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  • Les parents terribles 
    Jean-Paul Carrère - 1960
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    Distribution :


     Jany Holt dans Les parents terribles
     
     
    Jany Holt 


     Simone Renant dans Les parents terribles
     
     
    Simone Renant 


     Jean-Claude Brialy dans Les parents terribles
     
     
    Jean-Claude Brialy 


     Julien Bertheau dans Les parents terribles
     
     
    Julien Bertheau 

    Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
    Images du film :
    Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.

    Les parents terribles 1960 Les parents terribles 1960

    Jany Holt et Jean Claude Brialy Jany Holt et Jean Claude Brialy

    Jany Holt Jany Holt

    Jean Claude Brialy et Nelly Vignon Jean Claude Brialy et Nelly Vignon

    Julien Bertheau et Simone Renant Julien Bertheau et Simone Renant

    Nelly Vignon Nelly Vignon

    Nelly Vignon Nelly Vignon

    Nelly Vignon Nelly Vignon

    Simone Renant Simone Renant

    Simone Renant Simone Renant

    Simone Renant Simone Renant

    Les parents terribles Les parents terribles


    Document sans nom
    Jany Holt Yvonne Simone Renant Léonie Nelly Vignon Madeleine Jean Claude Brialy Michel Julien Bertheau George
    Document sans nom
    Pièce en trois actes de Jean Cocteau, créée en 1938 au théâtre des Ambassadeurs à Paris et mise en scène pour la télévision par Jean-Paul Carrère. L'auteur décrivait ainsi "Les Parents terribles" : "J'ai voulu essayer ici un drame qui soit une comédie, et dont le centre même serait un noeud de vaudeville si la marche des scènes et le mécanisme des personnages n'étaient dramatiques". Le mélange des registres donne toute sa puissance à la pièce. Dans un appartement en désordre,"la roulotte" vivent : Georges, inventeur fantaisiste et raté ; Yvonne, sa femme, absorbée par la passion dévorante qu'elle voue à leur fils, Michel et Léonie, dite Léo, soeur d'Yvonne qui entretient la famille et symbolise l'ordre et l'autorité. Un jour, Michel annonce qu'il est amoureux d'une jeune femme, Madeleine, qu'il désire épouser. Celle-ci a été la maîtresse de Georges, avant de connaitre les liens qui unissaient les deux hommes. Naturellement Georges et Yvonne vont se liguer pour empêcher ce mariage. C'est Léo, depuis toujours amoureuse de Georges, qui montre à ce dernier son ignominie et permet le mariage de Michel et Madeleine. Yvonne ne le supporte pas et en meurt. Mots clés : pièce de théâtre (Les Parents terribles) ; théâtre de boulevard ; drame (tragi-comédie) ; couple ; adultère ; relation parent enfant (mère fils) ; parent ; mère (abusive) ; passion (dévorante) ; jalousie ; suicide

    Une oeuvre forte, populaire.

    Vingt ans est un mauvais délai pour reprendre une pièce qui a obtenu un très grand succès. On boude volontiers ce que l'on a adoré hier. Alors que le souvenir de certains acteurs dans certains rôles s'amplifie avec le temps jusqu'à dépasser le mérite exact de ces comédiens. « Les parents terribles » de Jean Cocteau, bien mis en scène par Jean-Paul Carrèrc, a résisté au premier de ces traquenards. Créé dans un théâtre de boulevard, ce drame pouvait sembler une pièce d'époque. Revu sur l'écran de la Télévision, il nous a paru comme une œuvre forte, solide, éminemment populaire et à l'abri des atteintes du temps. Les comédiens, eux, se sont tirés diversement de leur confrontation avec leurs aînés. Simone Renant et Nelly Vignon ont été les égales de Dorziat et de Cocéa. Jany Holt, elle le savait, ne pouvait faire oublier Yvonne de Bray qui joua le rôle au cinéma, mais elle ne fut pas inférieure à Dcrmoz qui avait été la créatrice de la mère au théâtre. Quant à Brialy, acteur désinvolte et charmant, il a obtenu un grand succès sans pourtant avoir ce feu intérieur que possédait Jean Marais et qui rendait acceptables certains cris. Nous achèverons cette critique par un accès de mauvaise humeur. Messieurs les décorateurs, qu'est-ce qui vous autorise à ne pas lire les manuscrits que l'on vous confie ? Cocteau a pris le soin de décrire avec minutie le désordre d'une chambre, de l'appeler « la roulotte ». Pourquoi alors en avoir fait une pièce trop bien rangée ?

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