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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Rosy Varte Cathy Pierre Michaël Gérard Pierre Destailles André Carina Barone Marina Véronique Genest Annie Gabriel Jabbour Desoeillet s Dominique Marcas Mme Desoeillets Jacques Ferrière Gaby Bernard Alane Bertrand Stephan Meldegg Werner Andrée Champeaux L'infirmière Alain Flick Le déménageur Martin Trévières Roger Guy Mairesse Le gradé Jean-Louis Airola Le gendarme cascadeur Alain Choquet Argan Sébastien Floche Loulou Catherine Berriane La malade Jean-Loup Bourel Le patron de la brasserie Bénédicte Ardiley La vamp Pierre Badel Pierre Thomas Asselineau Thomas
Document sans nom
Résumé :
Dans le marais poitevin, Cathy, grande comédienne de théâtre, recherche, en compagnie de Pierre Badel, une table pour son compagnon Gérard. Elle trouve, chez Desoeillets, ce qui lui convient mais découvre un tableau montrant une scène de théâtre avec dans les bras d’un des personnages un chien qui ressemble à Tim, son chien adoré. Desoeillets refuse de lui vendre son tableau mais au moment de partir, Mme Desoeillets lui donne gratuitement le tableau.
A partir de ce moment, tout va aller de mal en pis : Tim va tomber malade puis mourir, Gérard va se mettre à boire et Cathy découvre que le tableau représente Racine avec sa maitresse. Elle tourne précisément une version moderne de Phèdre et cela ne se passe bien ni avec l’auteur, ni avec Marina l’autre comédienne de la pièce et ni même avec le reste de la troupe. L’état de Cathy inquiète son entourage de plus en plus : elle devient folle, voit la scène du tableau évolué au point de se faire interner …
Critique :
Pierre Badel, le réalisateur, doit se prendre pour Alfred Hitchcock puisqu’il apparaît dans chaque épisode (et pas quelques secondes comme le faisait le maître du suspens).
L’histoire est un mélange du portrait de Dorian Gray avec un tableau évoluant au cours du temps et de « La main du diable » où la main du propriétaire le fait devenir génial dans sa spécialité jusqu’au moment de sa chute et où il ne pouvait la revendre que moins cher qu’il l’avait précédemment acheté.
Dans l’épisode, il faut donner le tableau afin d’échapper à son pouvoir.
Le téléfilm met près d’un quart d’heure avant de commencer réellement et on s’ennuie ferme dès le départ.
Rosy Varte est parfaite pour ce rôle de femme excitée qu’elle reprendra dans plusieurs de ses rôles (de la mégère apprivoisée à Maguy). Les autres rôles sont plus fades par rapport à elle (même Pierre Michael dans le rôle de son mari).
Véronique Genest, toute fraîche et souriante, joue, peut être là, son premier rôle à la télévision.
Alain Bourgeois, Novembre 2021
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Histoires étranges : La loupe du diable
Gabriel Jabbour Veronique Genest
Tele 7 jours N 999 du 21 juillet 1979
Rosy Varte Cathy Pierre Michaël Gérard Pierre Destailles André Carina Barone Marina Véronique Genest Annie Gabriel Jabbour Desoeillet s Dominique Marcas Mme Desoeillets Jacques Ferrière Gaby Bernard Alane Bertrand Stephan Meldegg Werner Andrée Champeaux L'infirmière Alain Flick Le déménageur Martin Trévières Roger Guy Mairesse Le gradé Jean-Louis Airola Le gendarme cascadeur Alain Choquet Argan Sébastien Floche Loulou Catherine Berriane La malade Jean-Loup Bourel Le patron de la brasserie Bénédicte Ardiley La vamp Pierre Badel Pierre Thomas Asselineau Thomas
Résumé :
Dans le marais poitevin, Cathy, grande comédienne de théâtre, recherche, en compagnie de Pierre Badel, une table pour son compagnon Gérard. Elle trouve, chez Desoeillets, ce qui lui convient mais découvre un tableau montrant une scène de théâtre avec dans les bras d’un des personnages un chien qui ressemble à Tim, son chien adoré. Desoeillets refuse de lui vendre son tableau mais au moment de partir, Mme Desoeillets lui donne gratuitement le tableau.
A partir de ce moment, tout va aller de mal en pis : Tim va tomber malade puis mourir, Gérard va se mettre à boire et Cathy découvre que le tableau représente Racine avec sa maitresse. Elle tourne précisément une version moderne de Phèdre et cela ne se passe bien ni avec l’auteur, ni avec Marina l’autre comédienne de la pièce et ni même avec le reste de la troupe. L’état de Cathy inquiète son entourage de plus en plus : elle devient folle, voit la scène du tableau évolué au point de se faire interner …
Critique :
Pierre Badel, le réalisateur, doit se prendre pour Alfred Hitchcock puisqu’il apparaît dans chaque épisode (et pas quelques secondes comme le faisait le maître du suspens).
L’histoire est un mélange du portrait de Dorian Gray avec un tableau évoluant au cours du temps et de « La main du diable » où la main du propriétaire le fait devenir génial dans sa spécialité jusqu’au moment de sa chute et où il ne pouvait la revendre que moins cher qu’il l’avait précédemment acheté.
Dans l’épisode, il faut donner le tableau afin d’échapper à son pouvoir.
Le téléfilm met près d’un quart d’heure avant de commencer réellement et on s’ennuie ferme dès le départ.
Rosy Varte est parfaite pour ce rôle de femme excitée qu’elle reprendra dans plusieurs de ses rôles (de la mégère apprivoisée à Maguy). Les autres rôles sont plus fades par rapport à elle (même Pierre Michael dans le rôle de son mari).
Véronique Genest, toute fraîche et souriante, joue, peut être là, son premier rôle à la télévision.
Alain Bourgeois, Novembre 2021
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