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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Robert Dhéry L'instituteur Colette Brosset L'institutrice Didier Haudepin Pierre Yves Robert L'oncle Henri Jacques Dufilho Le paysan René-Louis Lafforgue M. Raoul Jacques Legras Le garagiste Tsilla Chelton Une parente aux condoléances Pierre Palau Le père Bigeard Fernand Ledoux L'inspecteur Paul Claudon Le curé Henri Marteau L'automobiliste en panne Pierre Tornade Le régisseur Arlette Balkis une spectatrice Philippe Castelli Le parent à la couronne mortuaire Albert Daumergue Un spectateur Pierre Etaix Le souffleur Jacques Hilling L’égoutier Louis Jojot Un spectateur Pierre Leproux Le maire Marie Marc Une spectatrice André Tomasi Le gendarme Roger Trapp Le cousin de Pierre Nono Zammit L'homme-orchestre
Document sans nom
LA COMMUNALE
UN FILM DE JEAN L'HOTE (1965) d'après son roman
Adaptation et dialogues de Jean L'Hôte
Musique de Georges Auric
L'EPOQUE ET LE LIEU : En 1932, dans un village lorrain et dans le Midi de la France.
LE THEME : Un instituteur s'achète une automobile qui devient une source de complications comiques.
LE DEBUT : Dans un village lorrain, bien tranquille, l'instituteur assure le cours préparatoire au certificat d'études, tandis que sa femme, l'institutrice, a la charge du cours élémentaire. Leur fils, Pierre, est âgé de douze ans. Pour le treizième anniversaire de leur mariage, l'instituteur a commandé, en grand secret, une automobile. C'est une Peugeot 301, dont l'arrivée au village fait sensation. L'instituteur en est si fier qu'il l'astique, l'admire, et va s'y asseoir la nuit...
CRITIQUE : Une suite de scènes charmantes et sympathiques ne donne pas nécessairement un film réussi. Malgré une sensibilité certaine, Jean L'Hôte n'a pas su éviter la banalité sucrée, alors qu'il voulait dépeindre un farfelu souriant.
Télé 7 jours
Crédit distribution : Armel de Lorme, Encyclopédie des longs métrages, Volume 8, page 107
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Jacques Dufilho et Robert Dhery
Yves Robert et Didier Haudepin
Robert Dhéry L'instituteur Colette Brosset L'institutrice Didier Haudepin Pierre Yves Robert L'oncle Henri Jacques Dufilho Le paysan René-Louis Lafforgue M. Raoul Jacques Legras Le garagiste Tsilla Chelton Une parente aux condoléances Pierre Palau Le père Bigeard Fernand Ledoux L'inspecteur Paul Claudon Le curé Henri Marteau L'automobiliste en panne Pierre Tornade Le régisseur Arlette Balkis une spectatrice Philippe Castelli Le parent à la couronne mortuaire Albert Daumergue Un spectateur Pierre Etaix Le souffleur Jacques Hilling L’égoutier Louis Jojot Un spectateur Pierre Leproux Le maire Marie Marc Une spectatrice André Tomasi Le gendarme Roger Trapp Le cousin de Pierre Nono Zammit L'homme-orchestre
LA COMMUNALE
UN FILM DE JEAN L'HOTE (1965) d'après son roman
Adaptation et dialogues de Jean L'Hôte
Musique de Georges Auric
L'EPOQUE ET LE LIEU : En 1932, dans un village lorrain et dans le Midi de la France.
LE THEME : Un instituteur s'achète une automobile qui devient une source de complications comiques.
LE DEBUT : Dans un village lorrain, bien tranquille, l'instituteur assure le cours préparatoire au certificat d'études, tandis que sa femme, l'institutrice, a la charge du cours élémentaire. Leur fils, Pierre, est âgé de douze ans. Pour le treizième anniversaire de leur mariage, l'instituteur a commandé, en grand secret, une automobile. C'est une Peugeot 301, dont l'arrivée au village fait sensation. L'instituteur en est si fier qu'il l'astique, l'admire, et va s'y asseoir la nuit...
CRITIQUE : Une suite de scènes charmantes et sympathiques ne donne pas nécessairement un film réussi. Malgré une sensibilité certaine, Jean L'Hôte n'a pas su éviter la banalité sucrée, alors qu'il voulait dépeindre un farfelu souriant.
Télé 7 jours
Crédit distribution : Armel de Lorme, Encyclopédie des longs métrages, Volume 8, page 107
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