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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Corinne Touzet Joanna Dolce "Jo", mannequin Giuliano Gemma Alberto Fortis, avocat Matteo Mobilia Le petit Pietro, fils d'Alberto Cristina Grado Carla, belle mère d'Alberto Gian Franco de Angeles L'associé d'Alberto Robert Rimbaud Mario Bianca Calvan Isa, épouse de Mario Hélène Surgère Dr Chenot, psychiatre de Jo Marc de Jonge Jacques, Patron et ami de Jo Daniela Poggi Dora Rati, maîtresse d'Alberto William Berger Valenti Janine Souchon Secrétaire de la maternité
Document sans nom
« Seulement par amour » est une mini série franco italienne, diffusée dans les années 90 composée de trois épisodes, portant chacun un prénom de femme : Jo, Francesca et Clara.
La présente page évoque l’épisode « Jo », qui dure environ 3 h et qui fut présenté au public du petit écran en deux fois. Sa réalisation très soignée est signée Philippe Monnier qui nous avait offert de façon très réussie la fiction très appréciée des téléspectateurs : Des Grives aux loups.
Là, nous ne sommes pas dans la campagne corrézienne, mais nous nous promenons à Paris et à Rome, et visitons de très beaux appartements feûtrés.
L’intrigue est très romanesque mais ne tombe pas pour autant dans le conte de fée.
Jo, ou plus exactement Joanna Dolce (Corinne Touzet), est une jeune et ravissante mannequin célèbre, qui fait la une des magazines et mène sa carrière dans le monde entier, et surtout à Rome et à Paris. Dès le début de l’histoire, on découvre que Jo a vécu un drame dans sa petite enfance et que la plaie n’est pas tout à fait refermée. On apprend aussi que Jo a un compagnon, Mario (Robert Rimbaud) qui a su lui redonner confiance dans la vie et dans les hommes. Très sage, parce qu’il est largement son aîné, Mario s’éloigne de la jeune femme pour lui permettre de faire sa vie.
Lors d’un séjour à Rome, Jo accompagne une amie à l’hôpital, son garçonnet ayant avalé des médicaments… Rien de grave, mais Jo repère dans la salle d’attente un autre petit garçon de 9 ans qui est seul : sa maman a eu un grave accident de voiture. Il s’appelle Pietro Fortis (le petit Matteo Mobilia). Le père de Pietro arrive, terriblement inquiet. Jo devine la gravité de la situation… Au bout d’un moment, elle propose de prendre en charge Pietro. Alberto (Giuliano Gemma), père de l’enfant, accepte …
Jo ramène donc l’enfant chez lui, l’endort et reste la nuit, seule dans le grand et superbe appartement. Au matin, Alberto lui apprend que son épouse est décédée.
Jo qui s’est attachée au petit Pietro revient quelque temps plus tard le voir et lui promet d’autres visites. De visite en visite, Jo et Pietro deviennent complices et Alberto commence lui aussi à s’intéresser à la jeune femme. Elle est tellement vivante, pétillante, souriante ! Il n’avait jamais connu cela ! Et ce rapprochement se termine par un mariage !
Mais l’histoire n’est pas aussi idyllique qu’elle ne paraît… Pietro voulait Jo pour lui tout seul et se sent trahi en pensant qu’elle prend la place de sa mère.
Et un jour, Alberto tombe sur une photo : celle de Jo avec Mario ! Et il connaît Mario, puisque c’est l’époux de sa tante Isa ! Fou de rage, il se montre d’une violence inouïe envers Jo qui se réfugie à Paris auprès de son médecin psychiatre, Lucie Chenot. Elle réalise qu’elle est enceinte d’Alberto mais ne veut rien lui dire. Le divorce est prononcé… une page semble se tourner…
Alberto qui est avocat, fait la connaissance d’une cliente qui fait appel à lui pour régler son divorce ; elle s’appelle Dora Ratti (Daniela Poggi) et ressemble à s’y méprendre à son épouse décédée : même style, même distinction, même distance envers les autres… Alberto devient son amant, se persuadant que finalement c’est ce style de femme qui lui convient.
Jo est fatiguée, sa grossesse et tous ces événements dans sa vie la rende fragile. Elle met au monde un petit Angelo mais l’enfant ne vit que quelques heures. Joanna sombre dans un cauchemar qui ressemble à une folie… Elle ne reconnaît plus personne, se met à hurler dès que quelqu’un s’approche. Alberto est prévenu, apprend le passé douloureux de Jo, et rongé de remords, décide de rester à son chevet pour la veiller. Jo finit heureusement par remonter de l’abîme où elle était plongée. Elle reprend contact avec le jeune Pietro qui déteste Dora.
Cette dernière joue un double jeu et abuse de la confiance que lui voue l’avocat pour lui voler des documents importants, faisant ainsi échouer une transaction financière qui aurait dû rester secrète. Alberto est compromis et ignore d’où vient la trahison.
Il l’apprendra par son détective et sera terriblement déçu de s’être fait manipuler.
Jo, revenue à Rome, lui téléphone et Alberto réalise qu’elle est son seul amour. Pietro qui ne veut pas que son père épouse Dora fait une fugue et veut rejoindre Jo. Alberto devine la réaction de son fils, se précipite vers la femme qu’il aime et ensemble, ils récupèrent le petit garçon ravi de les voir enfin réunis. Happy End !
Jolie histoire, Belle réalisation, on est heureux de retrouver Giuliano Gemma, infiniment séduisant, et détail amusant, il est doublé en français par le comédien Claude Giraud qui fut son partenaire dans Angélique ! Et l’on se perd facilement dans les beaux yeux verts de Corinne Touzet.
William Berger, qui joue le rôle de Valenti, le financier, aura été à plusieurs reprises le partenaire de G. Gemma dans les western spaghetti.
Si vous avez les autres épisodes de cette série n'hésitez pas à nous contacter
Donatienne Roby, Janvier 2024
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Corinne Touzet
Seulement par amour : Jo
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Corinne Touzet
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Corinne Touzet
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Corinne Touzet
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Corinne Touzet
Corinne Touzet avec Marc de Monge
Daniela Poggi
Giuliano Gemma et Corinne Touzet
Giuliano Gemma
Helene Surgere et Corinne Touzet
Helene Surgere
Le bonheur
Marc de Jonge et Corinne Touzet
Matteo Mobilia
Robert Rimbaud
William Berger
Happy End
Corinne Touzet Joanna Dolce "Jo", mannequin Giuliano Gemma Alberto Fortis, avocat Matteo Mobilia Le petit Pietro, fils d'Alberto Cristina Grado Carla, belle mère d'Alberto Gian Franco de Angeles L'associé d'Alberto Robert Rimbaud Mario Bianca Calvan Isa, épouse de Mario Hélène Surgère Dr Chenot, psychiatre de Jo Marc de Jonge Jacques, Patron et ami de Jo Daniela Poggi Dora Rati, maîtresse d'Alberto William Berger Valenti Janine Souchon Secrétaire de la maternité
« Seulement par amour » est une mini série franco italienne, diffusée dans les années 90 composée de trois épisodes, portant chacun un prénom de femme : Jo, Francesca et Clara.
La présente page évoque l’épisode « Jo », qui dure environ 3 h et qui fut présenté au public du petit écran en deux fois. Sa réalisation très soignée est signée Philippe Monnier qui nous avait offert de façon très réussie la fiction très appréciée des téléspectateurs : Des Grives aux loups.
Là, nous ne sommes pas dans la campagne corrézienne, mais nous nous promenons à Paris et à Rome, et visitons de très beaux appartements feûtrés.
L’intrigue est très romanesque mais ne tombe pas pour autant dans le conte de fée.
Jo, ou plus exactement Joanna Dolce (Corinne Touzet), est une jeune et ravissante mannequin célèbre, qui fait la une des magazines et mène sa carrière dans le monde entier, et surtout à Rome et à Paris. Dès le début de l’histoire, on découvre que Jo a vécu un drame dans sa petite enfance et que la plaie n’est pas tout à fait refermée. On apprend aussi que Jo a un compagnon, Mario (Robert Rimbaud) qui a su lui redonner confiance dans la vie et dans les hommes. Très sage, parce qu’il est largement son aîné, Mario s’éloigne de la jeune femme pour lui permettre de faire sa vie.
Lors d’un séjour à Rome, Jo accompagne une amie à l’hôpital, son garçonnet ayant avalé des médicaments… Rien de grave, mais Jo repère dans la salle d’attente un autre petit garçon de 9 ans qui est seul : sa maman a eu un grave accident de voiture. Il s’appelle Pietro Fortis (le petit Matteo Mobilia). Le père de Pietro arrive, terriblement inquiet. Jo devine la gravité de la situation… Au bout d’un moment, elle propose de prendre en charge Pietro. Alberto (Giuliano Gemma), père de l’enfant, accepte …
Jo ramène donc l’enfant chez lui, l’endort et reste la nuit, seule dans le grand et superbe appartement. Au matin, Alberto lui apprend que son épouse est décédée.
Jo qui s’est attachée au petit Pietro revient quelque temps plus tard le voir et lui promet d’autres visites. De visite en visite, Jo et Pietro deviennent complices et Alberto commence lui aussi à s’intéresser à la jeune femme. Elle est tellement vivante, pétillante, souriante ! Il n’avait jamais connu cela ! Et ce rapprochement se termine par un mariage !
Mais l’histoire n’est pas aussi idyllique qu’elle ne paraît… Pietro voulait Jo pour lui tout seul et se sent trahi en pensant qu’elle prend la place de sa mère.
Et un jour, Alberto tombe sur une photo : celle de Jo avec Mario ! Et il connaît Mario, puisque c’est l’époux de sa tante Isa ! Fou de rage, il se montre d’une violence inouïe envers Jo qui se réfugie à Paris auprès de son médecin psychiatre, Lucie Chenot. Elle réalise qu’elle est enceinte d’Alberto mais ne veut rien lui dire. Le divorce est prononcé… une page semble se tourner…
Alberto qui est avocat, fait la connaissance d’une cliente qui fait appel à lui pour régler son divorce ; elle s’appelle Dora Ratti (Daniela Poggi) et ressemble à s’y méprendre à son épouse décédée : même style, même distinction, même distance envers les autres… Alberto devient son amant, se persuadant que finalement c’est ce style de femme qui lui convient.
Jo est fatiguée, sa grossesse et tous ces événements dans sa vie la rende fragile. Elle met au monde un petit Angelo mais l’enfant ne vit que quelques heures. Joanna sombre dans un cauchemar qui ressemble à une folie… Elle ne reconnaît plus personne, se met à hurler dès que quelqu’un s’approche. Alberto est prévenu, apprend le passé douloureux de Jo, et rongé de remords, décide de rester à son chevet pour la veiller. Jo finit heureusement par remonter de l’abîme où elle était plongée. Elle reprend contact avec le jeune Pietro qui déteste Dora.
Cette dernière joue un double jeu et abuse de la confiance que lui voue l’avocat pour lui voler des documents importants, faisant ainsi échouer une transaction financière qui aurait dû rester secrète. Alberto est compromis et ignore d’où vient la trahison.
Il l’apprendra par son détective et sera terriblement déçu de s’être fait manipuler.
Jo, revenue à Rome, lui téléphone et Alberto réalise qu’elle est son seul amour. Pietro qui ne veut pas que son père épouse Dora fait une fugue et veut rejoindre Jo. Alberto devine la réaction de son fils, se précipite vers la femme qu’il aime et ensemble, ils récupèrent le petit garçon ravi de les voir enfin réunis. Happy End !
Jolie histoire, Belle réalisation, on est heureux de retrouver Giuliano Gemma, infiniment séduisant, et détail amusant, il est doublé en français par le comédien Claude Giraud qui fut son partenaire dans Angélique ! Et l’on se perd facilement dans les beaux yeux verts de Corinne Touzet.
William Berger, qui joue le rôle de Valenti, le financier, aura été à plusieurs reprises le partenaire de G. Gemma dans les western spaghetti.
Si vous avez les autres épisodes de cette série n'hésitez pas à nous contacter
Donatienne Roby, Janvier 2024
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