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Ivan Desny
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titre generique
cabaret
Claire Maurier
coulisses
Danik Patisson Elke Sommer
Elke baillonnee
Elke bondagee
Elke et Helmut
Elke et Ivan
Elke et la tour Eiffel
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Elke Sommer
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Elke Sommer
Elke sous le voile
Helmut Schmid
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Ivan Desny
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Ivan Desny
Jean de Beaumont au centre
Jo Labarrere deuxieme de face
Kathe Haack
Rene Dary
Roger Lecuyer grand souriant
Sandrine a droite
Seance de photo
strip de force
strip tease
strip
tease
Toni Morena au fond au bar
Ivan Desny le comte Luigi Castelani Elke Sommer Daniela Neumann Danik Patisson Claudine Helmut Schmid [doublé par Roger Rudel] Karl Bauer René Dary René Lanzac Claire Maurier Esmeralda Sandrine un mannequin Françoise Alban Brigitte Banz un mannequin Jean-Louis Boucher Albert Dinan le Bruxellois ivre André Dumas Mario, le modéliste Paulette Frantz Romana Rombach Donna Marcia Richard Saint-Bris [crédité Richard Saint-Brice] le ministre à la soirée de Castelani Pierre Sylvère Roger Trécan Jean, le barman du "Club des mannequins" Käthe Haack la mère de Daniela [non créditée] Bob Gary [Bernard Launois] le maquilleur [non crédité] Robert Blome le barman du Club 38 [non crédité] Gaston Meunier l’invité à la soirée de Castelani, amateur de jolies femmes [non crédité] Jo Labarrère un marin au cabaret [non crédité] Éric Vasberg un marin au cabaret [non crédité] Rudy Lenoir l’homme des écoutes [non crédité] Madeleine Damien la femme de ménage du "Club des mannequins" [non créditée] Jean de Beaumont un maître-chien [non crédité] Pierre Durou un maître-chien [non crédité] Roger Lécuyer un invité à la soirée de Castelani [non crédité] Adrien Cayla-Legrand un extra à la réception [non crédité] Raymond Pierson un invité à la soirée de Castelani [non crédité] Marcel Bernier un invité à la soirée de Castelani et un spectateur au cabaret [non crédité] Toni Morena un client au bar du "Club des mannequins" [non crédité]
France/Allemagne, 1961. Réalisation : Max Pécas. – Scénario, adaptation & dialogues : Wolfgang Steinhardt, Grisha M. Dabat et Max Pécas, d’après le roman Daniela de Walter Ebert. – Directeur de la photographie : André Germain. – Caméraman : Roger Duculot. – Musique : Charles Aznavour et Georges Garvarentz (éditions French Music) . – Direction musicale : Jacques Brienne. – Chanson : Daniela interprétée par les Chaussettes Noires [Eddy Mitchell en chant solo, disques Barclay] . – Son : Séverin Frankiel. – Mixage : Jacques Bompunt. – Montage : Paul Cayatte. – Décors : Robert Luchaire. – Maquillage : Jacky Marval. – Coiffures : Rose Valois. – Assistant réalisateur : Robert Topart. – Script-girl : Christine Delbo. – Régisseur général : Théo Michel. – Régisseur adjoint : Maurice Gilli. – Administrateur : Pierre Deguilhem. – Directeur de production : Jacques Garcia. – Producteur délégué : Joël Lifschutz . – Producteurs associés : Leopold Branoner & Michèle Dimitri. – Production : René Thévenet, pour Contact Organisation (Paris), P.I.P. [Paris-Inter-Productions] (Paris) et Pandora Film (Berlin) . – Dis : Sigmadis. – Début de tournage : 06/02/1961. – Extérieurs : Munich, Rome, Paris, aéroport de Paris. – Laboratoires : CTM (Gennevilliers) . – Enregistrements sonores : S.P.S. & Général Productions. – Pellicule Agfa, Noir et blanc. – Avec l’aimable participation de Elizabeth Arden, Libron-Kestos & Rose Valois. – Chargé de presse : Claude Le Gac. – Durée : 85 mn. – Sorties : 28/04/1961 à Frankfort-sur-le-Main ; 16/08/1961 à Paris (Latin, Comœdia). – Visa de contrôle cinématographique N° 24.433.
Autres titres : Zarte Haut in schwarzer Seide (Allemagne de l’Ouest) / Daniela by Night (Angleterre) / Daniela, Criminal Strip-Tease (Italie) / Capricci borghesi (Italie).
Le patron d’une maison de haute couture romaine, le comte Castellani, est en fait un agent international. Il détient un microfilm sur une arme militaire secrète qu’il cherche à négocier. Daniela, jeune mannequin munichois, arrive à Rome pour un contrat avec sa maison. Elle s’amourache du comte, provoquant l’inimitié d’Esmeralda, la maîtresse de celui-ci, et fait connaissance avec un journaliste allemand, Karl Bauer. Lors d’une brillante soirée en présence de l’élite romaine, Daniela s’empare par inadvertance du microfilm dissimulé dans un bâton de rouge à lèvres. Karl saura la préserver des dangers encourus et gagner son cœur.
Certainement le moins érotique des films de Max Pécas de cette période, malgré le charme espiègle d’Elke Sommer, jeune starlette remarquée dans quelques comédies italiennes et allemandes, à l’aube d’une carrière internationale. Pécas s’attarde bien, mais mollement, sur les essayages des mannequins, sur des girls en dessous noirs lors d’une classique scène de cabaret. Un court travelling dévoile les courbes bondagées d’Elke, seins pointant sous le pull, bouche bâillonnée ; un autre suit le compas de ses jambes nues, chaussées d’escarpins ; son strip-tease s’interrompt au soutien-gorge… et c’est tout ! Suffisamment pour que le film soit interdit aux moins de 18 ans en Allemagne et exploité en Angleterre comme un produit très sexy. La France, déjà blasée, l’autorisa pour tous publics. Mais il est fort probable qu’il existe des séquences alternatives et plus déshabillées pour d’autres pays, comme l’attestent certaines photos de plateau (avec des danseuses topless et un strip). (source : Christophe Bier, Dictionnaire des films français pornographiques & érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2012).
Paru en ciné-roman dans Roman Film Vedette n° 29, oct 1961. Sorti en DVD chez René Chateau Vidéo.
Fiche établie par Christophe Bier, janvier 2019.
