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  • Jeppe des collines 
    Bernard Rothstein - 1973
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    Distribution :


     Jacques Debary dans Jeppe des collines
     
     
    Jacques Debary 

    Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
    Images du film :
    Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.

    Jeppe des collines Jeppe des collines

    Jeppe des collines Jeppe des collines


    Document sans nom Ludwig Holberg était, paraît-il, le plus grand écrivain danois du XVIII" siècle. Grand admirateur de Molière, il écrivit une série de pièces satiriques. « Jeppe des collines » date de 1772. À cette époque, le Danemark était, avec la Russie, un des seuls pays d'Europe où le servage existait encore. Des voix libérales commençaient à s'élever pour réclamer son abolition. Holberg leur répondit avec cette pièce. Reprenant le thème folklorique du « Roi d'un jour », il démontre, scène après scène, qu'il ne faut rien changer à l'ordre existant. Cette démonstration dure deux heures. C'est long. Et c'est dommage car la mise en scène de Bernard Rothstein, très sophistiquée, faisait preuve d'une certaine recherche. Le réalisateur connaissait bien cette œuvre qu'il avait déjà montée au Théâtre de Gennevilliers. Il a voulu montrer une pièce de théâtre et non la vie d'un paysan danois au XVIIéme siècle : devant une scène éclairée par des bougies, des personnages inanimés assistaient à une représentation. Cette tentative était intéressante. Elle n'a pas suffi à m'empêcher de m'ennuyer ferme pendant de longs « tunnels », le monologue de Jeppe, par exemple, qui durait une demi-heure. Jacques Debary était pourtant excellent dans un rôle écrasant.Etait-il vraiment nécessaire d'aller déterrer cette pièce ? Je ne comprends pas pourquoi un jeune réalisateur qui, manifestement, a du talent n'essaie pas de se tourner vers de jeunes auteurs plutôt que de plonger dans le passé. L'O.R.T.F. se décidera-t-il un jour à jouer le même rôle que la B.B.C., d'où est sorti tout le théâtre anglais contemporain ?
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