• Accueil
  • Films
  • Acteurs
  • Réalisateurs
  • Nouveautés
  • Contact
  • Equipe
  • Naïs 
    Raymond Leboursier - 1945
    Partager cette page sur Facebook :
    Achetez "Naïs" sur
    Amazon
    En cas de non disponibilité me contacter


    Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo


    Distribution :


     Jacqueline Pagnol dans Naïs
     
     
    Jacqueline Pagnol 


     Fernandel dans Naïs
     
     
    Fernandel 


     Raymond Pellegrin dans Naïs
     
     
    Raymond Pellegrin 


     Henri Poupon dans Naïs
     
     
    Henri Poupon 


     Germaine Kerjean dans Naïs
     
     
    Germaine Kerjean 


     Henri Arius dans Naïs
     
     
    Henri Arius 


     Charles Blavette dans Naïs
     
     
    Charles Blavette 


     Marthe Marty dans Naïs
     
     
    Marthe Marty 

    Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
    Images du film :
    Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.

    Naïs Naïs

    Fernandel Fernandel

    Fernandel Fernandel

    Fernandel et Charles Blavette Fernandel et Charles Blavette

    Fernandel et Jacqueline Pagnol Fernandel et Jacqueline Pagnol

    Germaine Kerjean et Jacqueline Pagnol Germaine Kerjean et Jacqueline Pagnol

    Germaine Kerjean Germaine Kerjean

    Henri Arius Henri Arius

    Henri Poupon Henri Poupon

    Henri Poupon Henri Poupon

    Jacqueline Pagnol Jacqueline Pagnol

    Jacqueline Pagnol Jacqueline Pagnol

    Jacqueline Pagnol Jacqueline Pagnol

    Jacqueline Pagnol Jacqueline Pagnol

    Jacqueline Pagnol et Fernandel Jacqueline Pagnol et Fernandel

    Nais Nais

    Nais Nais

    Nais Nais

    Paule Langlais et Raymond Pellegrin Paule Langlais et Raymond Pellegrin

    Paule Langlais et Raymond Pellegrin Paule Langlais et Raymond Pellegrin

    Raymond Pellegrin et Jacqueline Pagnol Raymond Pellegrin et Jacqueline Pagnol

    Raymond Pellegrin et Jacqueline Pagnol Raymond Pellegrin et Jacqueline Pagnol

    Raymond Pellegrin et Jacqueline Pagnol Raymond Pellegrin et Jacqueline Pagnol

    Raymond Pellegrin et Jacqueline Pagnol Raymond Pellegrin et Jacqueline Pagnol

    Raymond Pellegrin Raymond Pellegrin

    X1 a gauche ami de Frederic X1 a gauche ami de Frederic

    X2 a droite ami de Frederic X2 a droite ami de Frederic

    X3 a gauche Un pecheur X3 a gauche Un pecheur

    X4 et Henri Poupon X4 et Henri Poupon


    Document sans nom
    Fernandel Toine Jacqueline Pagnol Naïs Micoulin Raymond Pellegrin Frédéric Henri Poupon Micoulin Henri Arius Maître Rostaing Germaine Kerjean Madame Rostaing Charles Blavette Honoré Bernier, l'ingénieur Paule Langlais Simone Marthe Marty Amélie
    Document sans nom
    Réalisation : Marcel Pagnol, Raymond Leboursier
    Scénario et dialogues : Marcel Pagnol, d'après Naïs Micoulin d'Émile Zola
    Images : Charles Suin, Walter Wottitz
    Montage : Jeannette Rongier
    Son : René Privat, Jacques Legras
    Musique : Vincent Scotto, Henri Tomasi
    Décors : Robert Giordani
    Tournage : 12 mai - juin 1945
    Directeur de production : Jean Martinetti
    Production : Marcel Pagnol - Société Nouvelle des Films Marcel Pagnol
    Société de distribution : Gaumont
    Sortie le 22 novembre 1945

    Toine cache sous sa bosse un grand cœur et un amour aussi immense que désespéré pour la jolie Naïs, qu’il connaît depuis l’enfance. Un ami lui donne un peu d’espoir en lui racontant l’histoire du duc de Lauzun, un célère bossu, qui malgré sa difformité fut aimé des femmes, de toutes les femmes, même des princesses. Toine sait aussi qu’il faut redouter la colère de Micoulin, le père de la jeune fille, qui ne plaisante pas avec la bagatelle. Pour lui, le destin de Naïs est tout tracé. Sa fille unique restera sous son toit pour l’assister dans ses vieux jours. Puis l’inéluctable arrive. Naïs tombe amoureuse de Frédéric Rostaing, le fils de riches bourgeois d'Aix propriétaires du domaine qu’exploite Micoulin…

    CRITIQUE(S):
    « (…) Comme tout artiste, Pagnol creuse le sillon qu‘il a tracé, presse sa muse jusqu’à saturation. NAIS réunit en un faisceau irréprochable, proche de l‘archétype, les caractères de ses précédents héros (…) Nais, jolie campagnarde de dix-huit ans, pure comme le lis (…) cumule la santé robuste de Fanny, la soumission presque masochiste d‘Angèle et d‘Arsule, l‘humilité noble et gracieuse de Patricia, la dignité tragique de Florence, le tout corrigé par le charme un peu félin de Jacqueline Pagnol, qui "rodait"  ici en quelque sorte son personnage de Manon des sources. Enfin et surtout Toine, le bossu magnanime, magistralement incarné par Fernandel, c’est tout ensemble saturnin, Merlusse, Albin, Felipe et Ugolin, pauvre hère portant sur ses épaules renforcées tout le malheur de la terre, bête se consument d’amour impossible pour sa belle, Christ perpétuellement aux outrages et qui rayonne de bonté, confident et souffre-douleur de la communauté, celui grâce auquel le scandale n’arrive pas, en bref parfait rédempteur - si parfait qu’il en devient irréel. Il y a plus : il y a l’antagonisme maintes fois accusé par Pagnol, mais qui atteint ici sa phase cruciale, entre la ville porteuse de tous les vices et la campagne régénératrice (…) ce qui sous-entend que la belle enfant n’est pas au bout de ses peines en acceptant d’aller vire à Paris avec sa nouvelle famille (…) Qu‘adviendra-t-il de la pauvre Nais, qui n‘est même pas sûre de devenir Mme Rostaing, après cet exil ? Il se pourrait que la fin du film soit moins heureuse qu‘elle en a l‘air. Peu de critiques, découvrant NAIS au lendemain de la guerre, ont perçu la véritable dimension de l‘œuvre, qui est, nous semble-t-il, proprement allégorique (…) » - Claude Beylie, Marcel Pagnol, Cinéma d’Aujourd’hui, Seghers 1974


    Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017

    Vous pouvez déposer un commentaire :

     pseudo
     E-mail   (Non-publié)

     Votre commentaire