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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Lino Ventura François Quéroles Catherine Salviat Christine, l’hôtesse d’accueil Robert Webber Henry Morrison Pierre Douglas Lebègue, l’ingénieur en chef Michèle Montel Michèle Quéroles Madeleine Barbulée la belle-mère de Quéroles Gino Da Ronch le chauffeur de Morrison Gérard Croce Cazaud, le chef du personnel
Document sans nom
Distributeur : S.N. Prodis
Scénario : Francis Veber
Directeur de la photographie : Claude Agostini
Décors : André Labussière
Montage : Robert et Monique Isnardon
Musique : Manuel de Sica
Directeurs de production : Gérard Croce, Umberto Sambucco
Une co-production franco-italienne : Viaduc Productions – Paris
Medusa Distribuzione - Rome
Produit par Leo L. Fuchs
Visa d’exploitation n°51.031
Durée : 30 min.
Date de sortie à Paris : 17/12/1980
Nombre d’entrées à Paris : 165.784
Nombre d’entrées en France : 427.135
Titre aux Etats-Unis : Sunday Lovers - The French Method
Titre en Italie : I seduttori della domenica - Parigi
Notes :
- Ce film d'une durée totale de 126 min. comporte 3 autres sketchs :
. anglais : Maître en la demeure de Bryan Forbes avec Roger Moore et Lynn Redgrave
. américain : Skippy de Gene Wilder avec Gene Wilder et Kathleen Quinlan
. italien : Armando de Dino Risi avec Ugo Tognazzi et Sylva Koscina
- Les génériques début et fin indiquent que les sketchs sont présentés dans l'ordre suivant : anglais, français, italien, américain, or, à la vision du film, les 2 derniers ont été intervertis (voir commentaire dans l'avis ci-après).
- On a plaisir à voir Michèle Montel dans le rôle trop bref de l'épouse de Lino Ventura. Cette comédienne fut davantage derrière que devant la caméra puisqu'elle fut une des doubleuses les plus sollicitées, étant notamment la voix de Diana Rigg pour la série ''Chapeau melon et bottes de cuir''.
Avis :
Edouard Molinaro a adopté un ton en demi-teinte, pas franchement dramatique, pas franchement drôle non plus, on s'attend à quelques péripéties mais le scénario reste on ne peut plus linéaire et simpliste, décevant. Le sketch anglais fait preuve d'un humour très british savoureux, l'italien est désopilant mais Gene Wilder, lui, est passé complètement à côté de la plaque en offrant un pensum interminable (c'est le plus long des 4 !) qui n'arrache aucun
sourire et ne produit aucune émotion, il dénote fortement par rapport aux autres. C'est sans doute à cause de cela que devant à l'origine être le dernier il a finalement été interverti avec celui de Dino Risi afin que le public termine sur une note joyeuse.
Jean-Pierre Pecqueriaux, Mars 2022
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01 Lino Ventura et Michele Montel
09 Catherine Salviat ou sa doublure
11 Madeleine Barbulee et Lino Ventura
16 Catherine Salviat et Lino Ventura
Lino Ventura François Quéroles Catherine Salviat Christine, l’hôtesse d’accueil Robert Webber Henry Morrison Pierre Douglas Lebègue, l’ingénieur en chef Michèle Montel Michèle Quéroles Madeleine Barbulée la belle-mère de Quéroles Gino Da Ronch le chauffeur de Morrison Gérard Croce Cazaud, le chef du personnel
Distributeur : S.N. Prodis
Scénario : Francis Veber
Directeur de la photographie : Claude Agostini
Décors : André Labussière
Montage : Robert et Monique Isnardon
Musique : Manuel de Sica
Directeurs de production : Gérard Croce, Umberto Sambucco
Une co-production franco-italienne : Viaduc Productions – Paris
Medusa Distribuzione - Rome
Produit par Leo L. Fuchs
Visa d’exploitation n°51.031
Durée : 30 min.
Date de sortie à Paris : 17/12/1980
Nombre d’entrées à Paris : 165.784
Nombre d’entrées en France : 427.135
Titre aux Etats-Unis : Sunday Lovers - The French Method
Titre en Italie : I seduttori della domenica - Parigi
Notes :
- Ce film d'une durée totale de 126 min. comporte 3 autres sketchs :
. anglais : Maître en la demeure de Bryan Forbes avec Roger Moore et Lynn Redgrave
. américain : Skippy de Gene Wilder avec Gene Wilder et Kathleen Quinlan
. italien : Armando de Dino Risi avec Ugo Tognazzi et Sylva Koscina
- Les génériques début et fin indiquent que les sketchs sont présentés dans l'ordre suivant : anglais, français, italien, américain, or, à la vision du film, les 2 derniers ont été intervertis (voir commentaire dans l'avis ci-après).
- On a plaisir à voir Michèle Montel dans le rôle trop bref de l'épouse de Lino Ventura. Cette comédienne fut davantage derrière que devant la caméra puisqu'elle fut une des doubleuses les plus sollicitées, étant notamment la voix de Diana Rigg pour la série ''Chapeau melon et bottes de cuir''.
Avis :
Edouard Molinaro a adopté un ton en demi-teinte, pas franchement dramatique, pas franchement drôle non plus, on s'attend à quelques péripéties mais le scénario reste on ne peut plus linéaire et simpliste, décevant. Le sketch anglais fait preuve d'un humour très british savoureux, l'italien est désopilant mais Gene Wilder, lui, est passé complètement à côté de la plaque en offrant un pensum interminable (c'est le plus long des 4 !) qui n'arrache aucun
sourire et ne produit aucune émotion, il dénote fortement par rapport aux autres. C'est sans doute à cause de cela que devant à l'origine être le dernier il a finalement été interverti avec celui de Dino Risi afin que le public termine sur une note joyeuse.
Jean-Pierre Pecqueriaux, Mars 2022
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