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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
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Document sans nom
Florelle Lolette Cassagne Raymond Rouleau Pierre Bernier Constant Rémy Jean Rouchard Alice Field la princesse Paule de Chabran Armand Bour le prince de Chabran Maxime Fabert Tabourot Paul Clerget Garzin Odette Talazac Mme Garzin Robert Moor le notaire Marcel de Garcin Gréville Jacques Beauvais un homme au Salon Robert Charlet Lucy Clorival Fanny Lacroix Louis Merlac
Document sans nom
REALISATION Jean-Paul Paulin ; SCENARIO Léopold Marchand d'après la pièce d'Henry Bataille ; IMAGE Léonce-Henri Burel ; MONTAGE Jean Feyte ; SON Georges Leblond ; MUSIQUE Gabriel Chaumette et Gaston Gabaroche ; DECORS Lazare Meerson ; PRODUCTION Les Films PAD - Films sonores Tobis ; Sortie le 21 octobre 1932
Pierre Bernier est un peintre qui mène la vie de bohème à Montparnasse. A l’occasion du bal des Quat’zarts, il séduit la compagne de son ami Rouchard. Les deux jeunes gens traversent ensemble des jours difficiles jusqu’à ce qu’un tableau représentant Lolette apporte la gloire à Pierre. Sa « Femme nue » obtient la médaille au Salon. Le voilà comblé d’honneur et reçu dans le « grand monde ». Il se détache peu à peu de Lolette, qu’il juge pas assez sophistiquée pour ses nouvelles fréquentations. Il finit par abandonner sa femme pour la princesse de Chabran…
« L’interprétation de Florelle et de Raymond Rouleau est à l’image du Montparnasse artistique de l’époque. Comme chez Vigo, une certaine vielle France est stigmatisée. Le naturalisme des trottoirs parisiens, des studios d’artistes, emblématiques du personnage de Lolette, contraste avec l’esthétisme dépouillé des intérieurs signés Meerson. Lolette est une « femme nue » parce que trop généreuse pour être une garce et pas assez sophistiquée pour se faire garçonne. Mais elle invente, dans la douleur, et sans le savoir, la femme moderne, émancipée. » - Denis Scoupe, Les Documents cinématographiques, 2006
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La femme nue Bal des Quat zarts
La femme nue Bal des Quat zarts
La femme nue Bal des Quat zarts
Florelle Lolette Cassagne Raymond Rouleau Pierre Bernier Constant Rémy Jean Rouchard Alice Field la princesse Paule de Chabran Armand Bour le prince de Chabran Maxime Fabert Tabourot Paul Clerget Garzin Odette Talazac Mme Garzin Robert Moor le notaire Marcel de Garcin Gréville Jacques Beauvais un homme au Salon Robert Charlet Lucy Clorival Fanny Lacroix Louis Merlac
REALISATION Jean-Paul Paulin ; SCENARIO Léopold Marchand d'après la pièce d'Henry Bataille ; IMAGE Léonce-Henri Burel ; MONTAGE Jean Feyte ; SON Georges Leblond ; MUSIQUE Gabriel Chaumette et Gaston Gabaroche ; DECORS Lazare Meerson ; PRODUCTION Les Films PAD - Films sonores Tobis ; Sortie le 21 octobre 1932
Pierre Bernier est un peintre qui mène la vie de bohème à Montparnasse. A l’occasion du bal des Quat’zarts, il séduit la compagne de son ami Rouchard. Les deux jeunes gens traversent ensemble des jours difficiles jusqu’à ce qu’un tableau représentant Lolette apporte la gloire à Pierre. Sa « Femme nue » obtient la médaille au Salon. Le voilà comblé d’honneur et reçu dans le « grand monde ». Il se détache peu à peu de Lolette, qu’il juge pas assez sophistiquée pour ses nouvelles fréquentations. Il finit par abandonner sa femme pour la princesse de Chabran…
« L’interprétation de Florelle et de Raymond Rouleau est à l’image du Montparnasse artistique de l’époque. Comme chez Vigo, une certaine vielle France est stigmatisée. Le naturalisme des trottoirs parisiens, des studios d’artistes, emblématiques du personnage de Lolette, contraste avec l’esthétisme dépouillé des intérieurs signés Meerson. Lolette est une « femme nue » parce que trop généreuse pour être une garce et pas assez sophistiquée pour se faire garçonne. Mais elle invente, dans la douleur, et sans le savoir, la femme moderne, émancipée. » - Denis Scoupe, Les Documents cinématographiques, 2006
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