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Charlie Schreiner et Jocelyne Clairis
Charlie Schreiner et Maryline Guillaume
Charlie Schreiner et Maryline Guillaume
Marie Christine Chireix et Charlie Schreiner
Erika Cool Annie Charlie Schreiner Jacques Ducroix Martine Grimaud Justine Maryline Guillaume Nathalie Élisabeth Buré Martine Richard Allan Paul Hervé Amalou Pierre Jocelyne Clairis la bonne de Martine Marie-Christine Chireix la femme de chambre Claude Janna une cliente
Réalisation : Jean Desvilles (crédité comme Georges Fleury)
Scénario : Jean Desvilles
Image : Pierre Fattori
Musique : Eddie Warner
Directeur de production : Jean-Loup Puzenat
Sortie le 11 mai 1977
Jacques et Annie tiennent une boutique de vêtements pour femmes. Sans le moindre égard pour sa compagne, Jacques courtise ouvertement les clientes sous les yeux de Justine, la vendeuse. Lassée de ses écarts, Annie songe au divorce, puis décide de se battre pour récupérer l’homme qu’elle aime. De son côté, Jacques imagine un « plan » pour permettre à leur couple de repartir sur de nouvelles bases…
CRITIQUE(S):
« Porno relativement soigné, TOUT EST PERMIS se démarque de la masse de la production dans la mesure où, contrairement à l’habitude, l’ouverture sur une sexualité différente ne débouche pas ici sur un resserrement du couple, l’expérience vécue ne constituant alors qu’un épisode entre parenthèse qui ne fait qu’aboutir à l’affirmation des lois du mariage et de la famille. Le couple parvient en effet à admettre que son existence peut dépendre d’un élargissement de la vie sexuelle en direction de quelque chose de nouveau et de différent. D’autre part la femme voit ici reconnu son droit au plaisir, à égalité avec l’homme. Tout cela rend le film un peu plus sympathique que la moyenne, même si c’est encore loin d’être suffisant pour en conseiller la vision. » - Pascal Mérigeau, La Saison cinématographique 1977
« Fleury s’est donné du mal et à tenté de mettre en scène un scénario de roman-photo réaliste avec quelques touches de romantisme (…) et de comique parfois un peu amer (…) Martine Grimaud est sous employée mais (…) parvient a insuffler de la vie à son personnage de vendeuse. Erika, en vedette, s’en tire bien comme d’habitude et trouve aussi une certaine vérité dramatique (…) » - Francis Moury, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, sous la direction de Christophe Bier, Serious Publishing, 2011.
Stéphane Bruyère, Août 2017