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Anne Tihomiroff et Laetitia Gabrielli
Catherine Lachens et Jean Luc Moreau
Laetitia Gabrielli et Chantal Nobel
Mylene Demongeot et Marie Georges Pascal
Pierre Massimi et Chantal Nobel
Jean Marie Retby et Michel Baumann
Inconnu 3 un flic de la mondaine
Nathalie Hayat et Yannick Groell
Laetitia Gabrielli et Anne Tihomiroff nues
Laetitia Gabrielli Anne Tihomiroff et MG Pascal
Michel Baumann et Chantal Nobel
Chantal Nobel Wanda Roumanoff Pierre Massimi Beauclair Jean-Luc Moreau Gratien Scorda Pierre Banderet Philippe Audray Marc Chapiteau FTN Mylène Demongeot « la maîtresse » Laetitia Gabrielli Sylvie Cortazzi Anne Tihomiroff Marie-Christine Catherine Lachens Barbara, la barmaid du Cormoran Nadine Alari Véronique Duvilliers Michel Barbey le flic de la mondaine Philippe Lelièvre Johnny Christophe Bourseiller l'informaticien Nathalie Hayat Caroline Yannick Groell Anne Jacques Balutin Gilet, le chauffeur du camion Henri Virlojeux Barraud, le chauffeur de taxi Michel Peyrelon Jean-Philippe Lamblin Xavier Maly Freddy Annie Savarin la concierge Daniel Gall Roméo Vanessa Vaylord la fille avec Roméo Marie-Georges Pascal l'assistante de « la maîtresse » Éric Hémon Karl Olivier Hémon Roger Michel Berreur le tueur Jean-Michel Molé le barman Héloïse Mignot la mère de Marie-Christine Daniel Léger le père de Marie-Christine Nicole Desailly la femme de la cabine téléphonique Pierre Londiche « Monsieur X » Daniel Breton Steve Guy Mercier un homme de main Michel Baumann un policier Jean-Marie Retby un policier Jean-Marc Dupuis Patrice Laclau
Réalisation : Jean-Pierre Desagnat
Scénario : Jean Ardy, Guy Pérol
Dialogues : Patrick Laurent
Image : Maurice Fellous
Caméra : Eric Fauchere
Assistants opérateur : Jean-Claude Gaillard, François Le Corre
Son : Paul Laine
Décor : Frédéric Astich
Musique : Emilhenco
Montage : Janette Kronegger
Assistantes montage : Françoise Pierat, Françoise Bauer
Mixage : Henri Graff
Bruiteur : Jacky Dufour
Assistants réalisateur : Pascal Fellous, Michel d'Arcangues
Stagiaire : Laurent Lutaud
Scripte : Martine Macqueron
Photographe de plateau : Alain Caste
Perchman : Michel Villain
Accessoiristes : Alain Alexandre, Johnny Wessler
Costumes : Magali Fustier, Philomene Ghene
Maquillage : Ghyslaine Zay, Joelle Le Mener
Cascades véhicules : Rémy Julienne
Cascades combats : Claude Carliez
Electriciens : Serge Cry, Leon Esconjaureguy, Michel Vedie
Machinistes : Roland Reffet, Patrick Vanecloo
Régie : Sylvain Hecht
Administration : Robert Chevereau
Producteur executif : Guy Pérol
Producteur délégué : Adolphe Viezzi
Production : Adolphe Viezzi, Jean Ardy - Les Films de la Tour / TF1 Films Production
Sortie : 13 juillet 1983
Sous la conduite du commissaire Beauclair, l'inspectrice Wanda Romanoff et les hommes de la brigade anti-gang se lancent dans le démantèlement d'un réseau de prostitution. Deux jeunes filles réchappées du réseaux, Marie-Christine et Sylvie sont invitées à témoigner à la télévision. La première est assassinée la veille de l'enregistrement de l'émission...
Le film est tiré de ''Pièges pour fugueuses'', roman de la série ''Flics de choc'' imaginée par Serge Jacquemard et publiée aux éditions Fleuve Noir.
CRITIQUE(S)
« Ce genre de films ressemble surtout, a priori, à un dépliant publicitaire (dissuasif) à usage des terroristes et autres représentants du grand banditisme, vantant les mérites et la détermination des belles polices de nos contrées. Ce genre de propos, quoi qu’on en pense d’un point de vue idéologique, n’est pas un mauvais thème pour le cinéma. Il lui faut simplement être englobé dans un scénario digne du nom, avec des personnages qui existent, des arrière-plans crédibles, une mise en scène mouvementée, riche en suspense, et un minimum de relief voire d’intelligence (est-ce compatible ?) dans l’argumentation. Action et rythme mis à part, toutes ces conditions sont singulièrement absentes ici. Le côté boy-scout de choc de l’entreprise et des cinq personnages principaux ne donne lieu qu’à une désolante naïveté, avec des dialogues démonstratifs et ridicules à force de vouloir trop montrer qu’ils sont « dans la note ». Un peu d’humour par ci par là, dont on retiendra juste la réflexion de FTN à son collègue de la Mondaine : « Je croyais que la guerre des polices ça n’existait qu’au cinéma. » Private joke. Au fond, nous dit le film, tout ce petit monde s’entend comme larrons en foire. Pas de problème, donc. » -Gilles Golpart, La Saison cinématographique 1984
Stéphane Bruyère, Octobre 2014, 2017