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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
René Navarre Julius Kieffer Paul Manson Darbois Jean Devalde Jean Brémond Renée Carl Juliette Michaud Fernand Herrmann l'acolyte de Kieffer Edmond Breon un matelot
Document sans nom
Réalisation : Louis Feuillade
Scénario : Louis Feuillade
Caméra : Georges Guérin
Production : S.E.G. - Société des Etablissements L. Gaumont
Distribution : S.E.G. - Société des Etablissements L. Gaumont
Durée : 25 mn
Date de sortie : 10 novembre 1911
Entouré de sa secrétaire, mademoiselle Michaud, et de ses proches collaborateurs, le grand manufacturier Darbois reçoit un télégramme d'Amérique. Jean Brémond, un de ses jeunes ingénieurs lui annonce qu'il a découvert une formule pour fabriquer un caoutchouc artificiel. Ne pouvant confier un pareil secret a la poste ou au télégraphe, il s'embarque pour la France. Fort de cette trouvaille, Darbois refuse d'adhérer au trust du caoutchouc que dirige Jacob Berwick, un homme d'affaires sans scrupules. Mais Berwick n'abandonne pas la partie. Il engage Julius Kieffer, un détective privé, pour obtenir coûte que coûte des informations sur les affaires de Darbois. A peine débarqué au Havre, Brémond est enlevé par Kieffer. La formule, en échange de sa liberté...
COMMENTAIRES :
« Dans la grisaille revendiquée de la série (...) et malgré son sujet particulièrement anti-cinématographique, LE TRUST recele quelques scènes rafraîchissantes (les plans tournés au Havre) et, surtout, une sorte de prémonition esthétique quant à l'avenir de son réalisateur. Il s'agit de surprenantes séquences où ce "drame de la haute finance" sans réelle envergure fait intervenir des surprises dramaturgiques qui vont, plus tard, assurer la gloire de Feuillade : l'anesthésie de Renée Carl par les "méchants" René Navarre et Fernand Herrmann, le travestissement de celui-ci en double de sa victime et, surtout, l'apparition d'un groupe d'élégants malfrats masqués de soie noire, une figure décorative annonçant les futurs VAMPIRES sans en être tout à fait indigne. » - Présentation Coffret Gaumont Le Cinéma Premier 1897-1913, vol. 1, - Gaumont Video, 2008
S.B. - Novembre 2018
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Paul Manson et Fernand Herrmann
Paul Manson Renee Carl Jean Devalde
Rene Navarre Fernand Herrmann Renee Carl
René Navarre Julius Kieffer Paul Manson Darbois Jean Devalde Jean Brémond Renée Carl Juliette Michaud Fernand Herrmann l'acolyte de Kieffer Edmond Breon un matelot
Réalisation : Louis Feuillade
Scénario : Louis Feuillade
Caméra : Georges Guérin
Production : S.E.G. - Société des Etablissements L. Gaumont
Distribution : S.E.G. - Société des Etablissements L. Gaumont
Durée : 25 mn
Date de sortie : 10 novembre 1911
Entouré de sa secrétaire, mademoiselle Michaud, et de ses proches collaborateurs, le grand manufacturier Darbois reçoit un télégramme d'Amérique. Jean Brémond, un de ses jeunes ingénieurs lui annonce qu'il a découvert une formule pour fabriquer un caoutchouc artificiel. Ne pouvant confier un pareil secret a la poste ou au télégraphe, il s'embarque pour la France. Fort de cette trouvaille, Darbois refuse d'adhérer au trust du caoutchouc que dirige Jacob Berwick, un homme d'affaires sans scrupules. Mais Berwick n'abandonne pas la partie. Il engage Julius Kieffer, un détective privé, pour obtenir coûte que coûte des informations sur les affaires de Darbois. A peine débarqué au Havre, Brémond est enlevé par Kieffer. La formule, en échange de sa liberté...
COMMENTAIRES :
« Dans la grisaille revendiquée de la série (...) et malgré son sujet particulièrement anti-cinématographique, LE TRUST recele quelques scènes rafraîchissantes (les plans tournés au Havre) et, surtout, une sorte de prémonition esthétique quant à l'avenir de son réalisateur. Il s'agit de surprenantes séquences où ce "drame de la haute finance" sans réelle envergure fait intervenir des surprises dramaturgiques qui vont, plus tard, assurer la gloire de Feuillade : l'anesthésie de Renée Carl par les "méchants" René Navarre et Fernand Herrmann, le travestissement de celui-ci en double de sa victime et, surtout, l'apparition d'un groupe d'élégants malfrats masqués de soie noire, une figure décorative annonçant les futurs VAMPIRES sans en être tout à fait indigne. » - Présentation Coffret Gaumont Le Cinéma Premier 1897-1913, vol. 1, - Gaumont Video, 2008
S.B. - Novembre 2018
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