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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Hans Christian Blech Le major Yves Lambrecht Un marquis (Mademoiselle Fifi) Nathalie Cerda Rachel Yves Pignot Le Curé de Cleresville André Weber Le père Millon Chrystelle Labaude Paméla Cécile Vassort Blandine Maïté Nahyr Èva Marie-Florence Brunet Amanda William Jacques Le capitaine Pierre Semmler Otto Grössling (as Peter Semler) Michaël Jacob Fritz (as Michael Jacob) Maria Meriko La baronne Roger Dumas Célestin Arlette Gilbert Hermance Teco Celio Le devoir Bernard Musson Le sacristain Andrée Champeaux Césarine Annick Alane Mme Vatinel Geneviève Lézy Jean Darie Le maire Bernard Cherboeuf Antoine Tony Rödel Un sous-Officier Volker Marek Un sous-Officier Peter Wollasch Markus Gerring Le soldat
Document sans nom
LE SUJET : L'action se situe au lendemain de la défaite française de 1870, dans un château historique proche de Rouen, occupé par les Allemands, acharnés à humilier des villageois.
LE DÉBUT : Ils sont arrogants ces Allemands, qui au lendemain de la défaite francaise de 1870 occupent un château du XVIIe siècle et n'hésitent pas à se livrer à des actes de vandalisme, sous l'œil impassible d'un vieux paysan, le père Milon, devenu pour eux, une sorte de factotum. De leur côté, les villageois terrifiés se taisent. Dans l'ombre pourtant, un (ou des) Français irréductibles se rebellent et l'on trouve de temps en temps, des têtes d'Allemands coupées, ici et là. Il faut toute l'autorité du curé du village pour faire entendre la voix de l'église à Herr Major, capitaine, épargnant ainsi de cruelles sanctions à ses paroissiens. Toutefois, la cloche de l'église restera muette, comme l'a décidé le prêtre, signifiant ainsi la douleur des Français humiliés. Le drame va donc se nouer à l'occasion d'une fête organisée par Herr Major, qui pour la circonstance a fait venir de Rouen des demoiselles de petite vertu. C'est l'une d'elles, la plus menue, qui relèvera les insultes proférées par un jeune dandy, le marquis Von Eyrik, surnommé Mlle fifi...
La critique : L'atmosphère de ce château normand, occupé, pillé par les Prussiens, est bien celle que décrit Maupassant. Elle compte plus que l'histoire, assez morcelée. Les personnages sont forts le major et surtout le lieutenant. Mais tout « barbares » qu'ils soient, ils vocifèrent trop.
Note : Clap de fin pour André Weber (1928–1996) qui avait commencé sa carrière 37 ans plus tôt dans "Razzia sur la schnouff" (1955).
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Mademoiselle Fifi ou histoire de rire
Yves Lambrecht
Andre Weber
Cecile Vassort
Chrystelle Labaude
Hans Christian Blech
Maite Nahyr et Cecile Vassort
Marie Florence Brunet
Nathalie Cerda
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Yves Lambrecht
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Yves Lambrecht
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Yves Lambrecht
Hans Christian Blech Le major Yves Lambrecht Un marquis (Mademoiselle Fifi) Nathalie Cerda Rachel Yves Pignot Le Curé de Cleresville André Weber Le père Millon Chrystelle Labaude Paméla Cécile Vassort Blandine Maïté Nahyr Èva Marie-Florence Brunet Amanda William Jacques Le capitaine Pierre Semmler Otto Grössling (as Peter Semler) Michaël Jacob Fritz (as Michael Jacob) Maria Meriko La baronne Roger Dumas Célestin Arlette Gilbert Hermance Teco Celio Le devoir Bernard Musson Le sacristain Andrée Champeaux Césarine Annick Alane Mme Vatinel Geneviève Lézy Jean Darie Le maire Bernard Cherboeuf Antoine Tony Rödel Un sous-Officier Volker Marek Un sous-Officier Peter Wollasch Markus Gerring Le soldat
LE SUJET : L'action se situe au lendemain de la défaite française de 1870, dans un château historique proche de Rouen, occupé par les Allemands, acharnés à humilier des villageois.
LE DÉBUT : Ils sont arrogants ces Allemands, qui au lendemain de la défaite francaise de 1870 occupent un château du XVIIe siècle et n'hésitent pas à se livrer à des actes de vandalisme, sous l'œil impassible d'un vieux paysan, le père Milon, devenu pour eux, une sorte de factotum. De leur côté, les villageois terrifiés se taisent. Dans l'ombre pourtant, un (ou des) Français irréductibles se rebellent et l'on trouve de temps en temps, des têtes d'Allemands coupées, ici et là. Il faut toute l'autorité du curé du village pour faire entendre la voix de l'église à Herr Major, capitaine, épargnant ainsi de cruelles sanctions à ses paroissiens. Toutefois, la cloche de l'église restera muette, comme l'a décidé le prêtre, signifiant ainsi la douleur des Français humiliés. Le drame va donc se nouer à l'occasion d'une fête organisée par Herr Major, qui pour la circonstance a fait venir de Rouen des demoiselles de petite vertu. C'est l'une d'elles, la plus menue, qui relèvera les insultes proférées par un jeune dandy, le marquis Von Eyrik, surnommé Mlle fifi...
La critique : L'atmosphère de ce château normand, occupé, pillé par les Prussiens, est bien celle que décrit Maupassant. Elle compte plus que l'histoire, assez morcelée. Les personnages sont forts le major et surtout le lieutenant. Mais tout « barbares » qu'ils soient, ils vocifèrent trop.
Note : Clap de fin pour André Weber (1928–1996) qui avait commencé sa carrière 37 ans plus tôt dans "Razzia sur la schnouff" (1955).
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