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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
CEST un jeu de cache-cache et de poursuites, une vraie distraction du jeudi pour petits et grands enfants. Une situation invraisemblable, des rebondissements rocambolesques, une parodie de film d'aventures à califourchon sur « Tintin » et « Goldfinger » et, pour être tout à fait précis, un rejeton de « L'Homme de Rio », d'heureuse mémoire.
Un succès n'arrive jamais seul au cinéma ; dès qu'il est connu, on le dissèque : « Qu'est-ce qui a fait courir le spectateur ?» Pour « L'Homme de Rio », on le sait : c'est Bebel aux trousses d'une fiancée fofolle, enlevée par des affreux sous la coupe d'un savant nietzschéen. C'est aussi Rio, les sambas, etc.
Bon ! Partant des données de ce modèle si réussi, on en prend d'autres et on recommence. Abidjan (Côte-d'Ivoire) et Cocody, sa banlieue résidentielle, remplacent Rio et Brasilia (dépaysement et folklore assurés). Jean Marais fait son petit gala des artistes personnel en prenant la relève de Bebel.
Liselotte Pulver chasse le papillon que la fiancée de Bebel avait dans la tête ; le savant nietzschéen s'appelle « Le Cerveau », et il est bicéphale : Jacques Morel et Philippe Clay lui soufflent ses diaboliques initiatives, bien réjouissantes pour le spectateur. Christian-Jaque fait cascader tout ce petit monde, « traveligne » à toute vitesse, passe de l'hélicoptère au dix tonnes, puis au bateau ; sa caméra virevolte avec agilité autour de voitures lancées à toute allure sur une immense plaque de mazout. Pas le temps de s'ennuyer.
Alors, qu'est-ce qui ternit donc notre plaisir ? Justement, le souvenir de « L'Homme de Rio ». Il y avait bien d'autres cordes plus subtiles à l'arc de Philippe de Broca que les ficelles auxquelles se sont accrochés ses imitateurs. Cela leur apprendra à copier !
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CEST un jeu de cache-cache et de poursuites, une vraie distraction du jeudi pour petits et grands enfants. Une situation invraisemblable, des rebondissements rocambolesques, une parodie de film d'aventures à califourchon sur « Tintin » et « Goldfinger » et, pour être tout à fait précis, un rejeton de « L'Homme de Rio », d'heureuse mémoire.
Un succès n'arrive jamais seul au cinéma ; dès qu'il est connu, on le dissèque : « Qu'est-ce qui a fait courir le spectateur ?» Pour « L'Homme de Rio », on le sait : c'est Bebel aux trousses d'une fiancée fofolle, enlevée par des affreux sous la coupe d'un savant nietzschéen. C'est aussi Rio, les sambas, etc.
Bon ! Partant des données de ce modèle si réussi, on en prend d'autres et on recommence. Abidjan (Côte-d'Ivoire) et Cocody, sa banlieue résidentielle, remplacent Rio et Brasilia (dépaysement et folklore assurés). Jean Marais fait son petit gala des artistes personnel en prenant la relève de Bebel.
Liselotte Pulver chasse le papillon que la fiancée de Bebel avait dans la tête ; le savant nietzschéen s'appelle « Le Cerveau », et il est bicéphale : Jacques Morel et Philippe Clay lui soufflent ses diaboliques initiatives, bien réjouissantes pour le spectateur. Christian-Jaque fait cascader tout ce petit monde, « traveligne » à toute vitesse, passe de l'hélicoptère au dix tonnes, puis au bateau ; sa caméra virevolte avec agilité autour de voitures lancées à toute allure sur une immense plaque de mazout. Pas le temps de s'ennuyer.
Alors, qu'est-ce qui ternit donc notre plaisir ? Justement, le souvenir de « L'Homme de Rio ». Il y avait bien d'autres cordes plus subtiles à l'arc de Philippe de Broca que les ficelles auxquelles se sont accrochés ses imitateurs. Cela leur apprendra à copier !
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