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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Fernand Sardou Le commissaire Masson Henri Marteau Frédéric Leroy, le journaliste Jean Tissier Clovis, le directeur du cabaret Marcel Charvey Le prince Colette Ripert Irène Michel Beaufort Le truand blond Pauline Carton La 'marieuse' Pierre Moncorbier l'homme d'affaire du princeEddie Barclay Le chef d'orchestre Dalida Elle-même Pierre Repp Le complice de la marieuse Vera Valois Suzanne Philippe Thomas Pierre Cap Louis Roman Teddy Jeffries Linda Roméo L'amie du truand blond Jacqueline Weiss Gabrielle Tilda Ellen Claire Nevers M. Balloche E. Even M. Weiss Abadie H. Courtois Jacqueline Nero La 1ère chanteuse Bob Martin Le chanteur de charme Emile Stern Gérard Hernandez Le moustachu au commissariat Marcel Bernier Un gars au commissariat
Document sans nom
Crédit distribution : Armel De Lorme, encyclopédie des longs métrages volume 4 page 139
Le thème de la « traite des blanches » a été souvent évoquée dans le cinéma français des années 50, et au fond ce n’est pas plus mal, çà peut-être permis d’éviter à des jeunes filles françaises de tomber par naïveté dans cet odieux trafic.
Ce qui change un peu ici c’est le lieu de destination, ce n’est pas l’Amérique du Sud, mais le proche orient.
Mais le film se déroule presque entièrement dans un cabaret, des danseuses se voient proposer un contrat pour l’Arabie Saoudite ou autre, elles rêvent d’épouser un prince, mais se retrouve dans la prostitution et on ne les revoit plus en France.
A noter que dans ce cabaret, et entre deux strip-teases (bien sages) on a droit aux débuts de Dalida, auditionnée par Eddie Barclay, elle chante son fameux « Bambino ».
Ensuite, comme un des rabatteurs est abattu par la police, les trafiquants organisent des mariages blancs.
Le procédé est bien compliqué par rapport aux réseaux de prostitution qui sévissent de nos jours : on kidnappe, on vole les papiers, on expédie les filles loin de leur pays et elles sont définitivement perdues.
En plus ici il y a deux idées qui hélas ne sont plus exploitées et c’est bien dommage.
La première : le commissaire de police demande à un journaliste d’ébruiter le scandale de la traite des blanches.
La seconde : il enfreint la loi en tendant un piège aux malfrats, c’est la propre fiancée qui joue le rôle de l’appât, et çà marche, les ordures de passeurs sont pris la main dans le sac.
Alain S., Avril 2018
Merci à Jean-Pierre Pecqueriaux pour son aide.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Jacqueline Nero et Eddie Barclay
Traite des blanche Proche Orient
Fernand Sardou Le commissaire Masson Henri Marteau Frédéric Leroy, le journaliste Jean Tissier Clovis, le directeur du cabaret Marcel Charvey Le prince Colette Ripert Irène Michel Beaufort Le truand blond Pauline Carton La 'marieuse' Pierre Moncorbier l'homme d'affaire du princeEddie Barclay Le chef d'orchestre Dalida Elle-même Pierre Repp Le complice de la marieuse Vera Valois Suzanne Philippe Thomas Pierre Cap Louis Roman Teddy Jeffries Linda Roméo L'amie du truand blond Jacqueline Weiss Gabrielle Tilda Ellen Claire Nevers M. Balloche E. Even M. Weiss Abadie H. Courtois Jacqueline Nero La 1ère chanteuse Bob Martin Le chanteur de charme Emile Stern Gérard Hernandez Le moustachu au commissariat Marcel Bernier Un gars au commissariat
Crédit distribution : Armel De Lorme, encyclopédie des longs métrages volume 4 page 139
Le thème de la « traite des blanches » a été souvent évoquée dans le cinéma français des années 50, et au fond ce n’est pas plus mal, çà peut-être permis d’éviter à des jeunes filles françaises de tomber par naïveté dans cet odieux trafic.
Ce qui change un peu ici c’est le lieu de destination, ce n’est pas l’Amérique du Sud, mais le proche orient.
Mais le film se déroule presque entièrement dans un cabaret, des danseuses se voient proposer un contrat pour l’Arabie Saoudite ou autre, elles rêvent d’épouser un prince, mais se retrouve dans la prostitution et on ne les revoit plus en France.
A noter que dans ce cabaret, et entre deux strip-teases (bien sages) on a droit aux débuts de Dalida, auditionnée par Eddie Barclay, elle chante son fameux « Bambino ».
Ensuite, comme un des rabatteurs est abattu par la police, les trafiquants organisent des mariages blancs.
Le procédé est bien compliqué par rapport aux réseaux de prostitution qui sévissent de nos jours : on kidnappe, on vole les papiers, on expédie les filles loin de leur pays et elles sont définitivement perdues.
En plus ici il y a deux idées qui hélas ne sont plus exploitées et c’est bien dommage.
La première : le commissaire de police demande à un journaliste d’ébruiter le scandale de la traite des blanches.
La seconde : il enfreint la loi en tendant un piège aux malfrats, c’est la propre fiancée qui joue le rôle de l’appât, et çà marche, les ordures de passeurs sont pris la main dans le sac.
Alain S., Avril 2018
Merci à Jean-Pierre Pecqueriaux pour son aide.
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