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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Christine Audhuy Isabelle et Julie Bernard Tiphaine Valentin de Moreuil Annick Roux Olivia Michel Beaune Raoul Luc Ponette Bille Janine Souchon la modiste Eric Colin Philipp
Document sans nom
Adaptation contemporaine de Marcelle MAURETTE, d'après l'oeuvre d'Alfred de MUSSET. Valentin de Moreuil, docteur en droit et dessinateur au "Mercure de France" est simultanément amoureux de l'adorable Isabelle de Parmes et de la non moins adorable Julie Delaunay, manucure et peintre en écharpes. La prodigieuse ressemblance des deux jeunes femmes ne lui apparait qu'un peu tardivement, quand son coeur est pris par la marquise de Parmes, tandis que sa charmante désinvolture a conquis la dessinatrice. Il papillonne de l'une à l'autre. "Choisir serait injuste" se dit-il pour calmer sa conscience vaguement inquiète. L'orgueilleuse Isabelle découvre l'existence de sa rivale, mais lorsque Valentin parvient à rompre difficilement avec elle, il est trop tard, Julie a pris la fuite... Mots clés : séduction ; amour
Critique : Qu'on le veuille ou non, il y a toujours un standard minimal professionnel en matière de littérature ou de spectacle. N'importe quel éditeur ou producteur est bien forcé d'en convenir. Lorsqu'ils sont acceptés, tous les manuscrits oui leur passent entre les mains sont soigneusement revus, voire remaniés, pour obéir précisément à ces normes minimales. Elles sont difficiles à définir, d'ailleurs, étant faites de mille conventions, recettes ou tours de main et qui, invisibles à l'œil du profane, révèlent le « métier ». Que cela vienne à manquer, et la meilleure idée du monde devient incompréhensible, gauche, inintéressante.
C'est ce qui s'est passé pour « Les Deux Maîtresses », où, à partir d'une nouvelle charmante d'Alfred de Musset, Marcelle-Maurette avait tenté d'en transposer le thème dans une version moderne. Résultat : un texte d'une platitude rare. Et la réalisation et le montage n'ont pas arrangé les choses. En effet, il faut traiter avec beaucoup d'adresse le thème rebattu des sosies, à l'écran, pour que le spectateur arrive à s'y retrouver. Nous avons eu droit à d'incessants retours en arrière qui achevaient de brouiller complétement le récit. De plus, les cadrages, dans le style des romans-photos, étaient d'une monotonie désolante. On pourrait penser que « Les Deux Maîtresses » sont un échec sur toute la ligne s'il n'y avait pas eu la double héroïne, Christine Audhuy, qui, en dépit d'une direction d'acteur détestable, a réussi à tirer son épingle du jeu par une certaine qualité de présence et une beauté de traits peu commune.
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Christine Audhuy Isabelle et Julie Bernard Tiphaine Valentin de Moreuil Annick Roux Olivia Michel Beaune Raoul Luc Ponette Bille Janine Souchon la modiste Eric Colin Philipp
Adaptation contemporaine de Marcelle MAURETTE, d'après l'oeuvre d'Alfred de MUSSET. Valentin de Moreuil, docteur en droit et dessinateur au "Mercure de France" est simultanément amoureux de l'adorable Isabelle de Parmes et de la non moins adorable Julie Delaunay, manucure et peintre en écharpes. La prodigieuse ressemblance des deux jeunes femmes ne lui apparait qu'un peu tardivement, quand son coeur est pris par la marquise de Parmes, tandis que sa charmante désinvolture a conquis la dessinatrice. Il papillonne de l'une à l'autre. "Choisir serait injuste" se dit-il pour calmer sa conscience vaguement inquiète. L'orgueilleuse Isabelle découvre l'existence de sa rivale, mais lorsque Valentin parvient à rompre difficilement avec elle, il est trop tard, Julie a pris la fuite... Mots clés : séduction ; amour
Critique : Qu'on le veuille ou non, il y a toujours un standard minimal professionnel en matière de littérature ou de spectacle. N'importe quel éditeur ou producteur est bien forcé d'en convenir. Lorsqu'ils sont acceptés, tous les manuscrits oui leur passent entre les mains sont soigneusement revus, voire remaniés, pour obéir précisément à ces normes minimales. Elles sont difficiles à définir, d'ailleurs, étant faites de mille conventions, recettes ou tours de main et qui, invisibles à l'œil du profane, révèlent le « métier ». Que cela vienne à manquer, et la meilleure idée du monde devient incompréhensible, gauche, inintéressante.
C'est ce qui s'est passé pour « Les Deux Maîtresses », où, à partir d'une nouvelle charmante d'Alfred de Musset, Marcelle-Maurette avait tenté d'en transposer le thème dans une version moderne. Résultat : un texte d'une platitude rare. Et la réalisation et le montage n'ont pas arrangé les choses. En effet, il faut traiter avec beaucoup d'adresse le thème rebattu des sosies, à l'écran, pour que le spectateur arrive à s'y retrouver. Nous avons eu droit à d'incessants retours en arrière qui achevaient de brouiller complétement le récit. De plus, les cadrages, dans le style des romans-photos, étaient d'une monotonie désolante. On pourrait penser que « Les Deux Maîtresses » sont un échec sur toute la ligne s'il n'y avait pas eu la double héroïne, Christine Audhuy, qui, en dépit d'une direction d'acteur détestable, a réussi à tirer son épingle du jeu par une certaine qualité de présence et une beauté de traits peu commune.
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