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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Nanette Corey Anne Pierre Sandra Pierre Sylvia Bourdon Sylvia Stéphanie Saxe Stéphanie Frédérique Barral une auto-stoppeuse Magda Mundari une auto-stoppeuse
Document sans nom
Réalisation : José Benazeraf
Scénario et dialogues : José Benazeraf
Image : Roland Dantigny
Caméra : José Benazeraf
Montage : Claudio Ventura
Musique : Pierre Bachelet
Directrice de production : Simone Benazeraf
Production : José Benazeraf - Les Productions du Chesne
Distribution : Les Films Jacques Leitienne
Tournage : 1974
Sortie le 30 avril 1975
CRITIQUE(S) :
« (...) Hélas, force est de constater que les produits signés Benazeraf n’ont rien à envier en médiocrité, en lourdeur, et osons le dire, en bêtise aux travaux de ses confrères, qui eux au moins, se dispensent généralement de se poser en donneurs de leçons. LA VEUVE LUBRIQUE en est un exemple éclatant - et affligeant (…) Tout ici sent la prétention et la pose. Il n’y aura sans doute que les fans irréductibles du maître pour trouver à ce film un quelconque intérêt. Les autres devront se contenter de l’ennui. » - Yves Enogat, La Saison cinématographique 1975.
« (...) Parfaite réussite dans sa simplicité et sa concision, ce film fait nettement ressortir ce que le projet de Benazeraf « l'Antonioni de Pigalle », partage avec le cinéaste italien : crise du couple et incommunicabilité conjugale, dimension fantastique et échappées fantasmatiques (…) Le film prend acte, très tôt, de la contre-révolution sexuelle d’après 68, par laquelle la bourgeoisie bien-pensante remplace la morale traditionnelle par un nouvel ordre reposant sur l’obligation de jouir (…) Que Benazeraf ait eu ce pressentiment avec pour ainsi dire trente ans d’avance, et dans le terrain balisé du fantastique conjugal, est proprement stupéfiant. » - Gilles Esposito, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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Frederique Barral et Nanette Corey
Magda Mundari et Stephanie Saxe
Pierre Sandra et Stephanie Saxe
Stephanie Saxe et Nanette Corey
Nanette Corey Anne Pierre Sandra Pierre Sylvia Bourdon Sylvia Stéphanie Saxe Stéphanie Frédérique Barral une auto-stoppeuse Magda Mundari une auto-stoppeuse
Réalisation : José Benazeraf
Scénario et dialogues : José Benazeraf
Image : Roland Dantigny
Caméra : José Benazeraf
Montage : Claudio Ventura
Musique : Pierre Bachelet
Directrice de production : Simone Benazeraf
Production : José Benazeraf - Les Productions du Chesne
Distribution : Les Films Jacques Leitienne
Tournage : 1974
Sortie le 30 avril 1975
CRITIQUE(S) :
« (...) Hélas, force est de constater que les produits signés Benazeraf n’ont rien à envier en médiocrité, en lourdeur, et osons le dire, en bêtise aux travaux de ses confrères, qui eux au moins, se dispensent généralement de se poser en donneurs de leçons. LA VEUVE LUBRIQUE en est un exemple éclatant - et affligeant (…) Tout ici sent la prétention et la pose. Il n’y aura sans doute que les fans irréductibles du maître pour trouver à ce film un quelconque intérêt. Les autres devront se contenter de l’ennui. » - Yves Enogat, La Saison cinématographique 1975.
« (...) Parfaite réussite dans sa simplicité et sa concision, ce film fait nettement ressortir ce que le projet de Benazeraf « l'Antonioni de Pigalle », partage avec le cinéaste italien : crise du couple et incommunicabilité conjugale, dimension fantastique et échappées fantasmatiques (…) Le film prend acte, très tôt, de la contre-révolution sexuelle d’après 68, par laquelle la bourgeoisie bien-pensante remplace la morale traditionnelle par un nouvel ordre reposant sur l’obligation de jouir (…) Que Benazeraf ait eu ce pressentiment avec pour ainsi dire trente ans d’avance, et dans le terrain balisé du fantastique conjugal, est proprement stupéfiant. » - Gilles Esposito, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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