, 25) André Cellier Lantin, le patron du café de la Place (3, 23, 24, 25) Huguette Faget Mme Crespin, la femme verbalisée (18, 24, 25) Pierre-Jean Vaillard le colonel de gendarmerie Edouard Baugé (19, 24, 25) Jean-Gabriel Nordmann Lucien Douchy (3, 6, 8, 21, 23) Bernadette Lange Marthe Chevroux, la femme de Léon (11, 13) Claude Beauthéac Charles Chevroux (11, 12, 14) [dans l’épisode 12, on le prénomme Alfred…] Janine Mondon Jeanne Chevroux, la femme de Charles (11, 13) Gilberte Rivet Louise, la matelassière (16, 19, 20, 21, 24, 25) Jean Vinci le capitaine de gendarmerie (12, 22, 24) Germaine Delbat Mme Morel (9, 16) Paul Savatier Morel, le forcené (17) Teddy Bilis le père Vandoeuvre, le cambriolé (8, 9, 25) François Castang Michel Chavanne (9, 10, 16) Yvon Sarray Léon, le cafetier (3, 13) Gilette Barbier Mme Alcide, l’épicière (22,23) Janine Souchon l’employée de mairie (2, 18) Hélène Roussel Mme Thomas (19, 20, 25) Claude Gageot une habitante de Bléret (20, 22, 25) Pierre Danny le père de l’enfant égaré (10, 25) Nicole Gueden la mère de l’enfant égaré (10, 25) Maurice Travail le juge d’instruction (12, 14) Jacques Dhéry le procureur (12) Sylvain Levignac le patron des déménageurs (1) Georges Aubert Lantier (4) Roger Muni le technicien de la BR (9, 10) Louise Debrackel la sœur de l’hôpital (4, 5) Nicole Desailly la femme qui se dit témoin de l’accident (4) Roger Saltel le docteur Rousselet (4) [crédité Roger Sartel] Didier Daridan le chauffeur (4, 5) Yves Peneau le docteur Mercier (11) Robert Le Béal le directeur de l’hospice (18, 19) Sophie Deschaumes Mlle Gisèle Pasquier, l’infirmière de l’hospice (18, 19) Louise Rioton Mme Villard, l’infirmière de l’hospice (18, 19) Marcel Roche M. Gruchet, employé de l’hospice (18, 19) Martine Couture la bonne de Mme Corbassière (5, 6) Florence Haziot la boulangère (23) Patrice Besombes un voyou de la bande de Dochy (8, 21, 23) Christian Gallard un voyou de la bande de Dochy (8, 21, 23) Jean-Marie Pelletier un voyou de la bande de Dochy (8, 21, 23) Patrice Rees un voyou de la bande de Dochy (8, 21, 23) Jeanne Herviale une voisine du hameau La Croisée des chemins (10) Yvonne Dany une voisine du hameau La Croisée des chemins (10) Nathalie la fille des Dubreuil (1, 7, 11, 20, 22, 23) Jean-Marc le fils des Dubreuil (1, 7, 20, 22, 23) Frédéric un gamin (1) Et les habitants de Bléré
"Bonsoir" Chef
Réalisation: Pierre Goutas (1976)
Scénario, adaptation et dialogues : Pierre Billard
Directeur de la photographie : Jean-Jacques Rochut (couleurs)
Caméra : Jean Benezech & Michel Lebon
Assistant opérateur : Jean Castagnier
Chef opérateur du son : Rirou
Musique originale : Guy Boulanger (éditions Le Lièvre de Mars)
Assistant du son : Bernard Rochut
Montage : Catherine Puglièse
Assistantes montage : Chantal Colibert & Régine Baur
Chef décorateur : Dominique André
Costumière : Danielle Mainard
Habilleuse : Renée Miquel
Maquilage : Josée de Luca
Accessoiriste : Guy Augé
Scripte : Françoise Lafond
Assistant réalisateur : Bernard Quatrehomme
Assistant régisseur : Philippe Cauvin
Administrateur de production : Pierre Feves
Directeur de production : Roger Cauvin
Production : TF1 (Boulogne-Billancourt) & Caravelle International Télévision (Neuilly-sur-Seine) – 1976
Extérieurs : Bléré (Indre-et-Loire)
Durée : 26 x 15 mn
Diffusion : du lundi au vendredi sur TF1, à 19h, à partir du mercredi 27 avril 1977.
« Quelque part en France, Bléret-la-Rivière, une charmante petite ville. Oui c’est une charmante petite ville de 4000 habitants qu’il est inutile de chercher sur la carte », dit la voix-off du narrateur intervenant en début de chaque épisode. Ce narrateur n’a d’ailleurs pas grand-chose à résumer. A défaut d’intrigue, il s’agit d’une chronique provinciale sur la vie du maréchal des logis-chef Gérard Dubreuil, venant s’installer avec épouse et enfants (et hamster) dans la gendarmerie d’un petit ville comme tant d’autres. Il découvre son équipe, forcément sympathique, de gendarmes. Dubreuil est un homme de devoir, pour qui le règlement vaut pour tous, y compris le maire et ses amis, aussi influents soient-ils. Pas de folklore, pas de comédie franche façon Louis de Funès, mais la vie au jour le jour d’une gendarmerie soucieuse de la loi. On dirait presque un feuilleton de propagande pour la gendarmerie nationale, montrant, au gré des épisodes, tous les problèmes possibles qu’un maréchal des logis peut rencontrer dans sa carrière : les pressions locales, la petite fille égarée (d’où l’intervention d’un chien de gendarmerie), le forcené barricadé dans le clocher de l’église (d’où l’intervention du GIGN), le vieillard d’un hospice parti mourir dans son champ, l’instauration d’une zone bleue au centre-ville avec la grogne des commerçants, le vandalisme d’un cambriolage, les voyous désœuvrés. La mini-intrigue peut se développer sur trois épisodes. On retient le drame familial dans une famille de paysans, qui débute par la découverte d’un pendu. Le maréchal des logis-chef soupçonne aussitôt un meurtre déguisé en suicide. Enfin un peu de fiction, du suspense, de la tension, des personnages, notamment le frère du pendu, Claude Beauthéac, juste et retenu dans sa séquence de confession. On suit donc d’un œil assez morne ce feuilleton qui pourrait aussi bien durer une année complète. On aurait aimé un scénario moins convenu, voir évoluer les personnages principaux, qui ne sont juste que des uniformes, avoir des dialogues plus travaillés. C’est de la routine télévisuelle, à l’image de la routine des fonctionnaires de l’état qui nous est servi. Pierre Goutas n’a surtout pas voulu gratter et mordre, passant notamment à côté d’une radioscopie ironique des administrés d’une ville de province. Tout au plus esquisse-t-il sur deux épisodes les rivalités entre la gendarmerie et la justice, ainsi que le caractère suffisant d’un juge d’instruction (excellent Maurice Travail). Goutas avait pourtant un vivier d’acteurs efficaces pour apporter des nuances satiriques, mais il lui importait davantage de montrer le GIGN assiéger un clocher, le flair infaillible d’un chien de gendarmerie, la mise en place d’un barrage.
(Christophe Bier)
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