Les enfilées (Les soirées d'un couple voyeur)
Jean-Claude Roy - 1980
Partager cette page sur Facebook :
Jean-Claude Roy - 1980
Partager cette page sur Facebook :
Amazon
En cas de non disponibilité me contacter
Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo
Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Morgane Ariane Alban Ceray Victor Brigitte Lahaie Jeanne Dominique Aveline Frédéric, l'homme aux gants blancs Patrick Couter Eric, le puceau Melody Bird Brigitte, la femme de la salle de bain Yvan Renaud (= Jack Gatteau) Yves Virginie Caillat Sonia, la femme muette Richard Allan Paul, le "client"
Document sans nom
Réalisation : Patrick Aubin (= Jean-Claude Roy)
Scénario : Patrick Aubin (= Jean-Claude Roy)
Image : Pierre Robes (= Robert Millie)
Musique : Gary Sandeur (= Philippe Bréjean)
Montage : Zoé Durouchoux
Assistant réalisateur : Alain Sens-Cazenave
Production : Jean-Claude Roy - Tanagra Productions / Francis Mischkind - F.F.C.M.
Distribution : Alpha France
Durée : 83 minutes
Tournage : 1979
Visa : 51056
Date de sortie : 15 octobre 1980
Autres titres :
Les Enfilées
Les Soirées d'un couple voyeur (vidéo)
Amours très intimes pour couples (ex-)
Victor et Ariane s'aiment mais leur vie conjugale sombre dans une routine que dessous coquins et petits jeux de miroir n'arrivent plus à dissiper. Le couple décident d'aller chercher dans les petites annonces de quoi pimenter leur relation. Mais pas question de pratiquer simplement l'échangisme. Ces rencontres de passage sont autant d'occasions pour assouvir leur penchant pour le voyeurisme. Seul l'un deux se rend au rendez-vous, l'autre s'arrangeant toujours pour assister aux ébats, les enregistrer, les filmer... Le couple peut ainsi « revivre » toutes ses expériences. De bien bonnes soirées en perspective...
COMMENTAIRES :
« Aubin, sans un seul plan d'extérieur, continue à peaufiner un érotisme plaisant, fort bien photographié, qui manque peut-être un peu de surprise et de mystère. Le hard y est attirant sans qu'il soit possible de dire si le mérite en revient davantage au réalisateur qu'aux acteurs (tous remarquables). Les thèmes se précisent d'un film à l'autre. Toujours l'un des hommes éprouve le besoin d'enfiler bas et porte-jarretelles, de se maquiller en femme sans que personne ne soit surpris sur l'écran du moins (la salle, elle, est interloquée). Autre thème de plus en plus net : le dragueur esthète, raffiné, homme de plaisir, qui s'en tient à l'étreinte unique, jamais répétée (…) A l'évidence, le scénario se construit sur le voyeurisme, mais avec un voyeur/une voyeuse intégrée à l'action, qui intervient pendant l'action, certaines fois, l'enregistre, la commente, la savoure toujours, après. Plus intéressant est le silence volontaire de certaines rencontres qui intensifie l'étreinte : « Elle ne parlait pas. Ni toi. C'était presque angoissant » commente Ariane à Victor après la séquence remarquable de la salle de bain. » - Alain Minard, La Saison cinématographique 1981
« Neuf comédiens et quatre décors. Aubin gère au mieux un budget réduit avec un bon chef opérateur qui joue sur les couleurs (...) Le fil rouge classique (…) permet au cinéaste d'effleurer quelques-uns de ses thèmes favoris : le voyeurisme, les miroirs, les ébats filmés. Le hard est routinier mais chaque rencontre est l'occasion d'une petite note particulière qui rompt la banalité des séquences(...) » - Christophe Bier, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, sous la direction de Christophe Bier, Serious Publishing, 2011
S.B. - Juin 2018
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Alban Ceray Virgine Caillat Jack Gatteau
Les soirees d un couple voyeur
Les soirees d un couple voyeur
Richard Allan et Brigitte Lahaie
Morgane Ariane Alban Ceray Victor Brigitte Lahaie Jeanne Dominique Aveline Frédéric, l'homme aux gants blancs Patrick Couter Eric, le puceau Melody Bird Brigitte, la femme de la salle de bain Yvan Renaud (= Jack Gatteau) Yves Virginie Caillat Sonia, la femme muette Richard Allan Paul, le "client"
Réalisation : Patrick Aubin (= Jean-Claude Roy)
Scénario : Patrick Aubin (= Jean-Claude Roy)
Image : Pierre Robes (= Robert Millie)
Musique : Gary Sandeur (= Philippe Bréjean)
Montage : Zoé Durouchoux
Assistant réalisateur : Alain Sens-Cazenave
Production : Jean-Claude Roy - Tanagra Productions / Francis Mischkind - F.F.C.M.
Distribution : Alpha France
Durée : 83 minutes
Tournage : 1979
Visa : 51056
Date de sortie : 15 octobre 1980
Autres titres :
Les Enfilées
Les Soirées d'un couple voyeur (vidéo)
Amours très intimes pour couples (ex-)
Victor et Ariane s'aiment mais leur vie conjugale sombre dans une routine que dessous coquins et petits jeux de miroir n'arrivent plus à dissiper. Le couple décident d'aller chercher dans les petites annonces de quoi pimenter leur relation. Mais pas question de pratiquer simplement l'échangisme. Ces rencontres de passage sont autant d'occasions pour assouvir leur penchant pour le voyeurisme. Seul l'un deux se rend au rendez-vous, l'autre s'arrangeant toujours pour assister aux ébats, les enregistrer, les filmer... Le couple peut ainsi « revivre » toutes ses expériences. De bien bonnes soirées en perspective...
COMMENTAIRES :
« Aubin, sans un seul plan d'extérieur, continue à peaufiner un érotisme plaisant, fort bien photographié, qui manque peut-être un peu de surprise et de mystère. Le hard y est attirant sans qu'il soit possible de dire si le mérite en revient davantage au réalisateur qu'aux acteurs (tous remarquables). Les thèmes se précisent d'un film à l'autre. Toujours l'un des hommes éprouve le besoin d'enfiler bas et porte-jarretelles, de se maquiller en femme sans que personne ne soit surpris sur l'écran du moins (la salle, elle, est interloquée). Autre thème de plus en plus net : le dragueur esthète, raffiné, homme de plaisir, qui s'en tient à l'étreinte unique, jamais répétée (…) A l'évidence, le scénario se construit sur le voyeurisme, mais avec un voyeur/une voyeuse intégrée à l'action, qui intervient pendant l'action, certaines fois, l'enregistre, la commente, la savoure toujours, après. Plus intéressant est le silence volontaire de certaines rencontres qui intensifie l'étreinte : « Elle ne parlait pas. Ni toi. C'était presque angoissant » commente Ariane à Victor après la séquence remarquable de la salle de bain. » - Alain Minard, La Saison cinématographique 1981
« Neuf comédiens et quatre décors. Aubin gère au mieux un budget réduit avec un bon chef opérateur qui joue sur les couleurs (...) Le fil rouge classique (…) permet au cinéaste d'effleurer quelques-uns de ses thèmes favoris : le voyeurisme, les miroirs, les ébats filmés. Le hard est routinier mais chaque rencontre est l'occasion d'une petite note particulière qui rompt la banalité des séquences(...) » - Christophe Bier, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, sous la direction de Christophe Bier, Serious Publishing, 2011
S.B. - Juin 2018
Vous pouvez déposer un commentaire :