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Dominique Erlanger et Sylvia Kristel
Extrait de Frehel dans Pepe le moko
Mireille Audibert et Joe Dallesandro
Sylvia Kristel et Joe Dallesandro
Sylvia Kristel Diana Joe Dallesandro Sigismond André Falcon Antonin Pons Mireille Audibert Sergine Denis Manuel Le proxénète Emmanuel Franval Dominique Marcas La vieille femme dans les couloirs de l'hôtelNorma Picadilly La strip-teaseuse Camille Larivière La jeune prostituée Luz Laurent Louise Chevalier Feline, la bonne Karin Albin La prostituée dans le bois Jean Lara Carlo Nell Dominique Erlanger Sylvaine Charlet Isabelle Mercanton Régis Porte Rosette Une prostituée Nicole Karen Cynthia Sidney Frédérique Charbonneau Hubert Géral Catherine Serre Une fille à la poste
Film « contemplatif » et osons le dire simplement érotique, car, sous couvert de plans raffinés, çà reste quand même une succession de scènes de nudités et avec très peu de dialogues.
Curieuse bande son, qui fait enchainer de nombreux tubes de l’époque. Si une belle chanson comme « Une femme » de Charles Dumont est la bienvenue, on peut se demander ce que viennent faire dans ce film le « Hafanana » d’Afric Simone, voir, et c’est un sacrilège, le sublime « Shine On You Crazy Diamond » des Pink Floyd illustrant une scène de poursuite dans un hôtel ?!?!?!?!?
Le « résumé » : Fils de bonne famille avec une ravissante femme et un enfant, le jeune bourgeois Sigismond se voit proposé par son oncle un poste important qui théoriquement devrait lui permettre de beaucoup voyager (et de le sortir de son train-train familier). En fait on ne verra jamais son travail, et la seule ville dans laquelle il se rendra est Paris. Là, il peut fréquenter les rues à prostituées, et il s’éprendra de l’une d’elle, une pute de luxe, Diana, qu’il reverra en dehors de son "métier". Le film est une succession de leurs étreintes, sans toutefois aller jusqu’à la pornographie. Un érotisme de luxe comme on disait à l’époque où ce genre existait encore. Mais quand notre héros recevra une lettre lui apprenant la mort accidentelle de son enfant suivi du suicide de sa femme, il choisira aussi d’en finir avec la vie.
L’œil du petit coquin : Le film commence par une longue scène de nu intégral de Mireille Audibert filmée sous différents angle. Curieuse (mais agréable) parenthèse dans la carrière très sage de cette charmante comédienne vue souvent à la télévision.
BDFF, Alain S., Octobre 2017