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Diane Dubois Claudia Mehringer J L Vattier
Diane Dubois et Claudia Mehringer
Diane Dubois et Marie Claude Viollet
Edwige Faillel et Marie Claude Viollet
Edwige Faillel et Marie Claude Viollet
Jack Gatteau Diane Dubois Guy Royer
Jean Louis Vattier et Claudia Mehringer
Marie Claude Viollet Edwige Faillel Diane Dubois
Diane Dubois Monique Grévin Richard Allan Alain Grévin Claudia Mehringer Joséphine Cathy Stewart Elisabeth Divan Ledoux (= Jack Gatteau) David Longval Marie-Claude Viollet Françoise Edwige Faillel Gloria Jean-Louis Vattier Bernard Guy Royer Antoine
Réalisation : Patrick Aubin (= Jean-Claude Roy)
Scénario : Patrick Aubin (= Jean-Claude Roy)
Image : Pierre Robes (= Robert Millie)
Musique : Gary Sandeur (= Philippe Bréjean)
Montage : Zoé Durouchoux
Assistant réalisateur : Jacques Fayard
Production : Jean-Claude Roy - Tanagra Productions / Francis Mischkind - F.F.C.M.
Distribution : Alpha France
Durée : 87 minutes
Tournage : 1978
Visa : 49374
Date de sortie : 16 mai 1979
Monique et Alain sont mariés depuis cinq ans sous le régime de la jouissance partagée et de la totale liberté sexuelle. Ils donnent une soirée à l'occcasion de leur cinquième anniversaire de mariage. Sont invités : David, l'ancien professeur de sexologie des tourtereaux, Antoine, actuel titulaire de la chair de David, « trop occupé actuellement par ses livres et ses conférences », Bernard enseignant à Science-Po, suffisament inhibé pour ne pas faire l'amour avec sa fiancée Joséphine, Gloria et Françoise, deux lesbiennes qui ne dédaignent pas les hommes (...) - Résumé Bruno Duval, La Saison cinématographique 1979
COMMENTAIRES :
« La recette est simple : Prendre huit personnages jeunes, beaux, disponibles et libérés ; impulser une situation conjoncturelle dont tout conflit est gommé : présenter les différentes combinatoires homo et hétérosexuelles possibles : le fantasme petit-bourgeois du bonheur dans la liberté sexuelle au sein de la conjugalité peut se développer. Le locuteur a appliqué cette recette éprouvée en la pimentant de quelques thèmes mollement pervers tournant autours de l'exhibitionisme et du voyeurisme (la fonction du rasage pubien, la place de la fille dans la malle et le rôle final du moniteur du magnétoscope en sont les éléments les plus perceptibles) et conduisant à fétichiser la pulsion scopique en elle-même et ainsi à déculpabiliser le spectateur face à la transcription, sans cesse renouvelée tout au long du film, de la scène primitive. C'est faire peu de cas de la prégnance de la civilisation surmoïque dans laquelle nous vivons et se donner bonne conscience à bien peu de frais. » - Bruno Duval, La Saison cinématographique 1979
« Quinze séquences hard en 73 minutes (durée de la VHS). Pourquoi chercher midi à quatorze heures ? Pourquoi bouder notre plaisir ? (...) Unité de temps, unité de lieu, unité d'action : le hard d'Aubin descend en ligne droite de la règle des trois unités. C'est presque du Racine. Boileau en eut été content. » - Alain Minard, Dictionnaire des films français pornographiques et érotiques, sous la direction de Christophe Bier, Serious Publishing, 2011
S.B. - Juillet 2018