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Nathalie Zeiger et Bunny Godillot
Nathalie Zeiger et Robert de Laroche
Robert de Laroche et Nathalie Zeiger
Brigitte Borghese et Marie Noelle Louvet
Catherine Saint Martin et Jacques Bernard
Christian Duroc et Frank Adler
Claude Petit et Patrice Pascal
Frank Adler et Martine Azencot
Jacques Bernard et Catherine Saint Martin
Jeremy De Treal et Catherine Mouton
Les petites saintes y touchent
Les petites saintes y touchent
Martine Azencot et Catherine Mouton
Philippe Dumond Angelo Bassi et Gene Sand
Philippe Dumond et Maria Mancini
Odette Berroyer la directrice de la pension / la mère de Robert / la mère supérieure Robert de Laroche Mike / le visiteur du couvent (comme Robert Icart) Nathalie Zeiger Agnès Catherine Flobert une pensionnaire Françoise Dammien la femme dans le pub Sophie Grynholc la femme à la soirée Bunny Godillot Virginie (comme Aurore Benny) Jean-Marie Pallardy Bernard Antoine Fontaine Paul, le marinier Martine Azencot Chantal Frank Adler Tom Christian Duroc Christophe Catherine Mouton Miss Jane Jeremy De Treal Robert Régine Cardot la duchesse Jerry Brouer Mr. Smith Marie Hélène Règne Fabienne Jacques Bernard Mr. Grey Catherine Saint-Martin Mrs. Grey Gregory Bobby Grey Maria Mancini Pamela Philippe Dumont un ami avec Pamela Gene Sand un ami avec Pamela Angelo Bassi un ami avec Pamela Brigitte Borghese Joan, la leader du MLF Marie-Noëlle Louvet l'amie de Joan Claude Petit le premier dragueur Patrice Pascal le deuxième dragueur Joëlle Coeur Ursula Janine Reynaud voix de Jeanne d'Arc
Les anciennes pensionnaires d'une institution de jeunes filles se retrouvent et se font le récit de leurs expériences amoureuses.
SCENARIO Michel Lemoine ; IMAGE Philippe Théaudière ; SON François Carré ; MONTAGE Bob Wade ; MUSIQUE Guy Bonnet ; PRODUCTION Michel Lemoine - Les films du Daunou
« Il semble que l'auteur ait voulu donner un petit ton d'humour au film sexy. Celui-ci n'en est que plus lourd et plus laborieux. Seule l'image est techniquement correcte, ce qui ne saurait faire oublier l'exécrable jeu des acteurs (...) Les fades piments à intentions érotiques n'échappent pas, eux non plus, à la banalité. » - François Chevassu, Saison cinématographique 1975.
« (...) Serait-ce l'heureuse influence pour Lemoine des années italiennes où le film à sketches était une spécialité locale ? Il a choisi délibérément la tendance swinging London et a réussi le sien, à la fois drôle et érotique, peut-être moins toutefois que les précédentes "Confidences érotiques", mais tout à fait regardable (...) Théaudière polit l'image en orfèvre. » - Edgar Baltzer, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, 2011.