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Alexandra Pic et Isabelle Teboul
Alexandra Pic et Isabelle Teboul
Alexandra Pic et Isabelle Teboul
Alexandra Pic Isabelle Teboul et le chien Iona
Camille Delamarre et Frederique Haymann
Camille Delamarre et Michel Frank
Isabelle Teboul et Alexandra Pic
Michel Franck et Paulette Jauffre
Alexandra Pic Louise Isabelle Teboul Henriette Bernard Charnacé le docteur Dennery Natalie Perrey Soeur Marthe Gudule la Mère supérieure Nathalie Karsenty la louvre Anissa Berkani-Rohmer Nicole Véronique Djaouti la femme chauve-souris Nada Le Hoagan Virginie Brigitte Lahaie le femme au fouet Tina Aumont la goule Raymond Audemard l'épicier Camille Delamarre le jeune homme au cimetièreFrederique Haymann-Gony la jeune fille au cimetièreMichel Franck le bigot au fusil Paulette Jauffre la femme du bigot Sandrine Thoquet Odile Melanie Karalli Geneviève Martin Snaric le peintre à New-York Marie-Laurence une bigotte Catherine Day une bigotte Karoline Wolfzram une bigotte Sylvie Candau une soeur Myriam Zaza une pensionnaire Lucie Jamot une pensionnaire Jean Rollin le fossoyeur le chien Iona
Réalisation : Jean Rollin
Réalisateur adjoint : Jean-Noel Delamarre
Scénario : Jean Rollin
Image : Norbert Morfaing-Saintès
Montage : Natalie Perrey
Son : Francis Baldos
Musique : Philippe d'Aram
Maquillage : Maryvonne Harrouet
Script : Natalie Perrey
Régie générale : Jacques Michel
Photographe de plateau : Véronique Djaouti
Assistante de production : Véronique Djaouti
Directeur de production : Lionel Wallmann
Production : Jean Rollin - les Films ABC
Distribution : Avia Films
Tournage : 1995
Date de sortie : 9 juillet 1997
Henriette et Louise sont deux jeunes filles aveugles qui vivent dans un orphelinat tenu par des religieuses. Les nonnes sont particulièrement attentives à ces pensionnaires qui se distinguent par leur piété et leur gentillesse et acceptent leur sort avec un courage exemplaire. Un jour, un événement inespéré se produit. Le Docteur Dennery propose d’adopter les jeunes filles. En plus de l’affection que l’homme de science leur apportera, peut-être trouvera-t-il le moyen de les guérir… Mais les jeunes filles cachent un terrible secret. Ce sont en réalité des vampires qui retrouvent la vue la nuit et partent en quête de victimes qu’elles vident de leur sang…
CRITIQUE(S):
« Unique cinéaste français exclusivement dévoué au fantastique, Jean Rollin est assurément le créateur d’un univers. Chez lui, tout relève de la conception d’un style personnel, et sa persévérance thématique témoigne d’une foi et d’une sincérité que beaucoup pourraient lui envier. LES DEUX ORPHELINES VAMPIRES (il sera beaucoup pardonné à l’inventeur d’un tel titre !) reprend la quintessence d’un cycle de cinq romans publiés par lui dans la collection Frayeur (au Fleuve noir). La modestie de ses moyens est celle d’un artisanat forcément sympathique, éclairé de jolies trouvailles (cf. les héroïnes assoiffées se nourrissant l’une de l’autre). » - Gérard Lenne, La Saison cinématographique 1997
« Harmonieux mélange des images du Rollin d‘antan et des textes du Rollin d‘aujourd‘hui, heureuse conjonction des diverses facettes de son talent… rien de plus naturel, pour un homme qui publie maintenant autant qu‘il a filmé. Et comment s‘étonner si, de tous ses films, LES DEUX ORPHELINES VAMPIRES semble promis à tester le plus…littéraire ? (…) Le Rollin nouveau est arrivé. Avis aux amateurs, avis aux connaisseurs. Tendez vos verres. Et si le breuvage qui y coule paraît plus sombre, plus rouge que le vin, il pétille aussi d‘invention et de fantaisie. Quand à l‘ivresse qu‘il procure, elle porte un nom : POESIE ! » - Alain Venisse, Monster bis 1997mm
Fiche réalisée par Stéphane Bruyère pour BDFF, 2017