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    Claude Berri - 1993
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    Distribution :


     Renaud dans Germinal
     
     
    Renaud 


     Miou-Miou dans Germinal
     
     
    Miou-Miou 


     Jean Carmet dans Germinal
     
     
    Jean Carmet 


     Judith Henry dans Germinal
     
     
    Judith Henry 


     Gérard Depardieu dans Germinal
     
     
    Gérard Depardieu 


     Laurent Terzieff dans Germinal
     
     
    Laurent Terzieff 


     Bernard Fresson dans Germinal
     
     
    Bernard Fresson 


     Jean-pierre Bisson dans Germinal
     
     
    Jean-pierre Bisson 


     Jacques Dacqmine dans Germinal
     
     
    Jacques Dacqmine 


     Anny Duperey dans Germinal
     
     
    Anny Duperey 


     Frédéric van den Driessche dans Germinal
     
     
    Frédéric van den Driessche 


     Annick Alane dans Germinal
     
     
    Annick Alane 


     Cecile Bois dans Germinal
     
     
    Cecile Bois 


     Yolande Moreau dans Germinal
     
     
    Yolande Moreau 


     Fred Ulysse dans Germinal
     
     
    Fred Ulysse 


     Georges Staquet dans Germinal
     
     
    Georges Staquet 


     Jenny Clève dans Germinal
     
     
    Jenny Clève 


     Pierre Lafont dans Germinal
     
     
    Pierre Lafont 


     Gérard Croce dans Germinal
     
     
    Gérard Croce 

    Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
    Images du film :
    Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.

    Germinal Germinal

    Germinal Claude Berri Renaud Germinal Claude Berri Renaud

    Germinal Germinal

    Gerard Croce Gerard Croce


    Document sans nom
    Miou-Miou  Maheude Renaud  Étienne Lantier Jean Carmet  Vincent Maheu dit Bonnemort Judith Henry C atherine Maheu Jean-Roger Milo  Chaval Gérard Depardieu  Toussaint Maheu Laurent Terzieff  Souvarine Bernard Fresson  Victor Deneulin Jean-Pierre Biss on Rasseneur Jacques Dacqmine  Philippe Hennebeau Anny Duperey  Madame Hennebeau Gérard Croce  Maigrat Frédéric van den Driessche  Paul Négrel Annick Alane  Madame Grégoire Pierre Lafont  Léon Grégoire Thierry Levaret  Zacharie Maheu Fred Personne  Pluchart Cécile Bois  Cécile Grégoire Yolande Moreau  La Levaque Maximilien Regiani  Pierron Bruno Tuchszer  Captain of the Guards Anne-Marie Pisani  La Mouquette Fred Ulysse  Dansaert André Julien  Mouque Albano Guaetta  Jeanlin Maheu Georges Staquet  Levaque Yvette Petit  Veuve Désir Delphine Quentin  Lucie Deneulin Alexandrine Loeb  Jeanne Deneulin Solenn Jarniou  Madame Rasseneur Frédérique Ruchaud  Honorine Jenny Clève  Rose Fernand Kindt  Company Secretary André Chaumeau  Company Cashier Philippe Desboeuf  Docteur Séverine Huon  Alzire Maheu Jessica Sueur  Lénore Maheu Mathieu Mattez  Henri Maheu Alexandre Lekieffre  Maxime Sabrina Deladerière  Philomène Joël Petit  Bébert Nathalie Hequet  Amélie
    Document sans nom
    Vers la fin du XIXe siècle, Étienne Lantier, manœuvre au chômage, arrive à la mine « Le Voreux », dans le nord de la France. Après la mort d'une mineuse du nom de Fleurance, il est engagé. Il est envoyé dans un petit groupe dirigé par Toussaint Maheu, qui deviendra son ami. La famille Maheu compte dix personnes : Maheu, mineur, son père, travaillant également à la mine, sa femme, la Maheude, et leurs enfants. Zacharie, Catherine et Jeanlin, les ainés, travaillent également à la mine ; Alezire, bossue, garde le lit ; Léonore, Henri et le petit dernier sont trop petits pour encore travailler.

    « Le Voreux » est dirigée par Hennebeau, dont le neveu, Paul Négrel, est le principal ingénieur. Cette mine appartient à des actionnaires, « qui habitent Paris ». La mine « Jean Bart », elle, appartient et est dirigée par Victor Deneulin. La famille Grégoire, dont la femme est la sœur de Deneulin, organise le mariage de leur fille, Cécile, avec Paul Négrel. Paul est poussé à ce mariage par sa tante et amante, Madame Hennebeau.

    Logé par le cabaretier du village, Rasseneur, Étienne se plonge rapidement dans les discussions politiques concernant le travail dans la mine. Rasseneur, d'opinion socialiste, et Souvarine, anarchiste, s'opposent dans leur vision des actions à mener pour faire comprendre à la direction les conditions de travail de plus en plus dures des mineurs. Étienne, même s'il comprend les visions de Rasseneur, qui prône l'adhésion à l'AIT, nouvellement créée, préfère monter auprès de ses camarades une caisse de prévoyance, qui servirait en cas de grève. Les familles des mineurs sont déjà toutes fortement endettées auprès de l'épicier du coin, Maigrat.

    Dans le même temps, Zacharie, le fils aîné de Maheu, se marie. Le fils cadet, Jeanlin, se brise une jambe lors d'un éboulement, et ne peut plus être employé par la mine à plein régime. Afin de pouvoir continuer à avoir un revenu correct, la famille Maheu prend Étienne en pension. Celui-ci ne tarde pas à tomber amoureux de Catherine, la fille aînée, qui n'est pas non plus insensible à sa présence. Elle est hélas ! « fiancée » de Chaval, mineur lui-aussi au Voreux, puis à la mine voisine, Jean Bart.

    Lorsque la direction du Voreux impose une baisse du prix de la berline de charbon, ainsi que le paiement du boisage à part, entraînant alors une baisse de la paye des mineurs, ceux-ci se mettent en grève, après avoir tenté de raisonner Monsieur Hennebeau. Au bout d'un mois, la grève dure toujours au Voreux. Catherine habite désormais avec Chaval, et est méprisée par sa mère qui lui reproche d'être partie avec sa paye. Durant une réunion, Maheu et Étienne apostrophent Chaval, venu en spectateur, lui reprochant d'être un traître. Chaval les enjoint de venir le lendemain à Jean Bart, déclarant que les mineurs de là-bas vont également se mettre en grève pour les soutenir.

    Mais le lendemain, Chaval, après avoir tenté d'organiser la grève, cède devant l'offre de Deneulin qui lui propose d'être porion. Il descend donc, avec Catherine, alors qu'Étienne et les gens du Voreux se sont mis en route. Une fois à Jean Bart, ceux-ci et les grévistes de Jean Bart saccagent et brûlent les locaux ; Maheu coupe lui-même à la hache le câble de l'ascenseur. La ruine de Deneulin est signée.

    Lorsque Chaval et Catherine remontent à la surface par les échelles, ils sont accueillis par des injures et des horions de la part des grévistes. Étienne manque de s'emporter et de tuer Chaval ; Catherine s'interpose. Reprenant ses esprits, Étienne et ses troupes rentrent au Voreux, où ils assiègent l'épicerie de Maigrat. Celui-ci, prenant peur, tente de fuir par les toits, mais tombe et se tue. Sur ce, les gendarmes arrivent pour imposer à nouveau le calme. Étienne, désigné comme meneur, est obligé de se cacher.

    Lorsque les gendarmes sont persuadés qu'il est passé en Belgique, il peut enfin sortir de sa cachette, et apprend par Rasseneur que la direction du Voreux a fait appel à des mineurs belges. Chaval, qui a quitté Catherine et est revenu au Voreux, les conduira, et l'armée sera chargée de la protection de la mine. Alzire Maheu meurt. Le jour de l'arrivée des Belges, les mineurs français forment un attroupement pour convaincre la troupe de les laisser passer. La discussion dégénère et l'officier commandant le bataillon est blessé : les soldats font feu sur les mineurs. Maheu est tué. Étienne est à nouveau obligé de se cacher.

    Il finit par sortir pour rejoindre le travail et abandonner la grève. Accompagné de Catherine, il descend à nouveau au fond. Mais Souvarine a mis ses intentions à exécution : il a saboté les structures qui empêchent l'eau de noyer la mine. Les mineurs tentent de sortir par des anciennes cheminées d'aération, mais Catherine, Chaval et Étienne sont piégés dans un cul-de-sac. Étienne lors d'une bagarre tue Chaval ; Catherine finit par reconnaitre ses sentiments et se donne à lui, pensant qu'ils vont mourir.

    Les secours, organisés par Négrel, tentent de localiser les derniers survivants. Zacharie, aidant aux recherches, est tué par l'explosion d'une poche de grisou. Le père Maheu, lui, perd la raison et étrangle Cécile Hennebeau, venue avec ses parents faire la charité. Lorsque les secours pénètrent dans le cul-de-sac, seul Étienne est encore en vie. Dehors, la Maheu, voit le cadavre de sa fille et invective durement Étienne.

    Celui-ci finit par repartir du Voreux. Il se rend une dernière fois à l'entrée de la mine, pour dire au revoir à ses anciens camarades. Il croise la Maheude, qui retourne elle-aussi au fond : elle s'excuse de l'avoir rendu responsable des ses malheurs. Elle lui apprend également que le père Maheu est toujours chez elle, mais que sa pension d'ancien mineur a été annulée. Elle prévoit que, bientôt, ses trois derniers enfants rejoindront les rangs des travailleurs, comme elle et Jeanlin. Étienne quitte le Voreux, pensant que son combat n'a pas été complètement vain.

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    1 Commentaire

    Jipi

    Date : 17-04-2021 Heure : 14:04:07



    L’hérédité est le seul dieu dont nous connaissons le nom Oscar Wilde. Une cité porteuse ou nauséabonde dont chaque élément toutes générations confondues propage sur elle-même et sa descendance les récompenses ou les pénalités de son opportunisme ou de sa dépendance. C’est bien souvent grâce ou à cause de ceux qui nous ont précédés que nous sommes ou ne sommes pas. La brioche ou le pain rassis. La liqueur ou le mauvais vin, le domaine ou le taudis, l’étendue ou la promiscuité pour toute une nomenclature préservée ou en bas de l’échelle avec comme seul relationnel de plus en plus précaire un outil de travail aussi dangereux que peu rémunérateur. Chaque parti d'un ensemble incompatible protégé ou démuni entretient sa différence en devisant dans de beaux habits, devant une table bien garnie entouré de meubles rutilants ou bien se débarrasse sous le regard de tous dans l’unique pièce d’un logis surpeuplé d’une crasse tenace accumulée lors de longues heures de travail. Selon certains extrémistes et dans l’impossibilité de changer quoi que ce soit, il ne reste plus qu’une chose à faire : Déclencher un cataclysme laissant un site incapable de formater son équilibre relationnel respirer sa solitude pendant quelques siècles en "poubellisant" dans une unique déflagration, le patron manipulateur, l’épicier radin et pervers, la femme corvéable ou adultère et le bourgeois moralisateur accusant l’ouvrier relaps et analphabète d'être l'unique responsable de son triste sort, ne sachant que geindre, boire, se quereller et se reproduire tout en se satisfaisant de plaisirs simples. Et c’est loin d’être gagné tout repousse toujours à l’identique.