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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Jean Louvigny Follavoine Marguerite Pierry Julie Follavoine Michel Simon Chouilloux Olga Valéry Madame Chouilloux Fernandel Truchet Nicole Fernandez Rose Sacha Tarride Toto
Document sans nom
SCENARIO Pierre Prévert et Jean Renoir d'après la pièce de Georges Feydeau ; IMAGES Theodor Sparkuhl et Roger Hubert ; MONTAGE Jean Mamy ; DECORS Gabriel Scognamillo ; MUSIQUE Paul Misraki ; ASSISTANTS Pierre Prévert et Claude Heyman ; PRODUCTION Pierre Braunberger et Roger Richebé ;
M. Follavoine, fabricant exclusif de « porcelaines incassables » est en lice pour équiper l’armée française en vases de nuit. Il s’apprête à recevoir à déjeuner M. Chouilloux, le fonctionnaire du Ministère de la Guerre en charge du dossier. Mais en cette matinée, madame Follavoine ne se soucie guère de cet invité qui pourrait pourtant assurer sa fortune. Toutes ses préoccupations vont à son fils Toto qui « n’est pas allé »…
« Je passai victorieusement l'épreuve de On PURGE BEBE. Avec l'aide de mes assistants Pierre Prévert et Claude Heyman j'écrivis le scénario en une semaine, je le tournai en une autre semaine et en fis le montage également en une semaine. Trois semaines après le commencement des prise de vues, le film sortait au Gaumont Palace et rapportait beaucoup d'argent.(...) Dans un souci de réalisme, j'utilisai la vraie chasse d'eau d'ubne vraie toilette de studio. Le résultat fut un bruit de caractère qui ravit les représentants de la production et m'éleva au rang de grand homme. Preuve supplémentaire qu'il ne faut pas essayer d'orienter sa destinée, la divine providence sait mieux que nous (...) » - Jean Renoir, Ma vie et mes films, 1974.
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Jacques Louvigny et Marguerite Pierry
Marguerite Pierry et Sacha Tarride
Michel Simon et Jacques Louvigny
Jean Louvigny Follavoine Marguerite Pierry Julie Follavoine Michel Simon Chouilloux Olga Valéry Madame Chouilloux Fernandel Truchet Nicole Fernandez Rose Sacha Tarride Toto
SCENARIO Pierre Prévert et Jean Renoir d'après la pièce de Georges Feydeau ; IMAGES Theodor Sparkuhl et Roger Hubert ; MONTAGE Jean Mamy ; DECORS Gabriel Scognamillo ; MUSIQUE Paul Misraki ; ASSISTANTS Pierre Prévert et Claude Heyman ; PRODUCTION Pierre Braunberger et Roger Richebé ;
M. Follavoine, fabricant exclusif de « porcelaines incassables » est en lice pour équiper l’armée française en vases de nuit. Il s’apprête à recevoir à déjeuner M. Chouilloux, le fonctionnaire du Ministère de la Guerre en charge du dossier. Mais en cette matinée, madame Follavoine ne se soucie guère de cet invité qui pourrait pourtant assurer sa fortune. Toutes ses préoccupations vont à son fils Toto qui « n’est pas allé »…
« Je passai victorieusement l'épreuve de On PURGE BEBE. Avec l'aide de mes assistants Pierre Prévert et Claude Heyman j'écrivis le scénario en une semaine, je le tournai en une autre semaine et en fis le montage également en une semaine. Trois semaines après le commencement des prise de vues, le film sortait au Gaumont Palace et rapportait beaucoup d'argent.(...) Dans un souci de réalisme, j'utilisai la vraie chasse d'eau d'ubne vraie toilette de studio. Le résultat fut un bruit de caractère qui ravit les représentants de la production et m'éleva au rang de grand homme. Preuve supplémentaire qu'il ne faut pas essayer d'orienter sa destinée, la divine providence sait mieux que nous (...) » - Jean Renoir, Ma vie et mes films, 1974.
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