Un coup pour rien
Jean-Pierre Decourt - 1974
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Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Tele 7 jours N726 du 23 03 74
Schulmeister Un coup pour rien
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Barbara Sommers
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Barbara Sommers
Barbara Sommers Roger Carel
Gerard Darrieu Roger Carel
Guy Fox Andree Boucher
Inconnu 1 a gauche Klaus
Jacques Fabbri Andree Boucher
Jacques Fabbri Barbara Sommers
Jacques Fabbri Gerard Darrieu
Jean Pierre Rambal Jacques Fabbri
Jean Pierre Rambal Lionel Vitrant
Patrice Kahlhoven a gauche
Pierre Hatet Barbara Sommers
Pierre Hatet Jacques Fabbri
Roger Carel
Un coup pour rien
Jacques Fabbri (Charles-Louis Schulmeister) Barbara Sommers (Bertha) Gérard Darrieu (Schwartzenberg) Jean-Pierre Rambal (Hugo) André Haber (Le docteur Larey) Guy Fox (Le capitaine de gendarmerie) Lionel Vitrant (Hermann) Patrice Kahlhoven (Joudel) Roger Carel (Hammel) Andrée Boucher (Suzel) William Sabatier (Savary) Pierre Hatet (Grüner)
Résumé : Atteint d’une bronchite, Schulmeister est dans son lit. C’est donc Hammel assisté de Schwartzenberg qui va s’intéressé à Bertha, maitresse femme suissesse, qui a conçu une machine a tiré plusieurs balles pratiquement en même temps. Elle a fait appel à un horloger, Hugo, afin de mettre au point quelques parties techniques. Mais Grüner, le prussien, et ses collaborateurs s’intéressent au cas de Bertha…
Un épisode plutôt humoristique où c'est Roger Carel qui a la vedette.
En face de lui, Barbara Sommers campe une Frida, amoureuse de Hammel, très sympathique.
En fait, cette dernière va fabriquer une mitrailleuse que nos espions vont dénigrer à cause de quelques imperfections.
Et puis, il y a Jean-Pierre Rambal, toujours aussi lunaire, qui donne le côté drôlatique de l'histoire.
Alain B.
