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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Sylvia Bourdon une infirmière Nanette Corey une infirmière Geneviève Corrado la nouvelle infirmière Stéphanie Saxe la femme du médecin Jacques Couderc M. Germain, l'huissier Magda Mundari participante à l'orgie Pierre Sandra
Document sans nom
Réalisation : José Benazeraf
Scénario et dialogues : José Benazeraf
Image : Roland Dantigny
Caméra : Alain Thiollet
Montage : Claudio Ventura
Musique : Pierre Bachelet
Assistant réalisateur : Serge Ménard
régie : Henri Monti-Devignac
Directrice de production : Simone Benazeraf
Production : José Benazeraf - Les Productions du Chesne
Distribution : Les Films Jacques Leitienne
Tournage : 1974
Sortie le 29 janvier 1975
CRITIQUE(S) :
« On reste ahuri devant un scénario (?) aussi peu explicite (…) Le film, parfaitement adapté au public auquel il s’adresse, est une longue suite de séquences pornographiques très crues, témoignant d’une évolution patiente du cinéma érotique français du « softcore » vers le « hardcore » ». Mais Benazeraf ne pouvait se contenter de cela. Ce « vieux » pratiquant du cinéma pornographique nous devait après ces longs prolégomènes vulgaires (les 4/5 du film) un morceau de bravoure. D’où une scène finale qui constitue un numéro de distanciation assez étonnant ; emprunts à la mode « rétro » et un hiératisme à la manière de Schmidt, maquillage de style fellinien, affèterie, dandysme, etc. Une messe du sexe assez curieuse, sorte de film dans le film cependant qu’un récitant impavide psalmodie une suite de mots (débauche, décadence, sexe, etc.). Ce numéro final assez « tape à l’oeil » ne sauve guère un film extrêmement bâclé et « je m’enfoutiste pour l’essentiel (…) LA SOUBRETTE, produit de consommation pour voyageurs de commerce amateur de sex-shop et de défoulement voyeuriste, ne fera pas date dans la filmographie « curieuse » de Benazeraf. » - Christian Bosséno, La Saison cinématographique 1975.
« C’est donc au milieu des beaux quartiers parisiens (…) que Benazeraf aura choisi de mettre en scène la faillite progressive de la masculinité (…) l’usage du gode-ceinture remplace avantageusement une virilité devenue obsolète. L’accessoire permet à l’auteur (…) de trouver une voie originale, aux confins du soft et du hardcore (…) s’il n’était le dénouement tragique on se croirait presque devant une sexy comédie à l’italienne bien loin de la descente aux enfers que constituera le stupéfiant LES DEUX GOUINES, dernier volet d‘une trilogie de l‘autodestruction masculine (…) ». » - Gilles Esposito, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Genevieve Corrado et Nanette Corey
Jacques Couderc et Sylvia Bourdon
Stephanie Saxe et Nanette Corey
Sylvia Bourdon et Nanette Corey
Sylvia Bourdon une infirmière Nanette Corey une infirmière Geneviève Corrado la nouvelle infirmière Stéphanie Saxe la femme du médecin Jacques Couderc M. Germain, l'huissier Magda Mundari participante à l'orgie Pierre Sandra
Réalisation : José Benazeraf
Scénario et dialogues : José Benazeraf
Image : Roland Dantigny
Caméra : Alain Thiollet
Montage : Claudio Ventura
Musique : Pierre Bachelet
Assistant réalisateur : Serge Ménard
régie : Henri Monti-Devignac
Directrice de production : Simone Benazeraf
Production : José Benazeraf - Les Productions du Chesne
Distribution : Les Films Jacques Leitienne
Tournage : 1974
Sortie le 29 janvier 1975
CRITIQUE(S) :
« On reste ahuri devant un scénario (?) aussi peu explicite (…) Le film, parfaitement adapté au public auquel il s’adresse, est une longue suite de séquences pornographiques très crues, témoignant d’une évolution patiente du cinéma érotique français du « softcore » vers le « hardcore » ». Mais Benazeraf ne pouvait se contenter de cela. Ce « vieux » pratiquant du cinéma pornographique nous devait après ces longs prolégomènes vulgaires (les 4/5 du film) un morceau de bravoure. D’où une scène finale qui constitue un numéro de distanciation assez étonnant ; emprunts à la mode « rétro » et un hiératisme à la manière de Schmidt, maquillage de style fellinien, affèterie, dandysme, etc. Une messe du sexe assez curieuse, sorte de film dans le film cependant qu’un récitant impavide psalmodie une suite de mots (débauche, décadence, sexe, etc.). Ce numéro final assez « tape à l’oeil » ne sauve guère un film extrêmement bâclé et « je m’enfoutiste pour l’essentiel (…) LA SOUBRETTE, produit de consommation pour voyageurs de commerce amateur de sex-shop et de défoulement voyeuriste, ne fera pas date dans la filmographie « curieuse » de Benazeraf. » - Christian Bosséno, La Saison cinématographique 1975.
« C’est donc au milieu des beaux quartiers parisiens (…) que Benazeraf aura choisi de mettre en scène la faillite progressive de la masculinité (…) l’usage du gode-ceinture remplace avantageusement une virilité devenue obsolète. L’accessoire permet à l’auteur (…) de trouver une voie originale, aux confins du soft et du hardcore (…) s’il n’était le dénouement tragique on se croirait presque devant une sexy comédie à l’italienne bien loin de la descente aux enfers que constituera le stupéfiant LES DEUX GOUINES, dernier volet d‘une trilogie de l‘autodestruction masculine (…) ». » - Gilles Esposito, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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