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  • Tous les matins du monde 
    Alain Corneau - 1991
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    Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo


    Distribution :


     Caroline Silhol dans Tous les matins du monde
     
     
    Caroline Silhol 


     Jean-Pierre Marielle dans Tous les matins du monde
     
     
    Jean-Pierre Marielle 


     Anne Brochet dans Tous les matins du monde
     
     
    Anne Brochet 


     Guillaume Depardieu dans Tous les matins du monde
     
     
    Guillaume Depardieu 


     Gérard Depardieu dans Tous les matins du monde
     
     
    Gérard Depardieu 


     Carole Richert dans Tous les matins du monde
     
     
    Carole Richert 


     Michel Bouquet dans Tous les matins du monde
     
     
    Michel Bouquet 


     Jean-Claude Dreyfus dans Tous les matins du monde
     
     
    Jean-Claude Dreyfus 


     Yves Gasc dans Tous les matins du monde
     
     
    Yves Gasc 


     Yves Lambrecht dans Tous les matins du monde
     
     
    Yves Lambrecht 


     Myriam Boyer dans Tous les matins du monde
     
     
    Myriam Boyer 

    Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
    Images du film :
    Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.

    Tous les matins du monde Tous les matins du monde

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    1 Commentaire

    Jipi

    Date : 19-01-2021 Heure : 11:17:25



    "Tous les matins du monde sont sans retour." La seule vraie musique ne peut s’exprimer que dans le silence, la pluie, le vent et la boue unique possibilité d’approcher dans l’isolement le plus complet le secret d’une discipline ne pouvant atteindre son apogée que dans la banlieue de son art. Ailleurs on ne peut être qu’un musicien sans ornements ne faisant qu’enfiévrer à l’aide de compositions habiles l’esprit enfariné de quelques courtisans aux ordres. Ici la révélation ne peut s’atteindre que dans la souffrance dans une maison triste privée de sourires et d’assistance envers ce qui se contente d’aimer et de servir sans se révolter. Les véritables émotions ne se dévoilent qu’en catimini au contact d’un instrument austère dont les différentes harmonies ne font que reproduire la mélancolie d’une époque. Dont on traque avec virulence dans la sueur et la détermination toutes les possibilités amplifiant encore davantage les inconforts d’une abstinence que l’on devra supporter pendant toute son existence. Fuir les palais et leurs fausses lumières en se nourrissant à jamais sur un même site du tombeau de ses regrets en ne vivant que pour les sons et les images qu’il formate ou l’on ne sera le moment venu qu’une postérité destinée qu’à ses poules et à ses oies. La vie est belle à proportion qu’elle est féroce, elle attire toujours vers d’autres visages ne pouvant être que la vitalité d’une notoriété égoïste et abondante mais privée de son véritable sens que l'on peut enfin découvrir et partager au bord des larmes avec un maitre solitaire, violent et intransigeant enfin adouci par la perception d’une même résonance.