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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Louis de Funès Jockey Jack Michel Serrault Jérôme Mireille Darc Rockie La Braise Maurice Biraud Jo Arengeot Francis Blanche Absalon Raymond Meunier La Douane Hubert Deschamps Général Fréderic Cédille Gianni Musi Riton, dit 'Pommes-Chips' Barbara Brand La comédienne qui joue Sonia Raymone Paola Barbara La comédienne qui joue Sonia Colette Régis Christine Hélène Laffly Une invitée de Christine Malka Ribowska La comtesse Simone Landry Une invitée de Christine Jacqueline Rivière Yves Barsacq L'inspecteur Michel Duplaix Un accessoiriste (as Michel Dupleix) Pierre Bataille Guy Grosso Émile, le barman Charles Bouillaud Léon Roger Paschy (as Roger Paschel) Michel Dacquin Le pasteur (as Michel Daquin) Émile Riandreys Le régisseur (as Riandres) Venantino Venantini Pierre Michon Darry Cowl Gratiopoulos Andrès Un invité à la soirée (uncredited) Marc Arian Un joueur de tiercé / Un figurant au théâtre (uncredited) Marcel Bernier Un accessoiriste (uncredited) Georges Billy Un autre invité à la soirée (uncredited) Anne-Marie Blot La fille à la casquette à la soirée (uncredited) Philippe Castelli L'interne (uncredited) Albert Michel Un joueur de tiercé (uncredited) Bice Valori Tante Ophélie (uncredited) Léon Zitrone (uncredited)
Document sans nom
Plusieurs personnes recherchent désespérément un ticket de courses. Mais ce dernier est dans la poche d'un cadavre, lui même caché dans un étui de contrebasse.
A noter dans ce film une scéne qui selon moi à été reprise dans "le grand blond".
Mireille Darc séduit un musicien (Michel Serrault, contrebassiste) afin de lui tirer les vers du nez, mais finalement tombe amoureuse de lui : ça ressemble furieusement à la fameuse scéne du grand blond avec Pierre Richard violoniste et Mireille Darc et sa robe légendaire.
Résumé : APRES « Le Monocle noir » et «: Les Tontons flingueurs », Georges Lautner récidive. Sans bruit, sans tambour ni trompette de la renommée, sans mille dollars et sans soleil, avec seulement un zeste d'Audiard, il tricote habilement un film commercial et jamais démagogue.
« Des pissenlits par la racine » raconte l'histoire de deux gangsters à la mie de pain (Maurice Biraud et Louis de Funès), qui sortent à peine de l'ombre et espèrent se refaire au tiercé. Un contrebassiste hurluberlu (Michel Serrault) et un paléontologue méticuleux (Francis Blanche) se jettent, par hasard, en travers de leurs desseins, mais l'humour est au rendez-vous et il suffira au contrebassiste de pincer deux accords à l'égérie des gangsters (Mireille Darc) pour qu'elle lui distille, en revanche, la musique douce de ses charmes. C'est ainsi qu'il touchera, le plus aimablement du monde, le tiercé gagnant avec, en prime, le cœur d'une belle désormais respectée.
Ce n'est pas là un film ambitieux, mais un divertissement, mis en scène par un réalisateur adroit et énergique, qui réussit à dompter les incorrigibles faiseurs de numéros que sont de Funès, Darry Cowl et Francis Blanche. On sent la poigne d'un homme qui a su les arrêter sur la pente savonnée de leur facilité. La même poigne propulse, sous leur meilleur jour, Maurice Biraud complètement débarrassé de ses timidités d'animateur promu vedette, et le délicieux Michel Serrault, qui joue le contrebassiste à la perfection. Enfin, le film révèle une comédienne fort appréciée des téléspectateurs : Mireille Darc. Dans son rôle de muse des gangsters, elle est admirable. On la comparera probablement à Mme Dany Saval, mais si Mme Saval possède une nature (Dieu sait qu'elle s'en sert), Mireille Darc, elle, est une comédienne capable de composer ce naturel avec une subtile marge d'humour ; c'est beaucoup mieux, c'est même très bien.
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Louis de Funès Jockey Jack Michel Serrault Jérôme Mireille Darc Rockie La Braise Maurice Biraud Jo Arengeot Francis Blanche Absalon Raymond Meunier La Douane Hubert Deschamps Général Fréderic Cédille Gianni Musi Riton, dit 'Pommes-Chips' Barbara Brand La comédienne qui joue Sonia Raymone Paola Barbara La comédienne qui joue Sonia Colette Régis Christine Hélène Laffly Une invitée de Christine Malka Ribowska La comtesse Simone Landry Une invitée de Christine Jacqueline Rivière Yves Barsacq L'inspecteur Michel Duplaix Un accessoiriste (as Michel Dupleix) Pierre Bataille Guy Grosso Émile, le barman Charles Bouillaud Léon Roger Paschy (as Roger Paschel) Michel Dacquin Le pasteur (as Michel Daquin) Émile Riandreys Le régisseur (as Riandres) Venantino Venantini Pierre Michon Darry Cowl Gratiopoulos Andrès Un invité à la soirée (uncredited) Marc Arian Un joueur de tiercé / Un figurant au théâtre (uncredited) Marcel Bernier Un accessoiriste (uncredited) Georges Billy Un autre invité à la soirée (uncredited) Anne-Marie Blot La fille à la casquette à la soirée (uncredited) Philippe Castelli L'interne (uncredited) Albert Michel Un joueur de tiercé (uncredited) Bice Valori Tante Ophélie (uncredited) Léon Zitrone (uncredited)
Plusieurs personnes recherchent désespérément un ticket de courses. Mais ce dernier est dans la poche d'un cadavre, lui même caché dans un étui de contrebasse.
A noter dans ce film une scéne qui selon moi à été reprise dans "le grand blond".
Mireille Darc séduit un musicien (Michel Serrault, contrebassiste) afin de lui tirer les vers du nez, mais finalement tombe amoureuse de lui : ça ressemble furieusement à la fameuse scéne du grand blond avec Pierre Richard violoniste et Mireille Darc et sa robe légendaire.
Résumé : APRES « Le Monocle noir » et «: Les Tontons flingueurs », Georges Lautner récidive. Sans bruit, sans tambour ni trompette de la renommée, sans mille dollars et sans soleil, avec seulement un zeste d'Audiard, il tricote habilement un film commercial et jamais démagogue.
« Des pissenlits par la racine » raconte l'histoire de deux gangsters à la mie de pain (Maurice Biraud et Louis de Funès), qui sortent à peine de l'ombre et espèrent se refaire au tiercé. Un contrebassiste hurluberlu (Michel Serrault) et un paléontologue méticuleux (Francis Blanche) se jettent, par hasard, en travers de leurs desseins, mais l'humour est au rendez-vous et il suffira au contrebassiste de pincer deux accords à l'égérie des gangsters (Mireille Darc) pour qu'elle lui distille, en revanche, la musique douce de ses charmes. C'est ainsi qu'il touchera, le plus aimablement du monde, le tiercé gagnant avec, en prime, le cœur d'une belle désormais respectée.
Ce n'est pas là un film ambitieux, mais un divertissement, mis en scène par un réalisateur adroit et énergique, qui réussit à dompter les incorrigibles faiseurs de numéros que sont de Funès, Darry Cowl et Francis Blanche. On sent la poigne d'un homme qui a su les arrêter sur la pente savonnée de leur facilité. La même poigne propulse, sous leur meilleur jour, Maurice Biraud complètement débarrassé de ses timidités d'animateur promu vedette, et le délicieux Michel Serrault, qui joue le contrebassiste à la perfection. Enfin, le film révèle une comédienne fort appréciée des téléspectateurs : Mireille Darc. Dans son rôle de muse des gangsters, elle est admirable. On la comparera probablement à Mme Dany Saval, mais si Mme Saval possède une nature (Dieu sait qu'elle s'en sert), Mireille Darc, elle, est une comédienne capable de composer ce naturel avec une subtile marge d'humour ; c'est beaucoup mieux, c'est même très bien.
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