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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Marthe Keller Marthe Renon Daniel Ceccaldi Alain Renon Fernando Rey M. Nansoit Tania Balachova Mme Lanzmann Dominique Guezenec Carole Jacques Sternberg Le journaliste à France Soir Jean-Michel Folon Serge le dragueur Alain Ancelot Le flic Thérèse Carcassonne La belle-mère Rita Krauss Amie à la soirée Jérôme Peignot L'ami Pierre Marcerou Ami à la soirée Danièle Bouillet Amie à la soirée Henri Bouillet Ami à la soirée Colette Roubien Amie à la soirée Nicolas Kouclewsky Un disciple Camicas Un disciple Siboun Anatoline Un disciple Benjamin Baltimore Un disciple Richard Rein Un disciple Isabelle Vellay Une disciple Joëlle Picaud Une disciple (comme Joëlle Picot) Mireille Chaplin Une disciple
Document sans nom
Synopsis : Alors que son mari est en voyage aux Etats-Unis, Marthe se laisse séduire par un inconnu. Alors qu'ils sont au lit, une jeune fille tombe de l'étage supérieur sur la terrasse. Son voisin M. Nansoit, profite de la situation irrégulière de Marthe pour acheter son silence. Mais Marthe décide d'espionner Nansoit.
Critique à la sortie du film : Si vous avez été téléspectateur de « Post-Scriptum », vous connaissez le goût de Michel Polac pour l'étrange, l'ésotérique, l'irrationnel. Son nouveau film en est une approche à la fois simple, d'une démarche naturelle mais très subtile. Michel Polac se refuse le droit de juger, d'avoir une opinion sur les gourous, mages et autres. Sont-ils bons ? Sont-ils mauvais ? Sont-ils désintéressés ou exploitent-ils en charlatans la crédulité de contemporains immatures ? Il ne se prononce pas, pas davantage sur les vertus salvatrices de la psychothérapie de groupe dont il nous montre une séance spécialement organisée à l'intention de son film qui ne laisse pas de faire penser à certains rites des peuplades africaines. Son efficacité la plus certaine est que le spectateur a envie, comme l'héroïne, de fuir ces cinglés. L'héroïne est une jeune étrangère, belle, charmante, aimée (c'est Marthe Keller). Son mari (Daniel Ceccaldi) part pour un voyage lointain assez bref. Soucieux d'elle, il lui a programmé ses soirées durant toute son absence. Le hasard en dispose autrement. Un soir, une jeune fille tombe de l'étage supérieur sur sa terrasse. A l'étage supérieur habite le mage, « maître à ne pas penser rationnellement ». Elle fait sa connaissance, entre timidement dans ses enseignements, en revient et, lorsque son mari rentre de voyage, elle n'est plus, elle ne sera plus jamais la même. Pour son bien ou son mal, le gourou l'a modifiée. Bien filmé, dans un Paris dont le symbolisme utilisé par Polac ne méprise pas la beauté, « La Chute d'un corps » ne laisse pas indifférent, plutôt insatisfait. On regrette que, de temps en temps, Michel Polac n'ait pas su ou voulu mobiliser l'humour qui manque singulièrement à son entreprise. Faut-il vraiment prendre les gourous au sérieux à ce point ? Sans doute, puisque Béatrice Le Mire et son gourou, Paul de Séligny, dont l'affaire a inspiré « La Chute d'un corps », viennent d'assigner M. Polac en diffamation.
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Marthe Keller Marthe Renon Daniel Ceccaldi Alain Renon Fernando Rey M. Nansoit Tania Balachova Mme Lanzmann Dominique Guezenec Carole Jacques Sternberg Le journaliste à France Soir Jean-Michel Folon Serge le dragueur Alain Ancelot Le flic Thérèse Carcassonne La belle-mère Rita Krauss Amie à la soirée Jérôme Peignot L'ami Pierre Marcerou Ami à la soirée Danièle Bouillet Amie à la soirée Henri Bouillet Ami à la soirée Colette Roubien Amie à la soirée Nicolas Kouclewsky Un disciple Camicas Un disciple Siboun Anatoline Un disciple Benjamin Baltimore Un disciple Richard Rein Un disciple Isabelle Vellay Une disciple Joëlle Picaud Une disciple (comme Joëlle Picot) Mireille Chaplin Une disciple
Synopsis : Alors que son mari est en voyage aux Etats-Unis, Marthe se laisse séduire par un inconnu. Alors qu'ils sont au lit, une jeune fille tombe de l'étage supérieur sur la terrasse. Son voisin M. Nansoit, profite de la situation irrégulière de Marthe pour acheter son silence. Mais Marthe décide d'espionner Nansoit.
Critique à la sortie du film : Si vous avez été téléspectateur de « Post-Scriptum », vous connaissez le goût de Michel Polac pour l'étrange, l'ésotérique, l'irrationnel. Son nouveau film en est une approche à la fois simple, d'une démarche naturelle mais très subtile. Michel Polac se refuse le droit de juger, d'avoir une opinion sur les gourous, mages et autres. Sont-ils bons ? Sont-ils mauvais ? Sont-ils désintéressés ou exploitent-ils en charlatans la crédulité de contemporains immatures ? Il ne se prononce pas, pas davantage sur les vertus salvatrices de la psychothérapie de groupe dont il nous montre une séance spécialement organisée à l'intention de son film qui ne laisse pas de faire penser à certains rites des peuplades africaines. Son efficacité la plus certaine est que le spectateur a envie, comme l'héroïne, de fuir ces cinglés. L'héroïne est une jeune étrangère, belle, charmante, aimée (c'est Marthe Keller). Son mari (Daniel Ceccaldi) part pour un voyage lointain assez bref. Soucieux d'elle, il lui a programmé ses soirées durant toute son absence. Le hasard en dispose autrement. Un soir, une jeune fille tombe de l'étage supérieur sur sa terrasse. A l'étage supérieur habite le mage, « maître à ne pas penser rationnellement ». Elle fait sa connaissance, entre timidement dans ses enseignements, en revient et, lorsque son mari rentre de voyage, elle n'est plus, elle ne sera plus jamais la même. Pour son bien ou son mal, le gourou l'a modifiée. Bien filmé, dans un Paris dont le symbolisme utilisé par Polac ne méprise pas la beauté, « La Chute d'un corps » ne laisse pas indifférent, plutôt insatisfait. On regrette que, de temps en temps, Michel Polac n'ait pas su ou voulu mobiliser l'humour qui manque singulièrement à son entreprise. Faut-il vraiment prendre les gourous au sérieux à ce point ? Sans doute, puisque Béatrice Le Mire et son gourou, Paul de Séligny, dont l'affaire a inspiré « La Chute d'un corps », viennent d'assigner M. Polac en diffamation.