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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
SI Belmondo s'amuse en
jouant, Delon, lui, ne
plaisante pas. Il le dit
dans chacune de ses interviews. Ce n'est pas un
mystère : il joue pour
vendre du Delon, le vendre le plus cher possible
et le plus loin possible. Il
manquait à son blason de
jeune premier sportif un
film de cape et d'épée.
C'aurait pu être une sorte
de « Cartouche » poétique
et brillant, c'est une super-coproduction en couleurs : « La Tulipe noire ». D'Alexandre Dumas,
dont on prétend avoir
adapté le célèbre roman,
il ne reste rien, que le
titre qui sert à Christian-Jaque et à Henri Jeanson
pour tromper le public et
faire croire à une opération « Fanfan la Tulipe »bis.
Il est sans doute un peu candide de prendre la défense de Dumas père — cent ans après — mais son roman vaut mille fois mieux que le scénario de Jeanson et il est très désagréable de voir piller les titres à succès pour mettre n'importe quoi dessous.
Ce n'importe quoi, signé Jeanson, se passe dans le sud de la France, à la veille du 14 juillet 1789. Voilà du divertissement de gros calibre. Cela peut plaire si l'on n'est pas trop exigeant. Je souhaite à M. Delon que cela se vende très bien, très loin, le plus loin possible...
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Il est sans doute un peu candide de prendre la défense de Dumas père — cent ans après — mais son roman vaut mille fois mieux que le scénario de Jeanson et il est très désagréable de voir piller les titres à succès pour mettre n'importe quoi dessous.
Ce n'importe quoi, signé Jeanson, se passe dans le sud de la France, à la veille du 14 juillet 1789. Voilà du divertissement de gros calibre. Cela peut plaire si l'on n'est pas trop exigeant. Je souhaite à M. Delon que cela se vende très bien, très loin, le plus loin possible...
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