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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Henri Vidal Yann Le Coeur Dany Carrel Louise Kermelen Charles Vanel Marnez Renée Cosima Moïra - la 'sorcière' Alfred Adam Le commissaire Jean d'Yd Le curé Gérard Darrieu Guy Decomble Jacques Fabbri Le gitan Sylvain Levignac Pâquerette MarieLucien Raimbourg Carl Schell Gilles Madeleine Sologne La mère Gestin Julien Verdier
Document sans nom
1852, sur une île bretonne imaginaire, la nombreuse population vit plus ou moins en autarcie.
Quand les pêcheurs ne ramènent plus rien et que les moutons meurent subitement, les habitants s’interrogent.
Dans un premier temps on accuse une jeune femme de sorcellerie : Moïra, qui finalement sera épargnée. Lors d’une réunion de crise, on se demande s’il ne faut pas appliquer une vieille et mystérieuse recette de l’île pour continuer à survivre, mais le quasi-chef : Marnez s’y oppose farouchement. En fait on apprend que cette solution est bien plus terre à terre que ce qu’on imaginait : il s’agit tout simplement d’éteindre le phare de l’île pour faire échouer un bateau. Çà se fait dans des conditions pas très claires, surtout que les navigateurs du bateau allemand qui se fait piéger se font assassinés par les iliens. Mais le bateau était chargé de victuailles et c’est la fête sur l’île. L’un des marins a quand même réussi à s’échapper discrètement et il est recueilli par la pseudo « sorcière », ils deviennent amant mais çà ne dure pas très longtemps, le second personnage féminin du film intervient, la ravissante Louise, fille du patriarche Marnez. Elle raconte tout à son père, et l’on apprend que le vieil homme n’est pas tout blanc non plus car lui aussi veut la mort du rescapé. Et cette fois c’est Louise qui le sauvera et, étant bien plus jolie que Moïra, c’est avec elle qu’il décidera de s’enfuir de l’île (la morale est parfois curieuse dans ce film). Mais entre temps un autre bateau avait failli s’échouer car le phare avait été momentanément éteint, mais l’anomalie fut consignée dans le journal de bord, si bien que la police de la « grande terre » comme disent les habitants de l’île fût prévenue, et la visite de la navette qui ravitaille l’île régulièrement est avancée et débarque avec à son bord un policier. Le dénouement du film est un peu abracadabrant, comme le policier comprend qu’il se passe des choses pas très catholique dans l’île, les iliens décident de le tuer (décidément !) et c’est finalement le vieux Marnez qui s’accuse du sabotage du phare, car il est vieux et sa chère fille s’enfuit avec le beau marin, bref c’est une solution « morale » pour le bien-être de la population de cette curieuse île…
Alain S., BDFF, Novembre 2017
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Henri Vidal et Lucien Raimbourg
Raimbourg Vidal Verdier Vanel Darrieu Decomble
Henri Vidal Yann Le Coeur Dany Carrel Louise Kermelen Charles Vanel Marnez Renée Cosima Moïra - la 'sorcière' Alfred Adam Le commissaire Jean d'Yd Le curé Gérard Darrieu Guy Decomble Jacques Fabbri Le gitan Sylvain Levignac Pâquerette MarieLucien Raimbourg Carl Schell Gilles Madeleine Sologne La mère Gestin Julien Verdier
1852, sur une île bretonne imaginaire, la nombreuse population vit plus ou moins en autarcie.
Quand les pêcheurs ne ramènent plus rien et que les moutons meurent subitement, les habitants s’interrogent.
Dans un premier temps on accuse une jeune femme de sorcellerie : Moïra, qui finalement sera épargnée. Lors d’une réunion de crise, on se demande s’il ne faut pas appliquer une vieille et mystérieuse recette de l’île pour continuer à survivre, mais le quasi-chef : Marnez s’y oppose farouchement. En fait on apprend que cette solution est bien plus terre à terre que ce qu’on imaginait : il s’agit tout simplement d’éteindre le phare de l’île pour faire échouer un bateau. Çà se fait dans des conditions pas très claires, surtout que les navigateurs du bateau allemand qui se fait piéger se font assassinés par les iliens. Mais le bateau était chargé de victuailles et c’est la fête sur l’île. L’un des marins a quand même réussi à s’échapper discrètement et il est recueilli par la pseudo « sorcière », ils deviennent amant mais çà ne dure pas très longtemps, le second personnage féminin du film intervient, la ravissante Louise, fille du patriarche Marnez. Elle raconte tout à son père, et l’on apprend que le vieil homme n’est pas tout blanc non plus car lui aussi veut la mort du rescapé. Et cette fois c’est Louise qui le sauvera et, étant bien plus jolie que Moïra, c’est avec elle qu’il décidera de s’enfuir de l’île (la morale est parfois curieuse dans ce film). Mais entre temps un autre bateau avait failli s’échouer car le phare avait été momentanément éteint, mais l’anomalie fut consignée dans le journal de bord, si bien que la police de la « grande terre » comme disent les habitants de l’île fût prévenue, et la visite de la navette qui ravitaille l’île régulièrement est avancée et débarque avec à son bord un policier. Le dénouement du film est un peu abracadabrant, comme le policier comprend qu’il se passe des choses pas très catholique dans l’île, les iliens décident de le tuer (décidément !) et c’est finalement le vieux Marnez qui s’accuse du sabotage du phare, car il est vieux et sa chère fille s’enfuit avec le beau marin, bref c’est une solution « morale » pour le bien-être de la population de cette curieuse île…
Alain S., BDFF, Novembre 2017
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