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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Pierre Tabard Lisardo Pierre Vaneck Eusebio Dominique Bernard Gil Catherine Sellers Julia Betty Beckers Arminda Michel Etcheverry Curcio Jean Barrez Tirso Pierre Garin Blas Micheline Besancon Menga Eugène Berthier Toribio Bernard Andrieu Ricardo Lucien Nat Alberto Jacques Torrens Celio Franck Estange Chilindrina André Cellier Octavio Hélène Bellanger Rosmira
Document sans nom
Pièce de l'auteur espagnol Calderon de La Barca écrite en 1634, mise en scène pour la télévision par Roger Iglésis dans la version française d'Albert Camus. Camus, qui admirait l'«extravagant chef-d'oeuvre» de Calderón, n'en a pas réalisé une adaptation. Sa version «en a recueilli tout le dialogue», dans le but de «faire revivre un spectacle». Et d'ajouter : «On y a été aidé par les audaces de pensée et d'expression du plus grand génie dramatique que l'Espagne ait produit. [...] C'est plus de trois siècles avant Bernanos que Calderón prononça et illustra de façon provoquante, dans la Dévotion, le "Tout est grâce" qui tente de répondre dans la conscience moderne au "Rien n'est juste" des incroyants. À cette occasion, on s'estimerait satisfait si cette version nouvelle pouvait avoir mis l'accent sur la jeunesse et l'actualité du théâtre espagnol.» L'action se déroule en trois journées, au XVIe siècle, en Italie, et montre un criminel Eusebio, transfiguré par la grâce. Amoureux de Julia, mais éconduit par son père Curcio, Eusebio tue le frère de Julia, Lisardo qui l'a provoqué en duel. Mais par fidélité à la croix il renonce à enlever celle-ci. Tué à son tour par Curcio, en qui il reconnaît son père, Eusebio est ressuscité juste assez pour se confesser à un prêtre. Julia, tant qu'elle se sait désirée par l'homme aimé, se consume dans la mortification au fond d'un couvent, mais à l'instant où elle croit avoir perdu l'amour de cet homme, elle devient alors une créature dépravée. Mots clés : pièce de théâtre (La Dévotion à la croix) ; drame (religieux) ; Italie ; religion ; christianisme ; mysticisme (rédemption) ; foi ; meurtrier ; amour (impossible) ; femme ; meurtre ; duel
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Albert Camus
La devotion a la croix
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Catherine Sellers
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Catherine Sellers
Helene Bellanger
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Pierre Vaneck
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Pierre Vaneck
Pierre Vaneck et Catherine Sellers
Pierre Tabard Lisardo Pierre Vaneck Eusebio Dominique Bernard Gil Catherine Sellers Julia Betty Beckers Arminda Michel Etcheverry Curcio Jean Barrez Tirso Pierre Garin Blas Micheline Besancon Menga Eugène Berthier Toribio Bernard Andrieu Ricardo Lucien Nat Alberto Jacques Torrens Celio Franck Estange Chilindrina André Cellier Octavio Hélène Bellanger Rosmira
Pièce de l'auteur espagnol Calderon de La Barca écrite en 1634, mise en scène pour la télévision par Roger Iglésis dans la version française d'Albert Camus. Camus, qui admirait l'«extravagant chef-d'oeuvre» de Calderón, n'en a pas réalisé une adaptation. Sa version «en a recueilli tout le dialogue», dans le but de «faire revivre un spectacle». Et d'ajouter : «On y a été aidé par les audaces de pensée et d'expression du plus grand génie dramatique que l'Espagne ait produit. [...] C'est plus de trois siècles avant Bernanos que Calderón prononça et illustra de façon provoquante, dans la Dévotion, le "Tout est grâce" qui tente de répondre dans la conscience moderne au "Rien n'est juste" des incroyants. À cette occasion, on s'estimerait satisfait si cette version nouvelle pouvait avoir mis l'accent sur la jeunesse et l'actualité du théâtre espagnol.» L'action se déroule en trois journées, au XVIe siècle, en Italie, et montre un criminel Eusebio, transfiguré par la grâce. Amoureux de Julia, mais éconduit par son père Curcio, Eusebio tue le frère de Julia, Lisardo qui l'a provoqué en duel. Mais par fidélité à la croix il renonce à enlever celle-ci. Tué à son tour par Curcio, en qui il reconnaît son père, Eusebio est ressuscité juste assez pour se confesser à un prêtre. Julia, tant qu'elle se sait désirée par l'homme aimé, se consume dans la mortification au fond d'un couvent, mais à l'instant où elle croit avoir perdu l'amour de cet homme, elle devient alors une créature dépravée. Mots clés : pièce de théâtre (La Dévotion à la croix) ; drame (religieux) ; Italie ; religion ; christianisme ; mysticisme (rédemption) ; foi ; meurtrier ; amour (impossible) ; femme ; meurtre ; duel
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