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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Arlette Didier Madame Olivier Mathot Basque Françoise Blanchard La veuve Michel Tugot-Doris Philippe (as Tugot-Doris) Antonio Mayans Joseph (as Anthony Mayans) France Lomay Une pensionnaire (as Francette Maillol) Muriel Montossé Une pensionnaire Elena Álvarez Une pensionnaire Anna Ricco Une pensionnaire Nani Rodon Une pensionnaire Lydie Fordios Une pensionnaire Jean Tolzac M. Paulin Anouchka Lesoeur Constance Henri Lambert Le représentant en dessous féminins Gilbert Servien Pintesse René Douglas Tourneveaux Julian Atienza Un habitué de la maison Antonio Jover Un habitué de la maison Michelle Zimmermann Madame Rivet
Document sans nom
Dans une petite ville de province, au XIXéme siècle il existe une maison close « joyeuse » où se retrouve chaque soir les notables de la ville.
L’établissement est tenu impeccablement par Madame Tellier et toutes les pensionnaires y sont heureuses.
Mais un soir la maison est vraiment close, la lanterne rouge n’est pas allumée, et on lit un petit mot (qui marquera l’histoire de la littérature) (j’exagère a peine le génie de Maupassant) : « Fermé pour cause de première communion ».
Le contraste est saisissant entre les plaisirs habituels de la maison, et ce brusque retour aux « valeurs religieuses ».
Madame Tellier a effectivement emmené ses filles à la campagne, car la fille de son frère Joseph fête sa première communion.
Evidement la beauté, la gaieté, la légèreté des jeunes filles émoustillent Joseph qui arrivera à en « séduire » une.
Par contre ce film léger occulte la fameuse scène à l’église où les filles sont émues aux larmes devant la procession des communiants.
Le retour de la troupe dans la ville sera rapidement connu, les bourgeois s’avertissant entre eux par messages sibyllins pour ne pas que les épouses comprennent de quoi il s’agit.
Dommage que les actrices soient peu connues ou spécialisées dans les rôles érotiques.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Arlette Didier
Anouchka Lesoeur
Antonio Mayans
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Francoise Blanchard
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Francoise Blanchard
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Une Pensionnaire nue
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Une Pensionnaire nue
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Une Pensionnaire nue
Arlette Didier Madame Olivier Mathot Basque Françoise Blanchard La veuve Michel Tugot-Doris Philippe (as Tugot-Doris) Antonio Mayans Joseph (as Anthony Mayans) France Lomay Une pensionnaire (as Francette Maillol) Muriel Montossé Une pensionnaire Elena Álvarez Une pensionnaire Anna Ricco Une pensionnaire Nani Rodon Une pensionnaire Lydie Fordios Une pensionnaire Jean Tolzac M. Paulin Anouchka Lesoeur Constance Henri Lambert Le représentant en dessous féminins Gilbert Servien Pintesse René Douglas Tourneveaux Julian Atienza Un habitué de la maison Antonio Jover Un habitué de la maison Michelle Zimmermann Madame Rivet
Dans une petite ville de province, au XIXéme siècle il existe une maison close « joyeuse » où se retrouve chaque soir les notables de la ville.
L’établissement est tenu impeccablement par Madame Tellier et toutes les pensionnaires y sont heureuses.
Mais un soir la maison est vraiment close, la lanterne rouge n’est pas allumée, et on lit un petit mot (qui marquera l’histoire de la littérature) (j’exagère a peine le génie de Maupassant) : « Fermé pour cause de première communion ».
Le contraste est saisissant entre les plaisirs habituels de la maison, et ce brusque retour aux « valeurs religieuses ».
Madame Tellier a effectivement emmené ses filles à la campagne, car la fille de son frère Joseph fête sa première communion.
Evidement la beauté, la gaieté, la légèreté des jeunes filles émoustillent Joseph qui arrivera à en « séduire » une.
Par contre ce film léger occulte la fameuse scène à l’église où les filles sont émues aux larmes devant la procession des communiants.
Le retour de la troupe dans la ville sera rapidement connu, les bourgeois s’avertissant entre eux par messages sibyllins pour ne pas que les épouses comprennent de quoi il s’agit.
Dommage que les actrices soient peu connues ou spécialisées dans les rôles érotiques.
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