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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves. En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Madeleine Robinson La mère Julien Guiomar Le père Anne Caudry Grète Sami Frey Grégoire Samsa (voice) Monique Tarbès Roger Trapp Pierre Étaix Alexandre A. Klimenko Alexander Koumpan Germaine Baldocchi
Document sans nom
LA MÉTAMORPHOSE
UN TÉLÉFILM PARTIELLEMENT EN NOIR ET BLANC TRAITÉ EN SÉPIA DE JEAN-DANIEL VERHAEGHE
ADAPTATION DE JEAN-DANIEL VERNAEGHE ET ROGER VRIGNY, DIALOGUES DE ROGER VRIGNY
Première diffusion : Dimanche 5 juin 1983 à 21h35, dans le cadre de la soirée "Hommage à Franz Kafka"
Grégoire Samsa est un jeune homme travailleur, consciencieux, dévoué à ses parents, tendrement attaché à sa sœur Grete, passionnée de violon. Par son emploi de voyageur de commerce, il assure la subsistance de sa famille depuis la faillite de son père. Un matin, Grégoire s'éveille transformé en cafard géant, tout en conservant le cœur et l'esprit d'un être humain. S'apercevant de la répulsion qu'il suscite autour de lui, il arrive peu à peu à loger sous son propre lit, pour échapper aux regards. Il ne se nourrit plus que d'ordures, affectionnant la saleté et fuyant la lumière. Sa famille l'évite, honteuse d'avoir à la maison une chose aussi répugnante. Seule, la vieille domestique continue de le voir, de lui faire la conversation et de le nourrir de pelures de pommes...
Ce téléfilm adapté de « Der Verwandlung», publié en 1916, a été tourné avec l'aide d'une petite caméra monotube de la taille d'une lampe torche, appelée familièrement « la paluche ». Cette caméra, une invention de Jean-Pierre Beauviala, était destinée au départ au contrôle vidéo. Elle est très rarement utilisée dans les tournages malgré une maniabilité et une sensibilité surprenantes.
On ne voit jamais le cafard, les images sépias avec la paluche représentent ce qu'il voit.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Anne Caudry et Madeleine Robinson
Anne Caudry et Madeleine Robinson
Madeleine Robinson et Julien Guiomar
Madeleine Robinson et Pierre Etaix
Madeleine Robinson La mère Julien Guiomar Le père Anne Caudry Grète Sami Frey Grégoire Samsa (voice) Monique Tarbès Roger Trapp Pierre Étaix Alexandre A. Klimenko Alexander Koumpan Germaine Baldocchi
LA MÉTAMORPHOSE
UN TÉLÉFILM PARTIELLEMENT EN NOIR ET BLANC TRAITÉ EN SÉPIA DE JEAN-DANIEL VERHAEGHE
ADAPTATION DE JEAN-DANIEL VERNAEGHE ET ROGER VRIGNY, DIALOGUES DE ROGER VRIGNY
Première diffusion : Dimanche 5 juin 1983 à 21h35, dans le cadre de la soirée "Hommage à Franz Kafka"
Grégoire Samsa est un jeune homme travailleur, consciencieux, dévoué à ses parents, tendrement attaché à sa sœur Grete, passionnée de violon. Par son emploi de voyageur de commerce, il assure la subsistance de sa famille depuis la faillite de son père. Un matin, Grégoire s'éveille transformé en cafard géant, tout en conservant le cœur et l'esprit d'un être humain. S'apercevant de la répulsion qu'il suscite autour de lui, il arrive peu à peu à loger sous son propre lit, pour échapper aux regards. Il ne se nourrit plus que d'ordures, affectionnant la saleté et fuyant la lumière. Sa famille l'évite, honteuse d'avoir à la maison une chose aussi répugnante. Seule, la vieille domestique continue de le voir, de lui faire la conversation et de le nourrir de pelures de pommes...
Ce téléfilm adapté de « Der Verwandlung», publié en 1916, a été tourné avec l'aide d'une petite caméra monotube de la taille d'une lampe torche, appelée familièrement « la paluche ». Cette caméra, une invention de Jean-Pierre Beauviala, était destinée au départ au contrôle vidéo. Elle est très rarement utilisée dans les tournages malgré une maniabilité et une sensibilité surprenantes.
On ne voit jamais le cafard, les images sépias avec la paluche représentent ce qu'il voit.
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