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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Delphin Paul Dancourt Renée Carl Madame Dancourt Suzanne Grandais Lina Béryl Marthe Vinot Miss Edith une spectatrice
Document sans nom
Réalisation : Louis Feuillade
Scénario : Louis Feuillade
Image : Georges Guérin
Production : S.E.G. - Société des Etablissements L. Gaumont
Distribution : C.C.L. - Comptoir Ciné-Location
Durée : 14 mn
Date de sortie : 1er août 1912
Premiere représentation triomphale de La Vierge de Corinthe au Lycoeum Théâtre. Lina Béryl, son actrice principale est acclamée. Le public réclame l'auteur. Mais celui-ci n'est pas présent. Plus étrange encore, on ne l'a jamais vu. Il s'est contenté de déposer le manuscript de sa pièce au théâtre... En fait, Paul Dancourt, le jeune et talentueux dramaturge, répugne à paraitre en public car il est nain. Il vit avec sa mère qui le cache pour lui épargner les commentaires et les moqueries dont il ne manquerait pas d'être l'objet. Mais Paul n'y tient plus. Amoureux de sa belle interprète, il prend contact avec elle par téléphone. Lina Béryl se prend au jeu de ces conversations de plus en plus longues et de plus en plus enflammées. Des échanges qui font le ravissement des demoiselles du téléphone... Séduite par les mots de ce mystérieux inconnu Lina Béryl décide d'aller à sa rencontre. Quand elle se présente chez les Dancourt, Paul ne peut s'empêcher d'apparaitre, malgré les avertissements de sa mère. Lina le prend d'abord pour un enfant. Puis, réalisant que le petit homme est le "grand poète" dont parle le Tout-Paris, elle éclate de rire...
Note : On remarquera le split-screen utilisé lors des conversations téléphoniques entre Paul et Lina. Procédé déjà employé dans les mêmes circonstances en 1908 par Albert Capellani dans L'Homme aux gants blancs.
S.B.- Septembre 2018
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Renee Carl Delphin et Suzanne Grandais
X1 la femme de chambre de Lina
Delphin Paul Dancourt Renée Carl Madame Dancourt Suzanne Grandais Lina Béryl Marthe Vinot Miss Edith une spectatrice
Réalisation : Louis Feuillade
Scénario : Louis Feuillade
Image : Georges Guérin
Production : S.E.G. - Société des Etablissements L. Gaumont
Distribution : C.C.L. - Comptoir Ciné-Location
Durée : 14 mn
Date de sortie : 1er août 1912
Premiere représentation triomphale de La Vierge de Corinthe au Lycoeum Théâtre. Lina Béryl, son actrice principale est acclamée. Le public réclame l'auteur. Mais celui-ci n'est pas présent. Plus étrange encore, on ne l'a jamais vu. Il s'est contenté de déposer le manuscript de sa pièce au théâtre... En fait, Paul Dancourt, le jeune et talentueux dramaturge, répugne à paraitre en public car il est nain. Il vit avec sa mère qui le cache pour lui épargner les commentaires et les moqueries dont il ne manquerait pas d'être l'objet. Mais Paul n'y tient plus. Amoureux de sa belle interprète, il prend contact avec elle par téléphone. Lina Béryl se prend au jeu de ces conversations de plus en plus longues et de plus en plus enflammées. Des échanges qui font le ravissement des demoiselles du téléphone... Séduite par les mots de ce mystérieux inconnu Lina Béryl décide d'aller à sa rencontre. Quand elle se présente chez les Dancourt, Paul ne peut s'empêcher d'apparaitre, malgré les avertissements de sa mère. Lina le prend d'abord pour un enfant. Puis, réalisant que le petit homme est le "grand poète" dont parle le Tout-Paris, elle éclate de rire...
Note : On remarquera le split-screen utilisé lors des conversations téléphoniques entre Paul et Lina. Procédé déjà employé dans les mêmes circonstances en 1908 par Albert Capellani dans L'Homme aux gants blancs.
S.B.- Septembre 2018
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