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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Bernard Le Coq Jacques Maréchal Jenny Arasse Nicole Maréchal René Camoin Pontier, le chef de service Richard Caron Maniaval Gabriel Cattand Carbonnier, le directeur général Jacques Chevalier un employé Alain Choquet Picard, le psychologue de l’entreprise Martine Demaret Simone, la sténo des responsables de secteurs Pierre Devilder Poujol Yvette Dolvia Mme Saintonge Dady Duguay (= Deddy Duguay) une employée Bernard Dumaine Roques, le directeur du personnel Ghislaine Krouck Colette, la secrétaire de Pontier Pierre Maguelon le délégué syndical François Maisongrosse François, le garçon de café Yves Pignot Daniel Danièle Renault la secrétaire de Carbonnier Michel Ruhl Castres, le sous-chef de service Etienne Jaumillot un employé (non crédité)
Document sans nom
Scénario et dialogues : Jean-Claude Carrière et Maurice Failevic
Directeur de la photographie : Serge Palatsi
Cadreur : Jacques Bourguignon
assisté de Daniel Smague
Montage : Claude Fréchède
assistée de Catherine Chouchan
Illustration sonore : Even de Tissot
Chanson ‘’La mer’’ – paroles et musique de Charles Trenet, fredonnée par Bernard Le Coq et Yves Pignot
Ingénieur du son : Mario Vinck
Perchman : Michel Boulène
Mixage : Daniel Léonard
Assistants de réalisation : Georges Groult, Patricia Saint-Georges
Scripte : Jacqueline Wieber
Chef de plateau : Guy Chérel
Ensemblière : Martine Vallée
Maquilleuse : Marie-Paule Arfouilloux
Costumière : Lisèle Roos
Habilleuse : Anne-Marie Percevault
Chef électricien : Joseph Maggiore
Electricien : Jacques Richard
Chef machiniste : Claude Pospiech
Accessoiriste : Guy Fabre
Etalonnage : Nicole Monteil
Chargée de production : Amélia Gozlan
Une production TF1
Producteur exécutif : S.F.P.
Extérieurs : les tours Galliéni à Bagnolet (93)
Durée : 75 min.
Date de 1ère diffusion : 11/01/1978
Prix de la Fondation de France Albert Olivier
Résumé : Jacques est un cadre commercial lassé de son travail routinier et un jour la proposition de
Daniel, un cousin de sa femme, de s'associer pour l'ouverture d'un centre de loisirs en bord de
mer le séduit. Cependant ce projet nécessite une mise de fonds assez importante et n'ayant pas
d'argent de côté une seule solution s'offre à lui : se faire licencier avec une indemnité.
Tout en restant dans les limites de la réglementation de son entreprise afin de ne pas risquer
la faute professionnelle il entreprend des actions qui agacent fortement la hiérarchie
immédiate mais lui attirent les félicitations de la direction générale avec promotion à la clé.
Contrarié d'obtenir l'effet inverse de ce qu'il recherche il pousse encore plus loin dans la
provocation et finit par déclencher un véritable remous dans toute la société. Cette fois la
coupe est pleine et on lui signifie son licenciement avec indemnité. Tout heureux d'arriver à
ses fins, le soir même il célèbre la nouvelle avec sa femme et Daniel mais en arrivant au
bureau le lendemain matin afin de ranger ses affaires il trouve l'ensemble de ses collègues
tous mobilisés contre son licenciement, appuyés par le délégué syndical et bien décidés à ne
pas le laisser partir ...
Avis : Pour qui a fait carrière dans des bureaux l'atmosphère créée respire l'authenticité : ambiance
feutrée, bureaux exigus et sans fenêtres, employés qui se font rabrouer en réunion mais trop
timorés pour se rebeller, responsables qui estiment avoir raison et ont horreur qu'on leur tienne
tête, frictions entre collègues, rien ne manque, on s'y croirait.
On ne peut s'empêcher de rire lorsque les agissements de Jacques n'entraînent pas du tout le
résultat escompté, on jubile, on attend avec impatience comment il va s'en sortir. Bref, ce
téléfilm est une incontestable réussite avec un scénario d'une grande finesse, on savoure notre
plaisir.
Côté interprétation c'est le top : Bernard Le Coq est comme d'habitude parfait. La scène de
l'entretien avec le directeur général est un morceau de bravoure car persuadé qu'il a été
convoqué pour qu'on lui annonce son limogeage, ce qui le réjouit d'avance, il reçoit en fait des
félicitations et des encouragements. Sans dire un seul mot, par la seule expressivité de son
visage il sait faire comprendre ce qui se passe alors dans sa tête, combien il est contrarié en
réalisant que la tournure des événements va complètement à l'encontre de son projet. Tout cela
avec beaucoup de sobriété, un grand comédien.
Mais n'oublions pas les hauts responsables joués par René Camoin, Michel Ruhl, Bernard Dumaine et
Gabriel Cattand, tous criants de vérité.
Jean-Pierre Pecqueriaux
Avril 2024
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
13 Pierre Devilder Yvette Dolvia
18 Jenny Arasse Bernard Le Coq
Bernard Le Coq Jacques Maréchal Jenny Arasse Nicole Maréchal René Camoin Pontier, le chef de service Richard Caron Maniaval Gabriel Cattand Carbonnier, le directeur général Jacques Chevalier un employé Alain Choquet Picard, le psychologue de l’entreprise Martine Demaret Simone, la sténo des responsables de secteurs Pierre Devilder Poujol Yvette Dolvia Mme Saintonge Dady Duguay (= Deddy Duguay) une employée Bernard Dumaine Roques, le directeur du personnel Ghislaine Krouck Colette, la secrétaire de Pontier Pierre Maguelon le délégué syndical François Maisongrosse François, le garçon de café Yves Pignot Daniel Danièle Renault la secrétaire de Carbonnier Michel Ruhl Castres, le sous-chef de service Etienne Jaumillot un employé (non crédité)
Scénario et dialogues : Jean-Claude Carrière et Maurice Failevic
Directeur de la photographie : Serge Palatsi
Cadreur : Jacques Bourguignon
assisté de Daniel Smague
Montage : Claude Fréchède
assistée de Catherine Chouchan
Illustration sonore : Even de Tissot
Chanson ‘’La mer’’ – paroles et musique de Charles Trenet, fredonnée par Bernard Le Coq et Yves Pignot
Ingénieur du son : Mario Vinck
Perchman : Michel Boulène
Mixage : Daniel Léonard
Assistants de réalisation : Georges Groult, Patricia Saint-Georges
Scripte : Jacqueline Wieber
Chef de plateau : Guy Chérel
Ensemblière : Martine Vallée
Maquilleuse : Marie-Paule Arfouilloux
Costumière : Lisèle Roos
Habilleuse : Anne-Marie Percevault
Chef électricien : Joseph Maggiore
Electricien : Jacques Richard
Chef machiniste : Claude Pospiech
Accessoiriste : Guy Fabre
Etalonnage : Nicole Monteil
Chargée de production : Amélia Gozlan
Une production TF1
Producteur exécutif : S.F.P.
Extérieurs : les tours Galliéni à Bagnolet (93)
Durée : 75 min.
Date de 1ère diffusion : 11/01/1978
Prix de la Fondation de France Albert Olivier
Résumé : Jacques est un cadre commercial lassé de son travail routinier et un jour la proposition de
Daniel, un cousin de sa femme, de s'associer pour l'ouverture d'un centre de loisirs en bord de
mer le séduit. Cependant ce projet nécessite une mise de fonds assez importante et n'ayant pas
d'argent de côté une seule solution s'offre à lui : se faire licencier avec une indemnité.
Tout en restant dans les limites de la réglementation de son entreprise afin de ne pas risquer
la faute professionnelle il entreprend des actions qui agacent fortement la hiérarchie
immédiate mais lui attirent les félicitations de la direction générale avec promotion à la clé.
Contrarié d'obtenir l'effet inverse de ce qu'il recherche il pousse encore plus loin dans la
provocation et finit par déclencher un véritable remous dans toute la société. Cette fois la
coupe est pleine et on lui signifie son licenciement avec indemnité. Tout heureux d'arriver à
ses fins, le soir même il célèbre la nouvelle avec sa femme et Daniel mais en arrivant au
bureau le lendemain matin afin de ranger ses affaires il trouve l'ensemble de ses collègues
tous mobilisés contre son licenciement, appuyés par le délégué syndical et bien décidés à ne
pas le laisser partir ...
Avis : Pour qui a fait carrière dans des bureaux l'atmosphère créée respire l'authenticité : ambiance
feutrée, bureaux exigus et sans fenêtres, employés qui se font rabrouer en réunion mais trop
timorés pour se rebeller, responsables qui estiment avoir raison et ont horreur qu'on leur tienne
tête, frictions entre collègues, rien ne manque, on s'y croirait.
On ne peut s'empêcher de rire lorsque les agissements de Jacques n'entraînent pas du tout le
résultat escompté, on jubile, on attend avec impatience comment il va s'en sortir. Bref, ce
téléfilm est une incontestable réussite avec un scénario d'une grande finesse, on savoure notre
plaisir.
Côté interprétation c'est le top : Bernard Le Coq est comme d'habitude parfait. La scène de
l'entretien avec le directeur général est un morceau de bravoure car persuadé qu'il a été
convoqué pour qu'on lui annonce son limogeage, ce qui le réjouit d'avance, il reçoit en fait des
félicitations et des encouragements. Sans dire un seul mot, par la seule expressivité de son
visage il sait faire comprendre ce qui se passe alors dans sa tête, combien il est contrarié en
réalisant que la tournure des événements va complètement à l'encontre de son projet. Tout cela
avec beaucoup de sobriété, un grand comédien.
Mais n'oublions pas les hauts responsables joués par René Camoin, Michel Ruhl, Bernard Dumaine et
Gabriel Cattand, tous criants de vérité.
Jean-Pierre Pecqueriaux
Avril 2024
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