Aucune vidéo à voir ou à télécharger sur ce site dont l'unique objet est de rendre hommage aux comédiens français, le lien Amazon permettant de se procurer légalement les oeuvres que je présente ici uniquement en photo
Distribution :
Si les fiches que je réalise pour BDFF pèchent parfois par leur non-exhaustivité côté distribution, c'est que je n’ai pu réunir le nom de tous les acteurs, faute de preuves.
En effet, la passion du cinéma qui m’anime ne m’assure pas toujours les moyens d’investigations suffisants, aussi certaines fiches pourront-elles sembler bien incomplètes aux cinéphiles qui les consulteront. Elles ont cependant le mérite de se baser sur des éléments dûment vérifiés.
Images du film :
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Document sans nom
Henri Gilabert (Denis Lange) Marcel Dalio (Machiavel) Claude Cerval (Nathanaël de Geoffroy) Jacques Verlier (Paul Cassius) Simone Bach (Mélanie) Guy Fox (Johan) Marcel Vidal (Le président Bar) Jean Vigny (Kingston) Georges Wod (Siegfried) Sacha Solnia (Le crieur de journaux) Lise Lachenal (Diana /Jolie fille) François Chodat (Tibère) Serge Nicoloff (Le speaker) Jean Mars (Aaron) Violaine Lachenal (Karen) Jacqueline Damien (Olga) Roger Gillioz (Barnon) Anna Salberg (Denise de Geoffroy)
Document sans nom
Résumé : En 1970, Denis Lange est ingénieur dans une entreprise suisse de fabrication d’abris antiatomiques. La guerre nucléaire est imminente. Descendu vérifier le matériel dans un abri, la guerre éclate. Assommé par des objets, il se retrouve réveillé par des androïdes. Il apprend qu’il vit maintenant en 2165 ; que les rares descendants humains ne travaillent pas et que ce sont les androïdes qui travaillent à leurs places. On lui a même fabriqué une androïde « femelle » spécialement pour le servir…
Mini-série de 4 x 52 min.
Si l'idée de départ est, certes classique, mais intéressante, la suite va être de moins en moins bien faite avec une fin sans intérêt puisque tout le monde meurent (enfin c'est ce que j'ai cru comprendre).
Le problème de la télévision suisse c'est qu'elle n'avait pas les moyens (financiers et techniques) de faire des trucages complexes.
Il fallait peut être développer davantage le côté humanisation des androïdes dont Diana la compagne androïde du héros est atteinte. Elle se suicide (alors qu'elle n'y était pas obligée).
Les comédiens font ce qu'ils peuvent mais le scénario n'est pas assez travaillé et le dernier épisode semble bien bâclé.
En définitive, une mini-série qui ne restera pas dans les mémoires même si Lise Lachenal est bien jolie (même en androïde)
Alain B.
Toutes les images sont cliquables pour les obtenir en plus grand.
Violaine Lachenal Claude Cerval
Violaine Lachenal Henri Gilabert
Henri Gilabert (Denis Lange) Marcel Dalio (Machiavel) Claude Cerval (Nathanaël de Geoffroy) Jacques Verlier (Paul Cassius) Simone Bach (Mélanie) Guy Fox (Johan) Marcel Vidal (Le président Bar) Jean Vigny (Kingston) Georges Wod (Siegfried) Sacha Solnia (Le crieur de journaux) Lise Lachenal (Diana /Jolie fille) François Chodat (Tibère) Serge Nicoloff (Le speaker) Jean Mars (Aaron) Violaine Lachenal (Karen) Jacqueline Damien (Olga) Roger Gillioz (Barnon) Anna Salberg (Denise de Geoffroy)
Résumé : En 1970, Denis Lange est ingénieur dans une entreprise suisse de fabrication d’abris antiatomiques. La guerre nucléaire est imminente. Descendu vérifier le matériel dans un abri, la guerre éclate. Assommé par des objets, il se retrouve réveillé par des androïdes. Il apprend qu’il vit maintenant en 2165 ; que les rares descendants humains ne travaillent pas et que ce sont les androïdes qui travaillent à leurs places. On lui a même fabriqué une androïde « femelle » spécialement pour le servir…
Mini-série de 4 x 52 min.
Si l'idée de départ est, certes classique, mais intéressante, la suite va être de moins en moins bien faite avec une fin sans intérêt puisque tout le monde meurent (enfin c'est ce que j'ai cru comprendre).
Le problème de la télévision suisse c'est qu'elle n'avait pas les moyens (financiers et techniques) de faire des trucages complexes.
Il fallait peut être développer davantage le côté humanisation des androïdes dont Diana la compagne androïde du héros est atteinte. Elle se suicide (alors qu'elle n'y était pas obligée).
Les comédiens font ce qu'ils peuvent mais le scénario n'est pas assez travaillé et le dernier épisode semble bien bâclé.
En définitive, une mini-série qui ne restera pas dans les mémoires même si Lise Lachenal est bien jolie (même en androïde)
Alain B.
Vous pouvez déposer un commentaire :