Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo
Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
C'EST « Bebel » au Brésil, bande dessinée
humoristique, irrésistible
de mouvement, de gaieté,
de santé. Cette symphonie
pour acrobates et hurluberlus est menée tambour
battant par Philippe de
Broca (qui fit « Cartouche »), dialoguée par
Daniel Boulanger, qui a
écrit tant de bons dialogues depuis « A bout de
souffle » qu'il ne prend
pas le temps de se retourner sur ses répliques pour
juger de leur effet. On
peut le rassurer, elles font
mouche à tout coup,
ponctuant à merveille la
course-poursuite rocambolesque menée, à fond de
train, par Belmondo et
ses complices.
Quelle aventure ! Bebel, deuxième classe à Saint-Dizier, vient passer huit Jours de perm' à Paris auprès d'Agnès, sa fiancée. Les sbires d'un savant fou, qui cherche à s'approprier le « fameux trésor maltèque », enlèvent la jeune fille au nez de Bebel. Il les poursuit,.. jusqu'à Rio, et triomphe a temps pour aller se mettre au garde à vous devant l'adjudant de semaine. La perm' est finie. L'intrigue, parfaitement invraisemblable, pastiche avec délices Tarzan, Tintin, Popeye, « Orfeu Negro », « La Mort aux trousses » (de l'oncle Alfred Hitchcock) et les documentaires du style « L'Enfer vert, ses nénuphars géants et ses alligators ». Il y a aussi un zeste de Bayard et, pour faire bon poids, une tranche d' « Hommes volants ».
Broca jongle avec toutes ces allusions, l'humour galope, le film vole et Belmondo incarne tous les héros. Infatigable, inusable, incassable, jamais doublé, jamais essoufflé, sportif et décontracté, il mène le jeu en s'amusant comme un petit fou. Françoise Dorléac suit le mouvement : follette, guillerette et drôle, cette jolie personne marche sur les traces de Sophie Desmarets. En savant nietzschéen, Jean Servais est très inquiétant et Simone Renant nous offre une piquante version rose de l'Ange bleu. Et puis, il y a Rio, splemdide sous la caméra de Séchan. et Brasilia, terrifiante merveille de lignes qui jaillit de la poussière rouge du désert. C'est très drôle, mais c'est aussi très beau, « L'Homme de Rio ».
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Quelle aventure ! Bebel, deuxième classe à Saint-Dizier, vient passer huit Jours de perm' à Paris auprès d'Agnès, sa fiancée. Les sbires d'un savant fou, qui cherche à s'approprier le « fameux trésor maltèque », enlèvent la jeune fille au nez de Bebel. Il les poursuit,.. jusqu'à Rio, et triomphe a temps pour aller se mettre au garde à vous devant l'adjudant de semaine. La perm' est finie. L'intrigue, parfaitement invraisemblable, pastiche avec délices Tarzan, Tintin, Popeye, « Orfeu Negro », « La Mort aux trousses » (de l'oncle Alfred Hitchcock) et les documentaires du style « L'Enfer vert, ses nénuphars géants et ses alligators ». Il y a aussi un zeste de Bayard et, pour faire bon poids, une tranche d' « Hommes volants ».
Broca jongle avec toutes ces allusions, l'humour galope, le film vole et Belmondo incarne tous les héros. Infatigable, inusable, incassable, jamais doublé, jamais essoufflé, sportif et décontracté, il mène le jeu en s'amusant comme un petit fou. Françoise Dorléac suit le mouvement : follette, guillerette et drôle, cette jolie personne marche sur les traces de Sophie Desmarets. En savant nietzschéen, Jean Servais est très inquiétant et Simone Renant nous offre une piquante version rose de l'Ange bleu. Et puis, il y a Rio, splemdide sous la caméra de Séchan. et Brasilia, terrifiante merveille de lignes qui jaillit de la poussière rouge du désert. C'est très drôle, mais c'est aussi très beau, « L'Homme de Rio ».
Vous pouvez déposer un commentaire :