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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Isabelle Weingarten (Nuit, la jeune fille) Marie Dubois (La bonne reine Apolline) Michel de Ré (Le bon roi Pallas) Gaby Sylvia (La bonne fée) Lucienne Bogaert (La vieille fée) Tania Balachova (La reine, mère du prince) Marc Eyraud (Le roi – père du prince) Agathe Deschamps (Nuit, la petite fille) Didier Vallée (Le prince) Romain Weingarten (Le berger) Catherine Coste (Pulchérie) Catherine Hubeau (Une fée) Corinne de Koenisgwarten (L’amie de nuit) Martine Garrel (Caroline) Bernard Salvage (Un conseiller) Jean Lepage (Le prêtre) Jean-Marie Bon (Le chambellan) Philippe Desboeuf (L’astronome) Raoul Guylad (Un conseiller) Richard Leduc (Le valet) Roland Koessler (L’ambassadeur) Serge Spira (Le chapelain) Anne Alexandre (Une fée) Dominique Lacarrière (Une fée) Eva Simonet (Une fée)
Document sans nom
Adaptation du célèbre conte de Charles PERRAULT. Divertissement de qualité où les bons et les méchants ne sont pas toujours ceux que l'on croit. Avec une petite princesse pas très charmante, une vieille fée plus fofolle que rancunière et une jeune fée dont les qualités ne scintillent guère...
Mots clés : conte (DE FEE) ; fantastique ; princesse ; prince (CHARMANT) ; enfance
Critique post-diffusion : Jacqueline Baudrier, en présentant les programmes de fin d'année, a qualifié cette « Belle au bois dormant » d' « audacieuse et non conformiste ». Elle a précisé qu'elle s'adressait plus particulièrement aux adultes. Les parents — à qui cet avertissement aura échappé — se fiant au titre, à l'auteur, Charles Perrault, à leurs souvenirs, à la période de Noël, ont probablement pensé que c'était « le » spectacle familial par excellence. Aussi, auront-ils été quelque peu surpris — certains peut-être même choqués — en voyant la jeune princesse se promener nue à travers la forêt, la cruelle reine jouer les vampires à ses moments perdus et ce conte de fées devenir un terrible cauchemar.
Je me demande si beaucoup de grandes personnes lisent les contes de Perrault. Je persiste à penser qu'on les raconte surtout aux enfants. Or, cette « Belle au bois dormant » ne s'adressait vraiment ni aux uns ni aux autres. L'adaptation de Romain Weingarten était habile, mais près de la tradition. Toute la première partie relevait du conte de fées de notre enfance, il fallait attendre la seconde pour tomber dans le fantastique et le cauchemar.
La réalisation de Robert Maurice, malgré des longueurs, témoignait d'une certaine recherche, mais c'est une aberration d'avoir passé cette « Belle au bois dormant », conçue pour la couleur, en noir et blanc. Certains personnages, celui de la reine, par exemple — magnifiquement interprétée par Tania Balachova — perdaient toute signification : de grise, elle devenait rouge à mesure qu'elle buvait le sang de ses suivantes. La distribution était excellente et homogène. Isabelle Weingarten avait la pureté de la Belle, Michel de Ré de l'humour, Marie Dubois du charme. J'ai particulièrement aimé Lucienne Bogaert en mauvaise fée. Un spectacle de qualité mais ambigu, qui aura du mal à trouver son public.
Il est sur que les téléspectateurs de l'époque ont dû être choqués par cette adaptation: d'abord par la nudité de l'héroïne et ensuite par les images horrifiques de ses cauchemars.
On sent que les comédiens se sont bien amusés durant le tournage.
Si le réalisateur a fait beaucoup de gros plans des acteurs principaux, il n'en est pas de même pour les autres. (Par exemple la petite fille, ami de Nuit, n'est vue que de très loin) et comme il y a énormément de scènes de nuit, ce n'est pas facile de les reconnaître.
Lucienne Bogaert a un rôle plus "drôle" qu'à l'habitude même si elle est la méchante de l'histoire.
De même, Michel de Ré a un rôle beaucoup plus léger qu'à son ordinaire.
Gaby Sylvia semble au bord du fou rire dans chacune de ses scènes.
Isabelle Weingarten: j'espère qu'elle n'est pas frileuse car elle est pratiquement toujours intégralement nue.
Tania Balachova passe son temps à changer de tête et son rôle est très peu habillée.
Et puis Marie Dubois a un rôle plus habituel, c'est à dire celui de la jolie, gentille et souriante reine blonde. Mais cela lui va si bien.
Alain B.
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Didier Vallee Isabelle Weingarten
Isabelle Weingarten Didier Vallee
Isabelle Weingarten (Nuit, la jeune fille) Marie Dubois (La bonne reine Apolline) Michel de Ré (Le bon roi Pallas) Gaby Sylvia (La bonne fée) Lucienne Bogaert (La vieille fée) Tania Balachova (La reine, mère du prince) Marc Eyraud (Le roi – père du prince) Agathe Deschamps (Nuit, la petite fille) Didier Vallée (Le prince) Romain Weingarten (Le berger) Catherine Coste (Pulchérie) Catherine Hubeau (Une fée) Corinne de Koenisgwarten (L’amie de nuit) Martine Garrel (Caroline) Bernard Salvage (Un conseiller) Jean Lepage (Le prêtre) Jean-Marie Bon (Le chambellan) Philippe Desboeuf (L’astronome) Raoul Guylad (Un conseiller) Richard Leduc (Le valet) Roland Koessler (L’ambassadeur) Serge Spira (Le chapelain) Anne Alexandre (Une fée) Dominique Lacarrière (Une fée) Eva Simonet (Une fée)
Adaptation du célèbre conte de Charles PERRAULT. Divertissement de qualité où les bons et les méchants ne sont pas toujours ceux que l'on croit. Avec une petite princesse pas très charmante, une vieille fée plus fofolle que rancunière et une jeune fée dont les qualités ne scintillent guère...
Mots clés : conte (DE FEE) ; fantastique ; princesse ; prince (CHARMANT) ; enfance
Critique post-diffusion : Jacqueline Baudrier, en présentant les programmes de fin d'année, a qualifié cette « Belle au bois dormant » d' « audacieuse et non conformiste ». Elle a précisé qu'elle s'adressait plus particulièrement aux adultes. Les parents — à qui cet avertissement aura échappé — se fiant au titre, à l'auteur, Charles Perrault, à leurs souvenirs, à la période de Noël, ont probablement pensé que c'était « le » spectacle familial par excellence. Aussi, auront-ils été quelque peu surpris — certains peut-être même choqués — en voyant la jeune princesse se promener nue à travers la forêt, la cruelle reine jouer les vampires à ses moments perdus et ce conte de fées devenir un terrible cauchemar.
Je me demande si beaucoup de grandes personnes lisent les contes de Perrault. Je persiste à penser qu'on les raconte surtout aux enfants. Or, cette « Belle au bois dormant » ne s'adressait vraiment ni aux uns ni aux autres. L'adaptation de Romain Weingarten était habile, mais près de la tradition. Toute la première partie relevait du conte de fées de notre enfance, il fallait attendre la seconde pour tomber dans le fantastique et le cauchemar.
La réalisation de Robert Maurice, malgré des longueurs, témoignait d'une certaine recherche, mais c'est une aberration d'avoir passé cette « Belle au bois dormant », conçue pour la couleur, en noir et blanc. Certains personnages, celui de la reine, par exemple — magnifiquement interprétée par Tania Balachova — perdaient toute signification : de grise, elle devenait rouge à mesure qu'elle buvait le sang de ses suivantes. La distribution était excellente et homogène. Isabelle Weingarten avait la pureté de la Belle, Michel de Ré de l'humour, Marie Dubois du charme. J'ai particulièrement aimé Lucienne Bogaert en mauvaise fée. Un spectacle de qualité mais ambigu, qui aura du mal à trouver son public.
Il est sur que les téléspectateurs de l'époque ont dû être choqués par cette adaptation: d'abord par la nudité de l'héroïne et ensuite par les images horrifiques de ses cauchemars.
On sent que les comédiens se sont bien amusés durant le tournage.
Si le réalisateur a fait beaucoup de gros plans des acteurs principaux, il n'en est pas de même pour les autres. (Par exemple la petite fille, ami de Nuit, n'est vue que de très loin) et comme il y a énormément de scènes de nuit, ce n'est pas facile de les reconnaître.
Lucienne Bogaert a un rôle plus "drôle" qu'à l'habitude même si elle est la méchante de l'histoire.
De même, Michel de Ré a un rôle beaucoup plus léger qu'à son ordinaire.
Gaby Sylvia semble au bord du fou rire dans chacune de ses scènes.
Isabelle Weingarten: j'espère qu'elle n'est pas frileuse car elle est pratiquement toujours intégralement nue.
Tania Balachova passe son temps à changer de tête et son rôle est très peu habillée.
Et puis Marie Dubois a un rôle plus habituel, c'est à dire celui de la jolie, gentille et souriante reine blonde. Mais cela lui va si bien.
Alain B.
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