Edmond Tyborowsky - 1973
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000 Quelque part en Mediterranee
001 Quelque part en Mediterranee 6me epoque Karatekas
006 Andre Dumas et Jean Marais
007 L argent le nerf de la guerre
008 Pierre Plessis et Jean Marais
009 Pierre Plessis le professeur Maguelonne
010 maniaque de la persecution ou humaniste du vrai
028 Malka Ribowska et Jean Pierre Marry
Eric Vasberg et Sylvain Levignac
Jean Marais l’Empereur Anna Gaël Diana Bernard Rousselet Georges Iska Kahn Iska Jean Pierre Marry Filotin Christine Laurent standardiste André Dumas Guibert, directeur de la raffinerie Pierre Plessis Professeur Maguelonne Malka Ribowska Eleonor Freeman, Prix Nobel de Biologie J. Warfield Warfeld, journaliste d‘investigation G. Lewis Watkins président du consortium mondial du pétrole M. Gabrielli une infirmière J. Seyrat une hotesse Sylvain Levignac Michel Berreur Daniel Breton Yves Gabrielli Gérard Moisan Antoine Baud Daniel Vérité B. Oppe G. Cougelin E. Wasberg D. Schwartz G. Lagravière L. Michaux L. Montalenti A. Richemond A. Barre
Karatékas & Co - 6ème épisode : Quelque part en Méditerranée
Réalisation: Edmond Tyborowski (1973)
Scénario : José Rubery
Adaptation et dialogues: Henri Viard
Musique : José Rubery
Direction musicale : Henri Pélissier
Combats & cascades réglés par : Claude Carliez
Armes & explosifs : Mac Cauvy
Atelier de production : Claire Bonneval
Chef de production : Lucien Bergamo
Chef de plateau : Lucien Fallet
Chef électricien : Henri Sarrazin
Accessoiristes : Bertrand Pineau et Jacques Tena y Teno
Cadrage vidéo : Alain Grazide, Jean-Jacques Ledos, et Jean Wanwearbeke
Assistants cadreurs : Paul Bocci, Jacques Defranchi et Jean Pannequin
Décoration : Alain Maumoury et Robert Voisin
Créatrice des costumes : Yvonne Sassino
Costumière : M. Antoinette Dinety
Illustration sonore : Maurice Saulnier
Bruitage : Marcel Painvin
Ingénieurs du son : Claude Couchouron et Michel Augeix
Ingénieurs vision : Jean Galliou et J.M. Fadeuil
Montage magnétoscope : Thérèse Sontag
Ingénieur magnétoscope : Bernard Lasfargues
Directeur de la photographie : Claude Robin
Scripte : Colette Batifoulier
Assistants réalisateurs : Daniel Bart et Marc Vaziaga
Production : Office de Radiodiffusion Télévision Française (ORTF)
Diffusion : 03/09/1973 sur la Première Chaîne
Durée : 67 mn
Résumé : Cinq personnages venus de divers services se sont réunis pour former le Karatékas, agence spécialisée dans la pratique de l’activisme pacifiste. L’équipe est dirigée par L'Empereur (Jean Marais), un homme cultivé, officiellement conservateur en chef du Musée Guimet mais aussi ancien agent diplomatique spécial en Extrême-Orient. A l'occasion, l’Empereur reprend du service quand la cause lui parait bonne et cela va l'entrainer dans six aventures. Avant chaque enquête, le groupe écoute le rapport de leur chef et ensemble ils font un entrainement de karaté, car en tant que pacifistes, c'est leur seule arme pour se défendre.
Dans ce 6ème épisode, l’Empereur des Karatékas se trouve devant une énigme. Qui est responsable des incendies à répétition des raffineries de pétrole dont la dernière en date est celle de la SNTR (Société Méditerranéenne de Traitement et de Raffinage) ? Bilan global des dommages : 200 MM de dollars. L’empereur, dès le début de son enquête, découvre qu’il va avoir sur le dos non seulement les incendiaires qui l’auront démasqué mais aussi les victimes des incendies puisque celles-ci n’aiment pas que l’on mette le nez dans leurs affaires. En effet le consortium mondial du pétrole se doit de réagir pour défendre ses intérêts en s’opposant, par tous les moyens, au journaliste américain Walfred, d’origine afghane, qui menant une enquête dans cette région, quelque part en Méditerranée, est prêt à publier son rapport confidentiel sur l’île de Port Azur. Cette dernière n’est pas seulement un complexe touristique mais un laboratoire clandestin destiné à mettre au point une substance organique dérivée des hydrates de carbone destinée à l’alimentation artificielle des populations sous développées : une hormone à haut pouvoir calorifique qui se présente sous la forme d’une pilule envahissant le marché mondial. Or, selon Walfred, ce produit n’est pas au point, il est nocif et même mortel. Il faut par tous les moyens arrêter ce cancer pour les consommateurs ? C’est une œuvre humanitaire face au pouvoir de l’argent. Seule l’action directe clandestine est la seule chance de succès face au groupe de pression du consortium, plus puissant que tous les gouvernements. Journaliste d’investigation, Walfred dit-il la vérité ou n’est-il qu’un personnage mythomane, un maniaque de la persécution ? Son idée fixe c’est que le pétrole fera périr le monde par la pollution.
Paradoxe d’une situation explosive : Les Karatékas travaillent pour le compte d’une entreprise qui cherche à abattre un mystérieux adversaire qui dénonce des activités néfastes à la vie de millions d’hommes de femmes et d’enfants. Qui sont les bandits et qui sont les honnêtes gens ?
Notes : 6ème et dernier épisode de la série "Karatékas & Co", tournée avec des moyens vidéos en noir et blanc. - Walfred, le personnage fictif de ce téléfilm, est directement inspiré de Ralf NADER (né en 1934) avocat et homme politique américain d’origine libanaise et défenseur des droits des consommateurs dans les années 60, un des premiers militants écologistes. Il a mené, à ses débuts, une critique du dossier de sécurité des constructeurs automobiles américains puis il a milité pour l’agriculture biologique qui exclut le recours à la plupart des produits chimiques de synthèse utilisés par l’agriculture industrielle et intensive et aussi pour la protection de l’environnement face au tout-économique.
Denis D. D. décembre 2017