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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Jeanne Moreau Margaretha 'Greta' Zelle dite Mata-Hari Jean-Louis Trintignant Le capitaine François Lassalle Claude Rich Julien, le chauffeur de Mata Hari Frank Villard Le colonel Emile Pelletier Albert Rémy Adam Zelle, le père de Mata-Hari Georges Riquier Le contact de Mata-Hari Marcel Berbert L'homme qui suit Mata-Hari dans la rue Christian Brocard Un spectateur à l'Alcazar Henri Coutet Le soldat qui a les mains sales Jean Dalmain Pilâtre, l’acteur du Français Jean Degrave Le militaire qui annonce la prise de Douaumont à l'Alcazar Georges Demas Le soldat qui écrit Charles Denner Le 1er soldat qui vient apporter un message au colonel Pelletier Nicole Desailly Charlotte, la bonne de Mata-Hari Max Desrau Un spectateur à l'Alcazar Jean-Marie Drot Le chef des espions allemands Marie Dubois Marie, la jeune femme qui accompagne son fiancé à la gare Yvette Etiévant Yvette, l’ambulancière Guy Fox Le gendarme qui conduit la voiture qui poursuit celle de Mata-Hari Edouard Francomme Le clown qui jongle en coulisses à l'Alcazar Henri Garcin Gaston, un amant de Mata-Hari Bernard Garnier Le soldat fiancé de Marie Marcel Gassouk Un policier à la sortie de la banque Georges Géret Le 2d soldat qui vient apporter un message au colonel Pelletier Gisèle Grimm La passante abordée par le jeune crieur de journaux Jean-Pierre Léaud Absalon, le fils de la baronne du Maine Yvon Lec Le vieux douanier Sylvain Levignac Le soldat allemand tué par Mata-Hari dans les ruines Claude Mansard Le directeur de l'Alcazar Carla Marlier Ernestine, la bonne de la baronne du Maine Ernst Menzer Un militaire allemand Gaston Meunier Un officier à la gare Laure Paillette La femme du spectateur aux jumelles à l'Alcazar Hella Petri La baronne du Maine Jacques Préboist Un soldat avec des béquilles à la gare Paul Rieger Un militaire spectateur à l'Alcazar Serge Rousseau Merlin, le jeune douanier Lina Roxa Une religieuse à l'hôpital de Narbonne Christian de Tilière Le policier qui arrête Mata-Hari à la sortie de la banque André Tomasi Le soldat qui raccomode Roger Trapp Un infirmier Julien Verdier Maître Clunet, l’avocat de Mata-Hari Nono Zammit Le soldat qui vient réveiller le peloton d’exécution Lucien Camiret Un soldat
Document sans nom
Distributeur : C.C.F.C.
Scénario : Jean-Louis Richard, François Truffaut
Dialogue : François Truffaut
Directeur de la photographie : Michel Kelber
Décors : Claude Pignot
Montage : Kenout Peltier
Musique : Georges Delerue
La chanson ‘’Elle vendait des p’tits gâteaux’’, paroles de Jean Bertet et Vincent Scotto, musique de Vincent Scotto,
est fredonnée par Jeanne Moreau
Ingénieur du son : André Hervée
Assistants réalisateurs : Christian de Chalonge, Jean-Pierre Léaud
Costumes de Jeanne Moreau : Pierre Cardin
Directeur de production : Georges Casati
Produit par Eugène Lépicier
Une co-production franco-italienne :
Filmel – Les Films du Carrosse – Simar Paris
Fida Cinematografica Rome
Visa de contrôle cinématographique n°29.232
Extérieurs : Paris et région parisienne
Filmé en noir et blanc
Durée : 98 min. 25 sec.
Tournage d'août à septembre 1964
Date de sortie à Paris : 29/01/1965 aux cinémas Français, Miramar, Moulin-Rouge, Paris
Titre modifié par la suite et devenu : Mata Hari, agent H21
Nombre d’entrées à Paris : 313.155
Nombre d’entrées en France : 1.364.543
Notes :
- Hommage : une réception est donnée par la baronne du Maine qui présente son fils
Absalon et Pilâtre, acteur du Français qui en a assez du théâtre, dans les conversations on
entend parler de la petite Fanny qui travaille au ministère; il s’agit de citations de la
chanson ‘’Les relations mondaines’’ de Charles Trenet dans laquelle on trouve ces
personnages.
- Anachronisme : Mata-Hari fut fusillée le 15/10/1917, or, à 2 reprises on entend Jeanne
Moreau fredonner la chanson ‘’Elle vendait des p’tits gâteaux’’ qui ne fut créée par Mayol
qu'en 1919 !
- Certaines sources mentionnent Van Doude, Charles Lavialle et Pierre Tornade parmi les interprètes mais ils ne sont pas dans
le film.
- Autres actrices ayant incarné Mata Hari au cinéma avant Jeanne Moreau : Asta Nielsen, Greta Garbo, Délia Col et après :
Zsa Zsa Gabor, Sylvia Kristel. Pour la télévision on retiendra : Merle Oberon, Françoise Fabian, Cosetta Greco, Maruschka Detmers,
Vahina Giocante.
Résumé : 1916. La hollandaise Margaretha Zelle qui se fait appeler Mata-Hari se produit à l'Alcazar de Paris dans un
numéro de danse exotique et érotique. Mais elle est également une espionne au service des allemands sous le nom d'agent
H21, fournissant des informations à son contact régulier qui paie bien ses services, ce qui lui permet de subvenir aux
besoins de son père qui vit à ses crochets. Une mission lui est confiée : dérober des documents secrets détenus par le
capitaine Lassalle. Elle s'arrange pour le rencontrer lors d'une réception donnée par la baronne du Maine, le séduit et
l'emmène chez elle. Pendant qu'elle se donne à lui, les documents sont subtilisés par son contact. François, envoyé au front
est blessé lors d'une attaque et soigné dans un hôpital à Narbonne. Mata-Hari, amoureuse l'y rejoint et tous deux filent le
parfait amour jusqu'à ce qu'elle soit chargée d'une nouvelle mission. D'abord réticente, des menaces de représailles sur
François la font céder. Elle doit s'emparer de plans importants enfermés dans un coffre dont seul le colonel Pelletier a la
clé. Elle approche ce dernier et le voit régulièrement, François s'en apercevant, jaloux, rompt et s'en va. Elle réussit à
dérober la clé et à voler les plans convoités. De peur d'être soupçonnée elle décide de fuir en Espagne et à cette occasion,
son chauffeur Julien lui révèle qu'il appartient au même réseau d'espionnage qu'elle. Après un accrochage avec les gendarmes
ils arrivent à Barcelone où Mata-Hari rencontre les dirigeants du réseau qui, une fois qu'elle est partie, estiment qu'elle
n'est plus un agent aussi fiable et décident de la livrer aux français. Elle rentre en France et parvient à retrouver François
sur le front, ils tombent dans les bras l'un de l'autre et s'aiment dans une maison en ruine. Inconscients de l'avancée de
l'ennemi ils sont piégés par une patrouille allemande et François est tué. Mata-Hari s'échappe et regagne Paris où elle se
réfugie chez son père. Désirant retirer de l'argent à la banque elle est attendue et appréhendée par la police française.
Jugée et condamnée à mort elle sera fusillée le 15 octobre 1917 à Vincennes.
Fiche entiérement réalisée par Jean-Pierre Pecqueriaux
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Jeanne Moreau et Jean Louis Trintignant
Jeanne Moreau Margaretha 'Greta' Zelle dite Mata-Hari Jean-Louis Trintignant Le capitaine François Lassalle Claude Rich Julien, le chauffeur de Mata Hari Frank Villard Le colonel Emile Pelletier Albert Rémy Adam Zelle, le père de Mata-Hari Georges Riquier Le contact de Mata-Hari Marcel Berbert L'homme qui suit Mata-Hari dans la rue Christian Brocard Un spectateur à l'Alcazar Henri Coutet Le soldat qui a les mains sales Jean Dalmain Pilâtre, l’acteur du Français Jean Degrave Le militaire qui annonce la prise de Douaumont à l'Alcazar Georges Demas Le soldat qui écrit Charles Denner Le 1er soldat qui vient apporter un message au colonel Pelletier Nicole Desailly Charlotte, la bonne de Mata-Hari Max Desrau Un spectateur à l'Alcazar Jean-Marie Drot Le chef des espions allemands Marie Dubois Marie, la jeune femme qui accompagne son fiancé à la gare Yvette Etiévant Yvette, l’ambulancière Guy Fox Le gendarme qui conduit la voiture qui poursuit celle de Mata-Hari Edouard Francomme Le clown qui jongle en coulisses à l'Alcazar Henri Garcin Gaston, un amant de Mata-Hari Bernard Garnier Le soldat fiancé de Marie Marcel Gassouk Un policier à la sortie de la banque Georges Géret Le 2d soldat qui vient apporter un message au colonel Pelletier Gisèle Grimm La passante abordée par le jeune crieur de journaux Jean-Pierre Léaud Absalon, le fils de la baronne du Maine Yvon Lec Le vieux douanier Sylvain Levignac Le soldat allemand tué par Mata-Hari dans les ruines Claude Mansard Le directeur de l'Alcazar Carla Marlier Ernestine, la bonne de la baronne du Maine Ernst Menzer Un militaire allemand Gaston Meunier Un officier à la gare Laure Paillette La femme du spectateur aux jumelles à l'Alcazar Hella Petri La baronne du Maine Jacques Préboist Un soldat avec des béquilles à la gare Paul Rieger Un militaire spectateur à l'Alcazar Serge Rousseau Merlin, le jeune douanier Lina Roxa Une religieuse à l'hôpital de Narbonne Christian de Tilière Le policier qui arrête Mata-Hari à la sortie de la banque André Tomasi Le soldat qui raccomode Roger Trapp Un infirmier Julien Verdier Maître Clunet, l’avocat de Mata-Hari Nono Zammit Le soldat qui vient réveiller le peloton d’exécution Lucien Camiret Un soldat
Distributeur : C.C.F.C.
Scénario : Jean-Louis Richard, François Truffaut
Dialogue : François Truffaut
Directeur de la photographie : Michel Kelber
Décors : Claude Pignot
Montage : Kenout Peltier
Musique : Georges Delerue
La chanson ‘’Elle vendait des p’tits gâteaux’’, paroles de Jean Bertet et Vincent Scotto, musique de Vincent Scotto,
est fredonnée par Jeanne Moreau
Ingénieur du son : André Hervée
Assistants réalisateurs : Christian de Chalonge, Jean-Pierre Léaud
Costumes de Jeanne Moreau : Pierre Cardin
Directeur de production : Georges Casati
Produit par Eugène Lépicier
Une co-production franco-italienne :
Filmel – Les Films du Carrosse – Simar Paris
Fida Cinematografica Rome
Visa de contrôle cinématographique n°29.232
Extérieurs : Paris et région parisienne
Filmé en noir et blanc
Durée : 98 min. 25 sec.
Tournage d'août à septembre 1964
Date de sortie à Paris : 29/01/1965 aux cinémas Français, Miramar, Moulin-Rouge, Paris
Titre modifié par la suite et devenu : Mata Hari, agent H21
Nombre d’entrées à Paris : 313.155
Nombre d’entrées en France : 1.364.543
Notes :
- Hommage : une réception est donnée par la baronne du Maine qui présente son fils
Absalon et Pilâtre, acteur du Français qui en a assez du théâtre, dans les conversations on
entend parler de la petite Fanny qui travaille au ministère; il s’agit de citations de la
chanson ‘’Les relations mondaines’’ de Charles Trenet dans laquelle on trouve ces
personnages.
- Anachronisme : Mata-Hari fut fusillée le 15/10/1917, or, à 2 reprises on entend Jeanne
Moreau fredonner la chanson ‘’Elle vendait des p’tits gâteaux’’ qui ne fut créée par Mayol
qu'en 1919 !
- Certaines sources mentionnent Van Doude, Charles Lavialle et Pierre Tornade parmi les interprètes mais ils ne sont pas dans
le film.
- Autres actrices ayant incarné Mata Hari au cinéma avant Jeanne Moreau : Asta Nielsen, Greta Garbo, Délia Col et après :
Zsa Zsa Gabor, Sylvia Kristel. Pour la télévision on retiendra : Merle Oberon, Françoise Fabian, Cosetta Greco, Maruschka Detmers,
Vahina Giocante.
Résumé : 1916. La hollandaise Margaretha Zelle qui se fait appeler Mata-Hari se produit à l'Alcazar de Paris dans un
numéro de danse exotique et érotique. Mais elle est également une espionne au service des allemands sous le nom d'agent
H21, fournissant des informations à son contact régulier qui paie bien ses services, ce qui lui permet de subvenir aux
besoins de son père qui vit à ses crochets. Une mission lui est confiée : dérober des documents secrets détenus par le
capitaine Lassalle. Elle s'arrange pour le rencontrer lors d'une réception donnée par la baronne du Maine, le séduit et
l'emmène chez elle. Pendant qu'elle se donne à lui, les documents sont subtilisés par son contact. François, envoyé au front
est blessé lors d'une attaque et soigné dans un hôpital à Narbonne. Mata-Hari, amoureuse l'y rejoint et tous deux filent le
parfait amour jusqu'à ce qu'elle soit chargée d'une nouvelle mission. D'abord réticente, des menaces de représailles sur
François la font céder. Elle doit s'emparer de plans importants enfermés dans un coffre dont seul le colonel Pelletier a la
clé. Elle approche ce dernier et le voit régulièrement, François s'en apercevant, jaloux, rompt et s'en va. Elle réussit à
dérober la clé et à voler les plans convoités. De peur d'être soupçonnée elle décide de fuir en Espagne et à cette occasion,
son chauffeur Julien lui révèle qu'il appartient au même réseau d'espionnage qu'elle. Après un accrochage avec les gendarmes
ils arrivent à Barcelone où Mata-Hari rencontre les dirigeants du réseau qui, une fois qu'elle est partie, estiment qu'elle
n'est plus un agent aussi fiable et décident de la livrer aux français. Elle rentre en France et parvient à retrouver François
sur le front, ils tombent dans les bras l'un de l'autre et s'aiment dans une maison en ruine. Inconscients de l'avancée de
l'ennemi ils sont piégés par une patrouille allemande et François est tué. Mata-Hari s'échappe et regagne Paris où elle se
réfugie chez son père. Désirant retirer de l'argent à la banque elle est attendue et appréhendée par la police française.
Jugée et condamnée à mort elle sera fusillée le 15 octobre 1917 à Vincennes.
Fiche entiérement réalisée par Jean-Pierre Pecqueriaux
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