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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Pierre Richard Pierre Michel Galabru Albert Claude Piéplu Le commandant Jean-Pierre Darras Paoli Marthe Mercadier Marie-Blanche Turgan René Clermont De Givray Charles Charras Abel Turgan Marlène Rick Ingrid Philippe Engrand Le chauffeur de taxi Claude Brosset L'égoutier Renaud Garcia Gabriel Raoul Curet L'inspecteur SNCF Jacques Boudet Un chef de gare Pierre Frag Un chef de gare Jean Mourat Le chauffeur de Gabriel André Nader Un officiel Henri Roger Un officiel Jacques Galland Un officiel Bernard Revon Le commandant de CRS Maryse Martin La buraliste Claude Evrard Un cheminot Henri Coutet Un cheminot Michel Robin Le contrôleur
Document sans nom
Employé au sein d'une compagnie de wagons-lits, rentré chez lui épuisé, Pierre ne peut pas dormir à cause du chant du coq de sa voisine. Voulant se débarrasser de l'animal, il se fait surprendre par son propriétaire qui croit qu'il l'admire et le lui offre. En bâillonnant l'animal il peut dormir, il croit l'abandonner dans le taxi qui l'emmène à son travail, mais le chauffeur parvient à lui refourguer d'extrême limite. Le coq éjecté d'un compartiment puis retrouvé, on ne sait comment, au beau milieu d'un fourgon plein de faisans, lesdits faisans ayant atterri à leur tour, on ne sait toujours pas comment, au beau milieu de voyageurs trouvant la chose assez désagréable en soi, Pierre, après avoir vainement tenté par tous les moyens de se débarrasser de la bestiole, finit par perdre son travail. Il saura s'en consoler, d'abord avec la ravissante hôtesse d'un grand express européen, Ingrid, ensuite en mangeant ... du poulet - préalablement cuit en cocotte... La vengeance est un plan qui se mange froid ? Certes. Mais mitonnée et cuisinée, elle n'en est souvent que meilleure...
Premier en date des deux seuls longs métrages réalisés par Christian-Paul Arrighi, qui signera encore, six ans plus tard, un très confidentiel "Moi, je veux voir la mer..." (1974) co-interprété par les comédiennes Florence Giorgetti & Martine Redon. Première tête d'affiche au grand écran de Pierre Richard (1934-), dont les discrets premiers pas cinématographiques remontaient à 1957. Il semble que ce soit le succès en salles, tin décembre 1970, du Distrait (Pierre Richard, 1970), tourné deux ans plus tard, qui ait finalement permis à La Coqueluche de bénéficier d'une tardive - pour l'époque - exploitation dans le circuit cinématographique.
Textes d'Armel de Lorme, "Encyclopédie des longs métrages" Volume 9.
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Claude Pieplu et Pierre Richard
Michel Galabru et Pierre Richard
Pierre Richard et Marthe Mercadier
Pierre Richard et Michel Galabru
Pierre Richard Pierre Michel Galabru Albert Claude Piéplu Le commandant Jean-Pierre Darras Paoli Marthe Mercadier Marie-Blanche Turgan René Clermont De Givray Charles Charras Abel Turgan Marlène Rick Ingrid Philippe Engrand Le chauffeur de taxi Claude Brosset L'égoutier Renaud Garcia Gabriel Raoul Curet L'inspecteur SNCF Jacques Boudet Un chef de gare Pierre Frag Un chef de gare Jean Mourat Le chauffeur de Gabriel André Nader Un officiel Henri Roger Un officiel Jacques Galland Un officiel Bernard Revon Le commandant de CRS Maryse Martin La buraliste Claude Evrard Un cheminot Henri Coutet Un cheminot Michel Robin Le contrôleur
Employé au sein d'une compagnie de wagons-lits, rentré chez lui épuisé, Pierre ne peut pas dormir à cause du chant du coq de sa voisine. Voulant se débarrasser de l'animal, il se fait surprendre par son propriétaire qui croit qu'il l'admire et le lui offre. En bâillonnant l'animal il peut dormir, il croit l'abandonner dans le taxi qui l'emmène à son travail, mais le chauffeur parvient à lui refourguer d'extrême limite. Le coq éjecté d'un compartiment puis retrouvé, on ne sait comment, au beau milieu d'un fourgon plein de faisans, lesdits faisans ayant atterri à leur tour, on ne sait toujours pas comment, au beau milieu de voyageurs trouvant la chose assez désagréable en soi, Pierre, après avoir vainement tenté par tous les moyens de se débarrasser de la bestiole, finit par perdre son travail. Il saura s'en consoler, d'abord avec la ravissante hôtesse d'un grand express européen, Ingrid, ensuite en mangeant ... du poulet - préalablement cuit en cocotte... La vengeance est un plan qui se mange froid ? Certes. Mais mitonnée et cuisinée, elle n'en est souvent que meilleure...
Premier en date des deux seuls longs métrages réalisés par Christian-Paul Arrighi, qui signera encore, six ans plus tard, un très confidentiel "Moi, je veux voir la mer..." (1974) co-interprété par les comédiennes Florence Giorgetti & Martine Redon. Première tête d'affiche au grand écran de Pierre Richard (1934-), dont les discrets premiers pas cinématographiques remontaient à 1957. Il semble que ce soit le succès en salles, tin décembre 1970, du Distrait (Pierre Richard, 1970), tourné deux ans plus tard, qui ait finalement permis à La Coqueluche de bénéficier d'une tardive - pour l'époque - exploitation dans le circuit cinématographique.
Textes d'Armel de Lorme, "Encyclopédie des longs métrages" Volume 9.
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