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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
César Colombani Pierre Doris Nénette Colette Gérard Paul Pitard Pierre Destailles Berthe Pitard Florence Blot Adrien de Grandterre Henri Guisol Thérèse de Grandterre Hélène Duc Léo Barbize Robert Thomas Julia Barbize Amarande La voix Edward Sanderson
Document sans nom
Au théâtre ce soir
UNE EMISSION DE PIERRE SABBAGH
ASSASSINS ASSOCIÉS
COMEDIE DE ROBERT THOMAS
Mise en scène de Jean Piat Réalisation de Pierre Sabbagh
Déjà diffusé le 23 avril 1970, Chaîne 1
LE THEME Dans une petie ville du Loiret, quatre hommes, excédés par leurs compagnes, cherchent désespérément à se débarrasser d'elles. De cette concordance de situation naît l'idée de fonder une association d'assassins, chaque membre œuvrant pour le compte du voisin. Mais les femmes ont la vie dure et il y a lieu de se méfier du choc en retour.
LE DEBUT César Colombani, depuis peu promu capitaine de gendarmerie, ne s'est pas encore départi de ses habitudes de simple gendarme. Il fait sa ronde dans les « Jardins du général Truffe », parc municipal de Neuville-sur-Vernisson. II rencontre Paul Pitard, vieux garçon un peu aigri, propriétaire d'un café. Les deux hommes échangent quelques propos, chacun évoquant ses problèmes. Le commerce de Pitard périclite et le cafetier en rejette la faute sur sa sœur, un véritable dragon qui fait fuir la clientèle. De son côté, Colombani souhaiterait recevoir les palmes académiques. Il compte sur le soutien de la baronne de Grandterre. Après le départ du capitaine de gendarmerie, arrive Adrien de Grandterre. Le baron a fui pour quelques instants l'atmosphère survoltée du château où la baronne, une virago capable de boxer un député — elle l'a prouvé — entend régner en maîtresse absolue...
CRITIQUE En associant le policier au vaudeville, l'auteur montre clairement qu'il est décidé à ne reculer devant rien. Il le prouve dès les premières répliques et va gaillardement jusqu'au rideau final. Il a cependant pris soin de construire solidement sa pièce, ce qui libère ses interprètes, qui ne craignent plus d'en faire trop, pourvu que le public les soutiennent par ses rires.
PIERRE DORIS :
Surnommé le « pape de l'humour noir », «l'abominable » Pierre Doris, l'homme aux histoires atroces, s'est révélé à la télévision un comédien sensible et émouvant. C'était en 1971, dans le feuilleton de Maurice Pialat « La Maison des bois ». Depuis, il a joué au théâtre « La main passe », de Feydeau, et « Pauvre France », de Jean Cau. Nous l'avons revu samedi dernier, sur A 2, au côté de Robert Hirsch, dans le mélodrame d'Anicet Bourgeois et Dumanoir, « Le Docteur noir ». Pierre Doris achève le tournage de « Robert Macair» et passe au cabaret parisien « La Belle Epoque » avant de partir en tournée avec « Oscar », de Claude Magnier.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
César Colombani Pierre Doris Nénette Colette Gérard Paul Pitard Pierre Destailles Berthe Pitard Florence Blot Adrien de Grandterre Henri Guisol Thérèse de Grandterre Hélène Duc Léo Barbize Robert Thomas Julia Barbize Amarande La voix Edward Sanderson
Au théâtre ce soir
UNE EMISSION DE PIERRE SABBAGH
ASSASSINS ASSOCIÉS
COMEDIE DE ROBERT THOMAS
Mise en scène de Jean Piat Réalisation de Pierre Sabbagh
Déjà diffusé le 23 avril 1970, Chaîne 1
LE THEME Dans une petie ville du Loiret, quatre hommes, excédés par leurs compagnes, cherchent désespérément à se débarrasser d'elles. De cette concordance de situation naît l'idée de fonder une association d'assassins, chaque membre œuvrant pour le compte du voisin. Mais les femmes ont la vie dure et il y a lieu de se méfier du choc en retour.
LE DEBUT César Colombani, depuis peu promu capitaine de gendarmerie, ne s'est pas encore départi de ses habitudes de simple gendarme. Il fait sa ronde dans les « Jardins du général Truffe », parc municipal de Neuville-sur-Vernisson. II rencontre Paul Pitard, vieux garçon un peu aigri, propriétaire d'un café. Les deux hommes échangent quelques propos, chacun évoquant ses problèmes. Le commerce de Pitard périclite et le cafetier en rejette la faute sur sa sœur, un véritable dragon qui fait fuir la clientèle. De son côté, Colombani souhaiterait recevoir les palmes académiques. Il compte sur le soutien de la baronne de Grandterre. Après le départ du capitaine de gendarmerie, arrive Adrien de Grandterre. Le baron a fui pour quelques instants l'atmosphère survoltée du château où la baronne, une virago capable de boxer un député — elle l'a prouvé — entend régner en maîtresse absolue...
CRITIQUE En associant le policier au vaudeville, l'auteur montre clairement qu'il est décidé à ne reculer devant rien. Il le prouve dès les premières répliques et va gaillardement jusqu'au rideau final. Il a cependant pris soin de construire solidement sa pièce, ce qui libère ses interprètes, qui ne craignent plus d'en faire trop, pourvu que le public les soutiennent par ses rires.
PIERRE DORIS :
Surnommé le « pape de l'humour noir », «l'abominable » Pierre Doris, l'homme aux histoires atroces, s'est révélé à la télévision un comédien sensible et émouvant. C'était en 1971, dans le feuilleton de Maurice Pialat « La Maison des bois ». Depuis, il a joué au théâtre « La main passe », de Feydeau, et « Pauvre France », de Jean Cau. Nous l'avons revu samedi dernier, sur A 2, au côté de Robert Hirsch, dans le mélodrame d'Anicet Bourgeois et Dumanoir, « Le Docteur noir ». Pierre Doris achève le tournage de « Robert Macair» et passe au cabaret parisien « La Belle Epoque » avant de partir en tournée avec « Oscar », de Claude Magnier.
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