Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Edith Scob
Henri Serre et X1
Henri Serre et X3
Henri Serre X1 et X2
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Le Detour
Michel Charrel
Michele Oppenot et Gabrielle Doulcet a droite
Michele Oppenot
X2 passagere du tram
X3 et X1
X4 une captive
Henri Serre Edith Scob Michel Charrel Gabrielle Doulcet Jean-Gabriel Nordman Jacques-Clément Duval Isabelle Hofmann Inge Horn Danielle Kufler Agnès Molinard Laurence Molinard Michèle Oppenot Martin Pierlot Bernard Queysanne
Réalisation : Patrice Molinard
Scénario : Henri Glaeser
Image : Georges Barsky
Montage : Nicole Marko
Son : Jacques-Clément Duval, Pierre Angles
Musique : Georges Aperghis
Maquillage : Maud Begon
Production : Awa Films
Durée : 12 minutes
Format : 35 mm - couleur
Visa : 36526
Sortie : 1971
« Ce film a été réalisé avec le concours de Chaminou, Denise et Jean-Luc Anger - Pierre Anglès - Maud Begon - Michel Charrel - Gabrielle Doulcet - Jacques-Clément Duval - Isabelle Hofmann - Inge Horn - Danielle Kufler - Agnès Molinard - Laurence Molinard - Jean-Gabriel Nordman - Michèle Openot - Martin Pierlot - Bernard Queysanne - Benoît Serre - Bernard Zitzermann - et AWA Film. »
« Avec LE DETOUR, Patrice Molinard, l’auteur de FANTASMAGORIE, confirme son talent de metteur en scène. Film sur le deuil tiré d’un script hanté et personnel d’Henri Glaeser, cette errance hypnotique de 12 minutes se déploie d’abord comme un écho fascinant au chef-d’œuvre molinardien précité : le chemin initiatique de cet homme et de son enfant inanimé, depuis les foules anonymes de Paris jusqu’aux bords de l’Oise réinventée façon Styx, c’est un peu celui inversé du vampire de 1963. À la bande-son, contribuant à l’onirisme inquiet des images, Georges Aperghis. Ce grand compositeur de musique sérielle et concrète est par ailleurs mari d’Édith Scob… qu’on aperçoit ici furtivement en religieuse. Un film obsessionnel jusqu’à l’abstrait et intensément noir. » - Nicolas Stanzick, midiminuitfantastique.com
Edité en Dvd - Soft-Prod 2018 - supplément à Midi-Minuit Fantastique, une intégrale augmentée (tome 3) sous la direction de Michel Caen et Nicolas Stanzick, Édition Rouge Profond, 2018
S.B. - Novembre 2018
