Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo
Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Jacques Charrier Remy Fertet Mylène Demongeot Lisette Valadie Juliette Mayniel Chloé Marie Laforêt Agathe Jill Haworth Cécilia Odile Versois Nathalie Roland Dubillard Haudoin (comme Grégoire) Louis Velle Bertier Maurice Garrel Moulard Michel Puterflam Stéphane Helmut Griem Johann Muller Yvonne Monlaur La soubrette René Alié Le père d'agathe Françoise Alié La mère d'agathe ? Guy Revaldy Pâquerette La voisine de Lisette
Document sans nom
Rémi, joli cœur volage, papillonne d’une fille à l’autre sans jamais s’attacher. Il délaisse Chloé pour Agathe, tout en se laissant aimer par la gentille Lisette. Chloé, par jalousie, l’accuse injustement du meurtre de son fiancé Olivier. Rémi réussit à échapper à la police grâce à Lisette et Agathe qui pactisent afin d’aider leur bel inconstant.
Le trio, en menant l’enquête de son côté, suit la piste de Johann Muller que Rémi a aperçu sur le lieu du crime. Le trio trouve l’hôtel parisien où Muller réside en compagnie de son amie Cécilia. Lisette y prend une chambre pour les espionner. Mais Johann Muller prouve son innocence et soustrait Rémi aux policiers qui ont suivi sa trace jusqu’à l’hôtel.
Rémi tombe éperdument amoureux de Cecilia qui n’éprouvera jamais que de l’amitié pour lui. Il sera innocenté grâce à l’intervention de ses duettistes amoureuses qui démasqueront le coupable. Mais, pour la première fois de sa vie, Remi sera malheureux à cause, à cause d'une femme...
Source : Francomac
FIDELE à elle-même et à ses qualités originales, l'équipe qui entoure talentueusement Michel Deville et Nina Companeez signe aujourd'hui son troisième film : « A cause, à cause d'une femme. » Après « Ce soir ou jamais » et « Adorable Menteuse », cet ouvrage délicat et subtil, tendre et cruel, confirme la grâce funambulesque de deux auteurs qui n'en font qu'un et renoue à distance avec Marivaux et Charles Trenet. Ici, Pierrot soupe chez Arlequin à l'enseigne du « Jeu de l'Amour », et l'on s'attend à tout instant à voir s'envoler Lisette, tant le climat du film est léger, léger...
Arlequin 63 s'appelle Rémy. Il aime les femmes, il papillonne autour d'elles. Elles l'adorent. Et puis, crac ! en voici une qui, pour se venger des fausses confidences passées et futures, l'accuse d'un meurtre. Pas moins. Personne n'y croit, sauf la police, car le meurtre a eu lieu et les preuves accusent Rémy. Deux Colombines s'allient pour le tirer de là : fugues, poursuites, baisers ici, baisers là. Rémy joue sur deux notes, sans monotonie, quand survient la surprise de l'amour qui métamorphose notre Arlequin coquin en Pierrot nostalgique.
Michel Deville raffole de ces virages du cœur : dans chacun de ses précédents films, il s'essayait à les traduire. Cette fois, il y réussit et, du même coup, s'improvise le Gagarine du cinéma sans pesanteur. Choisis, choyés, entourés de sympathie et dirigés avec doigté, les acteurs donnent le meilleur d'eux-mêmes : Marie Laforêt, Mylène Demongeot, Jill Haworth et Juliette Mayniel sont les Colombines de Jacques Charrier, plus Arlequin que Pierrot, mais dont le charme demeure intact.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Verlaine a cause a cause d une femme
Jacques Charrier Remy Fertet Mylène Demongeot Lisette Valadie Juliette Mayniel Chloé Marie Laforêt Agathe Jill Haworth Cécilia Odile Versois Nathalie Roland Dubillard Haudoin (comme Grégoire) Louis Velle Bertier Maurice Garrel Moulard Michel Puterflam Stéphane Helmut Griem Johann Muller Yvonne Monlaur La soubrette René Alié Le père d'agathe Françoise Alié La mère d'agathe ? Guy Revaldy Pâquerette La voisine de Lisette
Rémi, joli cœur volage, papillonne d’une fille à l’autre sans jamais s’attacher. Il délaisse Chloé pour Agathe, tout en se laissant aimer par la gentille Lisette. Chloé, par jalousie, l’accuse injustement du meurtre de son fiancé Olivier. Rémi réussit à échapper à la police grâce à Lisette et Agathe qui pactisent afin d’aider leur bel inconstant.
Le trio, en menant l’enquête de son côté, suit la piste de Johann Muller que Rémi a aperçu sur le lieu du crime. Le trio trouve l’hôtel parisien où Muller réside en compagnie de son amie Cécilia. Lisette y prend une chambre pour les espionner. Mais Johann Muller prouve son innocence et soustrait Rémi aux policiers qui ont suivi sa trace jusqu’à l’hôtel.
Rémi tombe éperdument amoureux de Cecilia qui n’éprouvera jamais que de l’amitié pour lui. Il sera innocenté grâce à l’intervention de ses duettistes amoureuses qui démasqueront le coupable. Mais, pour la première fois de sa vie, Remi sera malheureux à cause, à cause d'une femme...
Source : Francomac
FIDELE à elle-même et à ses qualités originales, l'équipe qui entoure talentueusement Michel Deville et Nina Companeez signe aujourd'hui son troisième film : « A cause, à cause d'une femme. » Après « Ce soir ou jamais » et « Adorable Menteuse », cet ouvrage délicat et subtil, tendre et cruel, confirme la grâce funambulesque de deux auteurs qui n'en font qu'un et renoue à distance avec Marivaux et Charles Trenet. Ici, Pierrot soupe chez Arlequin à l'enseigne du « Jeu de l'Amour », et l'on s'attend à tout instant à voir s'envoler Lisette, tant le climat du film est léger, léger...
Arlequin 63 s'appelle Rémy. Il aime les femmes, il papillonne autour d'elles. Elles l'adorent. Et puis, crac ! en voici une qui, pour se venger des fausses confidences passées et futures, l'accuse d'un meurtre. Pas moins. Personne n'y croit, sauf la police, car le meurtre a eu lieu et les preuves accusent Rémy. Deux Colombines s'allient pour le tirer de là : fugues, poursuites, baisers ici, baisers là. Rémy joue sur deux notes, sans monotonie, quand survient la surprise de l'amour qui métamorphose notre Arlequin coquin en Pierrot nostalgique.
Michel Deville raffole de ces virages du cœur : dans chacun de ses précédents films, il s'essayait à les traduire. Cette fois, il y réussit et, du même coup, s'improvise le Gagarine du cinéma sans pesanteur. Choisis, choyés, entourés de sympathie et dirigés avec doigté, les acteurs donnent le meilleur d'eux-mêmes : Marie Laforêt, Mylène Demongeot, Jill Haworth et Juliette Mayniel sont les Colombines de Jacques Charrier, plus Arlequin que Pierrot, mais dont le charme demeure intact.
Vous pouvez déposer un commentaire :