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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Micheline Presle la mère Albert Simono le père Stéphanie Loik Zénobie Andréa Ferréol Cruche Bruno Balp le voisin Chantal Garrigues le Schmürz François Binet un Schmürz Guy Naigeon un Schmürz Yves Salomon un Schmürz
Document sans nom
Pièce de Boris Vian écrite en 1959 et créée en décembre 1959 au Théâtre Récamier à l'initiative de Jean Vilar.
Elle est mise en scène pour la télévision par Jaime Jaimes.
Le Schmurz est un être enveloppé de bandages, vêtu de loques, qui boîte et saigne. Personnage souffre-douleur, il fait partie de l'étrange famille qui comprend le père, la mère, leur fille Zénobie et la bonne, prénommée Cruche.
Cette famille est poursuivie par un bruit mystérieux qu'elle ne peut supporter. Confrontée à cette fatalité impitoyable, la famille s'oblige à fuir, d'étage en étage, dans des logis de plus en plus étroits et inconfortables.
Le père ne sait pas au juste pourquoi il est prudent de fuir, mais il fuit néanmoins. La mère devient de plus en plus acariâtre, la fille de plus en plus mélancolique et la bonne de moins en moins coopérante.
Seul élément permanent de cette existence qui va se resserrant et s'amenuisant : le Schmurz que la mère et le père rouent de coups systématiquement. Cruche ne les imite que sur ordre et sans conviction. Quant à Zénobie, elle voudrait soigner le Schmurz qui la rabroue.
Zénobie finit par quitter le domicile familial, tandis que le père se retrouve seul avec le Schmurz, en haut de l'immeuble, dans une sinistre mansarde. A la mort du Schmurz, il est acculé au suicide. .
Mots clés : pièce de théâtre (Les Bâtisseurs d'Empire) ; immeuble ; famille ; bruit ; symbole ; guerre ; armée ; solitude ; passé ; nostalgie ; suicide
Date de 1re diffusion : jeudi 27/06/1974
Durée : 02:35:44
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Les bâtisseurs d'empire ou le schmürz
Les batisseurs d empire ou le schmurz
Les batisseurs d empire ou le schmurz
Micheline Presle la mère Albert Simono le père Stéphanie Loik Zénobie Andréa Ferréol Cruche Bruno Balp le voisin Chantal Garrigues le Schmürz François Binet un Schmürz Guy Naigeon un Schmürz Yves Salomon un Schmürz
Pièce de Boris Vian écrite en 1959 et créée en décembre 1959 au Théâtre Récamier à l'initiative de Jean Vilar.
Elle est mise en scène pour la télévision par Jaime Jaimes.
Le Schmurz est un être enveloppé de bandages, vêtu de loques, qui boîte et saigne. Personnage souffre-douleur, il fait partie de l'étrange famille qui comprend le père, la mère, leur fille Zénobie et la bonne, prénommée Cruche.
Cette famille est poursuivie par un bruit mystérieux qu'elle ne peut supporter. Confrontée à cette fatalité impitoyable, la famille s'oblige à fuir, d'étage en étage, dans des logis de plus en plus étroits et inconfortables.
Le père ne sait pas au juste pourquoi il est prudent de fuir, mais il fuit néanmoins. La mère devient de plus en plus acariâtre, la fille de plus en plus mélancolique et la bonne de moins en moins coopérante.
Seul élément permanent de cette existence qui va se resserrant et s'amenuisant : le Schmurz que la mère et le père rouent de coups systématiquement. Cruche ne les imite que sur ordre et sans conviction. Quant à Zénobie, elle voudrait soigner le Schmurz qui la rabroue.
Zénobie finit par quitter le domicile familial, tandis que le père se retrouve seul avec le Schmurz, en haut de l'immeuble, dans une sinistre mansarde. A la mort du Schmurz, il est acculé au suicide. .
Mots clés : pièce de théâtre (Les Bâtisseurs d'Empire) ; immeuble ; famille ; bruit ; symbole ; guerre ; armée ; solitude ; passé ; nostalgie ; suicide
Date de 1re diffusion : jeudi 27/06/1974
Durée : 02:35:44
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