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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Guy Royer François Joël Charvier Gabriel Erika Cool Diane Morgane Lili, la soubrette Marie-Dominique Cabanne Véronique Gallia la voisine d'en face Diane Dubois la fille avec Gabriel Céline Galone la jeune fille Colette Mareuil la mère de la jeune fille Gilbert Servien le père de la jeune fille Charlie Schreiner un dragueur dans la rue
Document sans nom
Réalisation : Claude-Bernard Aubert (comme Burd Tranbaree)
Scénario et dialogues : Claude-Bernard Aubert
Chef opérateur : Pierre Fattori
Assistant opérateur : Jean Fattori
Montage : Gabriel Rongier (comme Roger Brigelain)
Musique : Alain Gorager (comme Paul Vernon)
Collaboration technique : Bernard Favre
Production : Claude-Bernard Aubert - Shangrila Productions / Francis Mischkind - FFCM
Distribution : Alpha France
Sortie le 14 mars 1979
François est un piètre dragueur. Son ami Gabriel le présente à Diane qui, moyennant finances, lui enseigne l'art et la manière de vaincre sa timidité. Première leçon : où l'on apprend que le téléphone est un moyen bien commode pour aborder ces demoiselles.
Autre titre : LES BONS COUPS (DVD)
CRITIQUE(S) :
« Strict produit de série (plutôt mieux réalisé cependant, avec même quelques ambitions esthétiques, morne succession d’accouplements en gros plans, et partouze finale. Milieux bourgeois et oisif où l’on découvre de nouveaux modes d’utilisation du téléphone (il n’est pas blanc !), promu à un rôle actif dans la lutte contre l’incommunication entre les être des deux sexes. Les femmes, comme toujours, vivent dans l’attente du mâle (…) » - Jean-Michel Andrault, La saison cinématographique 1979.
« Le film commence et finit par une double pénétration. Entre les deux, les séquences habituelles et l’idéologie machiste dans laquelle Tranbaree aime parfois trop se complaire. Le gros plan d‘un mamelon entrant en érection prend enfin en compte le désir féminin, le temps de quelques secondes… » - Christophe Bier, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Marie Dominique Cabanne et Guy Royer
Guy Royer François Joël Charvier Gabriel Erika Cool Diane Morgane Lili, la soubrette Marie-Dominique Cabanne Véronique Gallia la voisine d'en face Diane Dubois la fille avec Gabriel Céline Galone la jeune fille Colette Mareuil la mère de la jeune fille Gilbert Servien le père de la jeune fille Charlie Schreiner un dragueur dans la rue
Réalisation : Claude-Bernard Aubert (comme Burd Tranbaree)
Scénario et dialogues : Claude-Bernard Aubert
Chef opérateur : Pierre Fattori
Assistant opérateur : Jean Fattori
Montage : Gabriel Rongier (comme Roger Brigelain)
Musique : Alain Gorager (comme Paul Vernon)
Collaboration technique : Bernard Favre
Production : Claude-Bernard Aubert - Shangrila Productions / Francis Mischkind - FFCM
Distribution : Alpha France
Sortie le 14 mars 1979
François est un piètre dragueur. Son ami Gabriel le présente à Diane qui, moyennant finances, lui enseigne l'art et la manière de vaincre sa timidité. Première leçon : où l'on apprend que le téléphone est un moyen bien commode pour aborder ces demoiselles.
Autre titre : LES BONS COUPS (DVD)
CRITIQUE(S) :
« Strict produit de série (plutôt mieux réalisé cependant, avec même quelques ambitions esthétiques, morne succession d’accouplements en gros plans, et partouze finale. Milieux bourgeois et oisif où l’on découvre de nouveaux modes d’utilisation du téléphone (il n’est pas blanc !), promu à un rôle actif dans la lutte contre l’incommunication entre les être des deux sexes. Les femmes, comme toujours, vivent dans l’attente du mâle (…) » - Jean-Michel Andrault, La saison cinématographique 1979.
« Le film commence et finit par une double pénétration. Entre les deux, les séquences habituelles et l’idéologie machiste dans laquelle Tranbaree aime parfois trop se complaire. Le gros plan d‘un mamelon entrant en érection prend enfin en compte le désir féminin, le temps de quelques secondes… » - Christophe Bier, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017
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