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Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Dawn Cumming Catherine Guy Royer Marc Erika Cool Sylvie Jacques Insermini Henri Thierry de Brem le timide Jean Desforets Julien Madou Sall Shaft Karine Gambier la captive Dominique Aveline le méchant / un carrossier Hubert Géral le taxi Carole Gire Lucie Daniel Bellus l'homme aux photos Emmanuelle Rivière la voisine Brendan Reed un carrossier Natalie Perrey la serveuse de la brasserie
Document sans nom
Réalisation : Michel Barny (=Didier Philippe-Gérard)
Scénario : Michel Barny (=Didier Philippe-Gérard)
Image : Roger Fellous
Assistant opérateur : Jean-Jacques Bouhon
Montage : Gérard Kikoïne
Assistante montage : Marie-Anne Malet
Musique : Dourret et Parras (=Jean-Pierre Pourret et Dany Darras)
Assistant réalisateur : Christophe Smith
Script : Natalie Perrey
Maquillage : Geneviève Monteilh
Photographe de plateau : Alain Vénisse
Régie générale : Philippe Desmoulins
Chef électricien : Luigi Bisioli
Chef machiniste : Alain Manzon
Accessoiriste : Loic Chalmin (= Jacques Morlain)
Directeur de production : Henry Dutrannoy
Production : Francis Leroy - Cinéma Plus
Tournage : 1976
Visa n°46300
Distribution : Alpha France
Date de sortie : 12 janvier 1977
Titres :
-Délires porno
-Délires ! (Alpha video)
-Les Fantasmes de Catherine (version soft, TV)
Catherine est une jeune dactylo timide, la fille qu’on ne remarque pas, les yeux cachés par d’énormes lunettes, le sourire barré par un appareil dentaire.. Tandis que sa collègue Sylvie use de ses charmes pour s’attirer les bonnes grâces de son patron, elle remplit ses fonction avec application et sérieux. Elle s’échappe de son quotidien morne en couchant sur le papier les fantasmes que lui inspire son imagination fertile. Dans cette vie rêvée, elle devient une blonde somptueuse, la fille à qui on ne résiste pas...
COMMENTAIRES :
« Si l’on excepte que le gros du film est constitué de scènes fonctionnelles variant très peu de l’une à l’autre, l’ennui est alors compensé par une mise en scène enfin un peu moins rudimentaire que la moyenne dans la marre aux pornos de série : appréhension dialectique de l’espace, reconstruction du réel par le montage, choix du cadre… Quand, de plus, l’interpénétration des niveaux de conscience, le jeu sur l’imaginaire érotique et son support écrit ne sont point récupérés par la bêtise réactionnaire coutumière, cela donne un divertissement largement moins nocif que bien des comédies familiales. » - Jean-Louis Cros, La Saison cinématographique 1977
« L‘appartenance au genre pornographique ne prive donc pas ce film d’un certain réalisme. Bien au contraire (…) les scènes lascives sont ici explicitement présentées comme relevant exclusivement de la fantasmagorie, alors qu’à l’inverse, la réalité est toujours montrée de façon morne, sans promesse d’aucune sorte, sans échappatoire possible vers un avenir moins morose. La fin du film montre même le basculement de l’héroïne dans la démence, parachevant là une vision pessimiste de l’existence. (…) » - Maxime Deluxe, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Le film à été tourné en version soft en en version hard.
Stéphane Bruyère, mars 2018
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Dawn Cumming et Jean Desforets
Madou Sall et Karin Gambier delivree
Dawn Cumming Catherine Guy Royer Marc Erika Cool Sylvie Jacques Insermini Henri Thierry de Brem le timide Jean Desforets Julien Madou Sall Shaft Karine Gambier la captive Dominique Aveline le méchant / un carrossier Hubert Géral le taxi Carole Gire Lucie Daniel Bellus l'homme aux photos Emmanuelle Rivière la voisine Brendan Reed un carrossier Natalie Perrey la serveuse de la brasserie
Réalisation : Michel Barny (=Didier Philippe-Gérard)
Scénario : Michel Barny (=Didier Philippe-Gérard)
Image : Roger Fellous
Assistant opérateur : Jean-Jacques Bouhon
Montage : Gérard Kikoïne
Assistante montage : Marie-Anne Malet
Musique : Dourret et Parras (=Jean-Pierre Pourret et Dany Darras)
Assistant réalisateur : Christophe Smith
Script : Natalie Perrey
Maquillage : Geneviève Monteilh
Photographe de plateau : Alain Vénisse
Régie générale : Philippe Desmoulins
Chef électricien : Luigi Bisioli
Chef machiniste : Alain Manzon
Accessoiriste : Loic Chalmin (= Jacques Morlain)
Directeur de production : Henry Dutrannoy
Production : Francis Leroy - Cinéma Plus
Tournage : 1976
Visa n°46300
Distribution : Alpha France
Date de sortie : 12 janvier 1977
Titres :
-Délires porno
-Délires ! (Alpha video)
-Les Fantasmes de Catherine (version soft, TV)
Catherine est une jeune dactylo timide, la fille qu’on ne remarque pas, les yeux cachés par d’énormes lunettes, le sourire barré par un appareil dentaire.. Tandis que sa collègue Sylvie use de ses charmes pour s’attirer les bonnes grâces de son patron, elle remplit ses fonction avec application et sérieux. Elle s’échappe de son quotidien morne en couchant sur le papier les fantasmes que lui inspire son imagination fertile. Dans cette vie rêvée, elle devient une blonde somptueuse, la fille à qui on ne résiste pas...
COMMENTAIRES :
« Si l’on excepte que le gros du film est constitué de scènes fonctionnelles variant très peu de l’une à l’autre, l’ennui est alors compensé par une mise en scène enfin un peu moins rudimentaire que la moyenne dans la marre aux pornos de série : appréhension dialectique de l’espace, reconstruction du réel par le montage, choix du cadre… Quand, de plus, l’interpénétration des niveaux de conscience, le jeu sur l’imaginaire érotique et son support écrit ne sont point récupérés par la bêtise réactionnaire coutumière, cela donne un divertissement largement moins nocif que bien des comédies familiales. » - Jean-Louis Cros, La Saison cinématographique 1977
« L‘appartenance au genre pornographique ne prive donc pas ce film d’un certain réalisme. Bien au contraire (…) les scènes lascives sont ici explicitement présentées comme relevant exclusivement de la fantasmagorie, alors qu’à l’inverse, la réalité est toujours montrée de façon morne, sans promesse d’aucune sorte, sans échappatoire possible vers un avenir moins morose. La fin du film montre même le basculement de l’héroïne dans la démence, parachevant là une vision pessimiste de l’existence. (…) » - Maxime Deluxe, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques 16 et 35 mm, Serious Publishing, 2011.
Le film à été tourné en version soft en en version hard.
Stéphane Bruyère, mars 2018
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