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Marie Jose et Saint Ober a gauche
Michel Simon et Henri de Livry
Michel Simon et Suzanne Dantes
Robert Arnoux et Jeanine Roger
Robert Arnoux et Jeanine Roger
Michel Simon Monsieur Le Sentencier Suzanne Dantès Mme Le Sentencier Dorville le père Bouic Arletty Marie Qu'a d'Ca Andrex Môme de Dieu Mila Parely la Panthère Robert Arnoux Gabriel, le chauffeur Georges Lannes Coup de Châsse Robert Ozanne Cinq de Canne Marie-José Mme Cinq de Canne Liliane Lesaffre Madame Bouic Emile Saint-Ober Coco François Simon la Poupée Jeanine Roger la petite amie de Gabriel René Lacourt l'employé des pompes funèbres Georges Bever le marchand de cycles Henri de Livry l'épicier d'Aulnay Jean Hubert Julien Barrot Jacques Albert Robert Sidonac
Réalisation : Jean Boyer
Scénario : Jean Boyer et Jean-Pierre Feydeau, d'après le roman "A l'héritage" de Marcel Arnac
Dialogues : Yves Mirande
Image : Victor Arménise
Assistants opérateur : René Ribault, Pierre Bachelet
Son : Antoine Archimbaud
Montage : Maurice Serein
Musique : Georges Van Parys
Chansons : Georges Van Parys - Jean Boyer
Assistant réalisateur : Christian Chamborant
Décors : Jacques Colombier
Assistant décorateur : Roux
Script : Georgette Perrin
Régie générale : Martinetti
Photographe de plateau : Roger Corbeau
Tournage : Studios Pathé-Cinéma de Joinville-le-Pont
Enregistrement : R.C.A. Photophone
Tirage : Pathé-Cinéma
Production : Pierre Geoffroy, Joe Francys - Societé Française de Production et d'Édition
Date de sortie : 26 juillet 1939
Le Sentencier, le procureur le plus redouté du tribunal de la Seine qui appliquait le code pénal avec une rigueur telle qu’il s’était gagné le sobriquets de « Monsieur maximum », est mis à la retraite. Monsieur et Madame Le Sentencier ont pour premier projet de partir trois semaines à Plombières pour soigner leurs intestins délicats. L’expédition n’est guère du goût de Gabriel, leur chauffeur, qui craint de laisser seule sa petite amie courtisée par un garçon boucher. A quelques kilomètres de Paris, Gabriel simule une panne, rentre précipitamment et surprend l’infidèle. L’altercation qui suit lui vaut de passer la nuit derrière les barreaux. Privés de chauffeur, les Le Sentencier sont désemparés. Madame décide de prendre les choses en main, parvient à démarrer la voiture mais ne fait que quelques mètres avant de rencontrer un mur. Le couple trouvent refuge dans un petit bistrot où le père Bouic accueille une clientèle plutôt interlope. Deux habitués semblent beaucoup s’intéresser à Madame Le Sentencier, et plus particulièrement à la broche qu’elle porte. Un petit air d’accordéon, un petit refrain sympathique, la glace est rompue…
Stéphane Bruyère, Janvier 2018